lundi 7 décembre 2015

On y arrive, LE GENERAL PINATEL S'EN PREND VIOLEMMENT A LA POLITIQUE DE FRANCOIS HOLLANDE Cela nous donne maintenant 2 généraux qui sortent de leurs gonds

"Le premier problème de l'indépendance nationale, c'est l'endettement. Tant qu'on n'est pas désendetté, et bien on est les vassaux de nos créditeurs. Et nos créditeurs, c'est l'argent international qui est aux mains des Anglo-Saxons: Londres et New-York", ou "Tout l'argent de Daesh passe encore en partie par l'Arabie Saoudite" ou "Le grand bénéficiaire du chaos au Moyen-Orient est Israël"

vendredi 13 novembre 2015

Messieurs les militaires (non corrompus) Time is up to go ! Pour comprendre ce qui est en train de se passer, allez voir le « SPECTRE ». "Le terrorisme est la meilleure arme politique, puisque rien ne fait réagir davantage les gens que la peur d'une mort soudaine." (Adolf Hitler)

“En politique, rien n'arrive par accident. Si quelque chose se produit, vous pouvez parier que cela a été planifié de cette façon.” (Franklin Delano Roosevelt) "Nous vivons dans un monde sale et dangereux. Il y a des choses que le grand public n'a pas besoin de connaître, et ne devrait pas connaître. Je crois que la démocratie prospère quand le gouvernement peut prendre des actions légitimes pour garder ses secrets, et quand la presse peut décider de publier ce qu'elle sait ou non." (Katherine Graham, éditeure du Washington Post etBilderberg)

dimanche 11 octobre 2015

Messieurs les Militaires (non corrompus) vous commencez à comprendre qu'aujourd'hui tout fout le camp !.... Léotard nous avait prévenu : ça va mal finir, très mal

la disparition du drapeau bleu blanc rouge, la disparition du symbole historique de la grenade pour les gendarmes (anciens grenadiers) et l'apparition d'un symbole sans sens, horrible, ressemblant un croc de boucher ou a une faux ... un slogan farceur proche d'une "farce humaine"! Pauvre France Aux armes Citoyens.....

dimanche 9 août 2015

D$K, L'Etat français et l'UBS

1° Le 16 octobre 1991, l’UBS a crédité le compte N° 231215 d’un montant de US$ 381.987.200.- par virement en provenance de la Midland Bank International London (Capital détenu à cette époque, majoritairement par les Koweïtiens) – Transfer Account 35341139 – Value date 91.16.10 – ADER (Ayant Droit Economique Réel) Christian BASANO. Et, le co-contractant du compte est un membre de la famille royale du Koweït. 2° Le même compte N° 231215 a également été crédité de US$ 50.000.000 par transfert Telex – Code : C.340. On remarquera que cette somme a été réceptionnée par transfert électronique codé, SWIFT (Society for Worldwide Financial Telecomunications) dont l’accès est réservé aux seules banques centrales, banques et leurs filiales. Ceci étant rappelé, il faudra dire à votre avocat de revoir sa copie. En effet, le compte N° 231215 existait bien dans les livres de l’UBS étant donné que : 1° Le 20 mars 1996, il apparaissait encore créditeur de la somme de 47.987.345,12 US $. 2° les détenteurs de ce compte étaient : Christian VANDE VYVERE Roland VANDEN AVENNE Jean Pierre VAN ROSSEM 3° sur ce compte il était précisé : Blocked. At the start, of CVDV only. Became a special JOINT ACCOUNT in october 1989. The 3 SIGNATURES TOGETHER ARE COMPULSORY. Il est également très intéressant de noter que le compte N° 231215 existait bien avant le 16 octobre 1991… !!!! et que Monsieur Jean Pierre VAN ROSSEM était connu comme un ex-escroc sympathique, ex-milliardaire excentrique, ex-homme politique inclassable et toujours auteur de romans que personne ne lit, sans oublier que des bailleurs de fonds (comme l’UBS) lui avaient déjà payé son écurie de Formule 1. Cette information confirme les conclusions du rapport d’audit réalisé par la société suisse SB Holding sur les comptes de « Christian BASANO » : I Que divers organismes bancaires ont travaillé directement avec le nom de Monsieur Basano pour la réception et le transfert des fonds ? II Que des organismes financiers ou bancaires ont simplement servi de relais dans l'utilisation du nom de Monsieur Basano pour l'ouverture de comptes mais que souvent ces comptes n'ont servi que pour une seule transaction, et qu'ils restent à ce jour, malgré tout ouverts. III La plupart de ces comptes sont organisés à plusieurs tiroirs, avec un compte principal qui réceptionne le virement, mais qui exécute immédiatement la répartition qui se fait automatiquement sur des comptes secondaires sous le même N° avec des lettres ou des chiffres b,c,d, de ce fait la transaction semble être moins importante La liste non exhaustive des comptes ci-dessus détaillés, confirme bien ce que tout le monde sait : l’U.B.S et le Crédit Suisse font partie des banques qui participent activement à un important réseau international de blanchiment de capitaux (!?) En effet, pouvez-vous nous expliquer pourquoi sur le registre du commerce de Genève sous le N° 06513/1999 nous pouvons lire : UBS SA Inscrite le 23 juin 1999 Succursale d’une entreprise suisse But : exploitation d’une banque Radiée le 22 octobre 2002 Adresse : 8 rue du Rhône – Genève Directeur de succursale : Alain Robert (le même Alain Robert travaille toujours à Zurich) Avez-vous utilisé cette structure pour éliminer tous les comptes douteux avant de fusionner avec votre fille la SBS ? pour donner naissance à : l’Union des Bandits Suisses (UBS) Anne Mette SKIPPER, présente : « le tableau inquiétant d’une économie parallèle qui prolifère sous les enseignes les plus honorables. Elle démontre les mécanismes d’un système bancaire qui représente une réelle menace pour la paix dans le monde. » (LA SUISSE, LES BANQUES & L’ARGENT SALE - Editions Esprit Ouvert) Claude MOSSE, publie « Faillites…Scandales à répétition…Mensonges et malversations de politiciens sans envergure…Argent sale protégé…Extrême Droite de plus en plus majoritaire dans une population où le « chacun pour soi » est devenu la règle… » (LA SUISSE C’EST FOUTU ? Editions du Rocher) Pour terminer, je tiens à vous préciser que le co-contractant du compte N° 231215 (Famille Royale du Koweït que vous connaissez bien) est comptable à l’égard de l’Ayant Droit Economique des avoirs bancaires, de sa gestion et des actes de dispositions. Christian BASANO est lié au co-contractant par un rapport de droit représenté par le contrat pour l’utilisation des systèmes FERRAYE pour éteindre les puits de pétrole en feu au Koweït en 1991. Ce qui explique les conventions de cessions de droits litigieux préparées par M° MOTTU, notaire à Genève, le 16 novembre 1995.

samedi 1 août 2015

24 ANS APRES LA PREMIERE GUERRE DU GOLFE : Les 496 ‘’ Diambars’’ réclament toujours leurs indemnités !....

le 13 juillet 2015 « 24 ANS APRES LA PREMIERE GUERRE DU GOLFE : Les 496 ‘’ Diambars’’ réclament toujours leurs indemnités » (seneweb.com) le Lundi 13 Juillet 2015 Sans primes ni indemnités depuis 24 ans : Les Jambars de la première guerre du Golfe interpellent Macky Sall et le Roi Salmane (leral.net) le 9 mai 2015 PARTICIPATION SENEGALAISE A LA 1ERE GUERRE DU GOLFE Le grand traumatisme de 1991 (enqueteplus.com) « Il n’est point de secret que le temps ne révèle » (Jean Racine – Britannicus)

samedi 9 mai 2015

Charlie Hebdo: Un journaliste accuse le gouvernement français au sujet des attentats !...

"Pour moi, l'optimisme de Manuel Valls, c'est l'optimisme de la révolution nationale et du maréchal Pétain. Lui aussi accusait les Français résistants d'être des Français pas bien" (Emmanuel Todd)
http://lesmoutonsenrages.fr/2015/05/09/article-du-quotidien-altantico-fr-enquete-sur-les-attentats-charlie-hebdo-la-manipulation-du-siecle/

jeudi 7 mai 2015

Vive la liberté d'expression en France ! On s'était dit rendez-vous dans 15 ans, Messieurs les Ripoux de la République...ET si les agents non corrompus de la CIA mettaient en ligne les comptes des rétrocommissions et du détournement des indemnités de la Guerre du Golfe par Mitterrand et sa bande de Ripoux dont certains sont encore en exercice....

Sans Aucun Doute, 22.35 : Révélations et contre-enquêtes Il y a dix ans, un Méridional déposait un brevet pour son invention, un extincteur d'incendies d'hydrocarbures. Cette technique fut utilisée durant la guerre du Golfe pour éteindre les puits de pétrole au Koweït. L'inventeur estime qu'on lui a volé son idée et se bat pour que la justice soit faite. 12 mai 2000, Le site officiel de TF1-Infos communique : Sans aucun doute, 22h35 Inventeur de métier, un méridional se fait voler un brevet permettant d'éteindre les puits de pétrole en feu au Koweït. Depuis 10 ans, il se ruine en procédures judiciaires. L'histoire d'une injustice entièrement montée.

lundi 16 mars 2015

Messieurs les Militaires (non corrompus), vous avez des enfants. Il est temps de reprendre votre rôle ! Le capitaine de pédalo vient de placer le porte-avions nucléaire Charles de Gaulle sous commandement américain !.…

Peut être n’avez vous pas bien saisi la signification de la mise sous commandement US, de notre navire amiral le Charles de Gaulle. Manquons nous de commandants français compétants, pour assurer la gestion du seul navire nucléaire non US dans le monde? On les voit partout ces « distributeurs de démocratie à coup de bombes », et vous n’avez pas percuté sur cette info, pourtant d’une importance capitale??. De la même façon, ce qui finira de nous mettre à genoux devant les USA, pays géré par des psychopathes, à l’égo démesuré, qui ont concocté avec la complicité de nos gouvernements un TAFTA/TISA qui va finir de mettre l’Europe sous tutelle US. On comprend mieux pourquoi le crime de haute trahison a été supprimé de notre constitution… Si il vous fallait une preuve de l’absolue soumission de la France aux US, en voici une énorme ! Hollande met dans des mains étrangères notre navire amiral ! Autrement dit le navire de commandement de la flotte militaire française ! À BORD DU CHARLES DE GAULLE - Lorsque l’avion du général Martin Dempsey a atterri dimanche sur le pont de ce navire,il est devenu le premier Chef d’état-major des armées des États-Unis dans l’histoire récente – peut-être jamais – à mettre le pied sur un porte-avions français, un signe de l’unité opérationnelle augmentant les deux nations dans la campagne contre l’État islamique. … Pour cette mission, c’est la première fois que la France a placé le Charles de Gaulle, le seul porte-avions nucléaire non-US dans le monde et un bijou de l’armée française, sous le commandement opérationnel d’une nation étrangère, » (extraits de l’article du Wahington-Post) Sur le plan du symbole c’est extrêmement lourd ! J’ignore ce qu’en pense l’Amirauté Française, mais certains doivent se sentir trahis. N’avons-nous pas de commandement compétent chez nous pour gérer le Charles de Gaulle ? Bientôt la délégation aux US du droit d’appuyer sur le bouton rouge de la bombe ? Où est la limite ? La colonisation de la France est plus qu’en marche. Elle est maintenant actée. Si vous imaginez qu’en cas de conflit étendu, la France s’opposerait à cette folie, vous avez maintenant la preuve que vous rêvez. Si vous espérez encore que nous résisterons au TAFTA C’est une illusion. La France est bradée à ceux que De Gaulle puis Mitterrand quasiment sur son lit de mort désignait comme des ennemis avec lesquels existait une « lutte à mort » . Après 14 années passées à l’Elysée, et quelques semaines avant de mourir, François Mitterrand livra son testament politique aux Français : « La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort…apparemment. Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde… C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort ! » (Le dernier Mitterrand – Georges Marc Benamou) RÉVEILLEZ-VOUS TOUS, MES AMIS, L’HEURE EST GRAVE ! Seule une révolution populaire massive et trans-nationale peut nous sortir des griffes de l’Empire. L’humanité a un besoin urgent de tous les hommes et femmes de bonne volonté Article source (Washington Post) : via Sputniknews Je profite du sujet pour vous rappeler cet édifiant article de 2005, peu relayé dans les grands médias de l’époque , et vous comprendrez pourquoi à sa lecture. Alors, complotiste, cette femme engagée reconnue pour son intelligence et sa culture et qui fut pendant 14 ans la première témoin de l’époque Mitterrand ?? DANIELLE MITTERRAND : « La démocratie n’existe ni aux USA, ni en France ». Hernando Calvo Ospina est un journaliste colombien réfugié en France et collaborateur, entre autres, du Monde Diplomatique. Sa présence dans un avion régulier d’Air-France en avril 2009 effraya à ce point les USA qu’ils lui interdirent le survol de leur territoire et exigèrent son déroutage. Voir : http://www.legrandsoir.info/article8459.html Hernando Calvo Ospina a bien voulu nous confier le texte d’un entretien qu’il a eu avec Danielle Mitterrand. Qu’il en soit remercié. LGS Ce qui suit est un extrait de l’entrevue à Mme. Danielle Mitterrand, veuve de l’ex-président français François Mitterrand, et présidente de l’association « France-Libertés ». A sa lecture il est facile de comprendre pourquoi, et ce depuis plusieurs années, les médias politiques et d’informations dans leur grande majorité ont essayé de l’ignorer. vendredi 28 octobre 2005 – Entretien réalisé par Hernando Calvo Ospina. Hernando Calvo Ospina : Mme. Mitterrand, qu’a signifié pour vous l’arrivée au gouvernement de votre époux François ? Est-ce que les idéaux sociaux et politiques qu’il portait dès sa jeunesse ont été reconnus en ces moments-là ? Danielle Mitterrand : Mai 1981 fut un mois de grande activité, car c’était la préparation de l’arrivée au pouvoir de François. J’essayais d’apporter tout ce qu’il y a de meilleur en moi, pour que ces rêves d’avoir une société socialiste, quoique à l’européenne, deviennent réalité. Mais bien vite j’ai commencé à voir que cette France juste et équitable ne pouvait pas s’établir. Alors je lui demandais à François : Pourquoi maintenant que tu en as le pouvoir ne fais-tu pas ce que tu avais offert ? Il me répondait qu’il n’avait pas le pouvoir d’affronter la Banque mondiale, le capitalisme, le néolibéralisme. Qu’il avait gagné un gouvernement mais non pas le pouvoir. J’appris ainsi que d’être le gouvernement, être président, ne sert pas à grand-chose dans ces sociétés sujettes, soumises au capitalisme. J’ai vécu l’expérience directement durant 14 ans. Même s’il essayait d’éviter le côté le plus négatif du capitalisme, les rêves ont commencé à se briser très rapidement. HCO : Vous n’avez pas assumé le rôle de « première dame » comme l’« exige » la tradition protocolaire. Était-ce un simple caprice ? Ou à cause de convictions politiques ? DM : Je n’ai pas voulu être une « première dame » comme toutes les autres, et en conséquence j’ai refusé le protocole qu’on a voulu m’imposer. J’étais l’épouse du chef de l’État, d’un homme que j’aimais, mais j’étais aussi libre d’avoir mes propres convictions. Je n’allais pas accepter d’être la simple image de la femme française typique, représentative d’un secteur social ; de sourire devant les caméras et les personnalités ; ou de servir d’ornement aux oeuvres de bénéfices. Avant tout, mon rôle devait consister en mon apport pour la construction d’une société juste. J’ai eu mes critères et mes réflexions politiques, qui ont parfois fait choc avec celles de François. Si le gouvernement n’allait pas sur une bonne voie, je me devais de le dire, de le critiquer. Je sais que ce n’est pas le rôle d’une « première dame », car normalement elles ne sont qu’un instrument du pouvoir. Chaque fois que les autres ont voulu s’opposer à mes tâches militantes pour des « raisons d’État », pour n’être pas « diplomatiquement correctes », François m’a soutenue car il voyait qu’elles étaient justes. Il ne pouvait essayer de m’empêcher de faire ce qu’il disait défendre. HCO : Mme. Mitterrand, vous avez fondé « France-Libertés », qui s’est distinguée par son engagement politique, social et humanitaire… DM : Je l’ai fondée non pas dans l’intention d’en faire un contre-pouvoir, ni pour qu’elle serve au pouvoir. Je voulais prendre mes propres initiatives de solidarité politique, indépendantes des desseins du pouvoir, même si je m’attendais qu’avec le gouvernement socialiste nous aurions des objectifs proches. Mais je me suis vite rendu compte que ce ne serait pas facile. Est arrivé le moment où « France-Libertés » voulait aider des populations opprimées, mais le gouvernement socialiste français soutenait d’une manière ou d’une autre leurs bourreaux. Rapidement j’ai dû me poser la question : Jusqu’où peut-on aller sans provoquer d’ « incidents diplomatiques » ? Dans l’Association s’est présenté pour nous un questionnement qui ne m’a pas du tout plu : sa présidente, épouse du président de la République, devait-elle respecter la sacro-sainte loi de non-ingérence dans les affaires de l’État, et se priver ainsi de son droit à la solidarité politique et humanitaire, pour ne pas aller à contre-courant ? J’ai continué avec mon projet car je le croyais juste. Alors, même de vieux amis personnels et de lutte ont commencé à m’isoler. Tout le pouvoir et le poids de la diplomatie française ont tenté de m’écraser, usant de tout pour « réparer » mes actions et mes expressions politiques publiques. J’ai constaté que je ne pouvais pas exercer ma fonction de manière exemplaire si je ne servais pas le marché, le capitalisme. Que mon devoir n’était pas de me préoccuper des torturés ni des affamés. Que si ceux qui étaient écrasés réclamaient l’éducation, la santé ou du travail, je devais tourner la tête de l’autre côté. J’étais la « première dame » et je devais aider, avec mes sourires dans les cocktails, à ce que les intérêts commerciaux de la France progressent. Quand j’écoutais au cours de mes visites aux ambassades les discours du « commercialement correct », où le tout-puissant marché était ce qu’il y avait de fondamental avant la solidarité entre les peuples, cela me donnait l’envie de partir en courant. Je ne pouvais croire que les « bulldozers » du marché pourraient arriver à recouvrir jusqu’aux fondements mêmes de notre culture. Et ils l’ont fait. Pourquoi un gouvernement qui se disait de gauche ne pouvait-il pas répondre aux attentes qu’il avait créées durant tant d’années dans l’opposition, tant au niveau national qu’international ? Devait-on accepter les impératifs d’un système mercantile jusqu’à la soumission ? HCO : Ce système du marché sauvage, du capitalisme, du néolibéralisme, a à sa tête les États-Unis. Est-ce que la France se soumettait aux desseins de ce pays ? DM : Durant la célébration du Bicentenaire de la Déclaration des droits de l’Homme – juillet 1989 – j’ai pu voir jusqu’à quel point nous étions soumis aux État-Unis. L’État français n’invita pas plusieurs dignitaires, en particulier des Latino-Américains. Comme par hasard c’était ces pays-là que Washington voulait annuler, détruire. Et je ne vais pas citer de noms, mais c’est facile à vérifier. Je me rappelle avoir dit à François : « Jusqu’à quel point allons-nous être dépendants de l’humeur des États-Unis, ne pas pouvoir choisir nos invités pour nos festivités… ? » Ce fut une honte. HCO : Mme. Mitterrand, si cela arrive en France, vous devez bien savoir ce qu’il en est sous d’autres latitudes… DM : Je ne suis pas anti-États-Unis, mais je suis avec le peuple de ce pays et non pas avec l’Administration qui le gouverne. Celle qui se sert de ce peuple pour tirer des bénéfices qui servent à quelques uns. Durant toutes ces années de ma vie, spécialement après la Seconde Guerre mondiale, j’ai pu voir comment les États-Unis foulaient aux pieds la liberté et la démocratie des autres pays, particulièrement les pauvres. Ronald Reagan désigna comme terroriste le gouvernement sandiniste du Nicaragua, quand les terroristes, c’était son Administration et cette « contra » qu’il finançait. J’étais au Nicaragua peu de temps avant qu’ils détruisent la révolution. Fonctionnait encore ce qui avait été atteint au niveau de l’éducation et de la santé, des choses qu’avait le peuple nicaraguayen pour la première fois de son histoire. Je me rappelle que Daniel Ortega me disait : « Daniella, dis à François qu’il ne peut pas nous laisser tomber ; que l’Europe démocratique ne peut pas nous abandonner… ». Je le lui ai dit en effet. Et il n’a pu rien faire : les États-Unis avaient décidé que les sandinistes devaient s’en aller avec leurs plans de développement social, pour faire place au néolibéralisme et au retour de la misère pour le peuple. Tandis que nous, nous étions en train de fêter le Bicentenaire de la Déclaration des droits de l’Homme ! HCO : Au cours de ces mêmes années Washington resserrait le blocus contre Cuba, essayant d’en finir avec la Révolution. DM : Le Nicaragua ne pouvait compter que sur Cuba. Et Cuba aussi était en train d’être étranglée par l’embargo des États-Unis, qui continue jusqu’à présent et qui n’a eu d’autre but que celui d’en finir avec tout ce qu’il y a de merveilleux que cette Révolution a réalisé au niveau social : quelque chose d’unique en Amérique latine ; presque unique dans un pays du Tiers-Monde. Quand en 1989 Cuba se trouvait déjà seule face à Washington, car elle n’avait plus l’appui de l’Union soviétique, je m’y suis rendue. A mon retour j’ai dit à François : « Tu ne peux pas laisser tomber Cuba. Cette Révolution a beaucoup fait pour le peuple. La France ne peut être soumise aux États-Unis. » Il me disait que la France toute seule ne pouvait pas, et qu’en Europe personne ne la suivrait. Que les États-Unis détenaient tout le pouvoir économique, politique et de la propagande, en plus des contre-révolutionnaires de Miami. Je continue aujourd’hui à dire que cette révolution a mérité de se maintenir, car elle l’a fait et c’est le peuple qui la maintient. Par conséquent les États-Unis n’ont pas pu la faire plier. Je connais Fidel depuis très longtemps. J’ai passé beaucoup d’heures à discuter avec lui, à nous dire ce que nous pensons. Je lui ai fait part de toutes les critiques que j’ai au niveau politique. Une fois je lui ai demandé pourquoi il me supportait. Et il m’a répondu : « Parce que tu es une amie sincère. Et les critiques des amis on les écoute parce qu’elles sont honnêtes, même si nous ne sommes pas d’accord sur certaines choses. » La dernière fois qu’avec François nous avons reçu officiellement Fidel à Paris, en le saluant je l’ai embrassé publiquement sur la joue. Ce qu’ « interdit » le protocole et les « politiquement corrects ». Mais c’est que non seulement Fidel était notre ami, mais aussi qu’il est latin, et les Latins sont tendres. Ce fut un scandale que la presse me rappelle encore. HCO : Que pense Mme Mitterrand du président vénézuélien Hugo Chávez et des projets nationaux qu’il essaie de lancer ? DM : Je n’ai jamais aimé les militaires. Mais Chávez, avant d’être un militaire est un homme, un être humain, et il est arrivé au pouvoir par la voie démocratique, et au point de gagner plusieurs élections. Chávez, au milieu de tous les obstacles que mettent sur son chemin les États-Unis et l’opposition dirigée par les riches, tente de faire avancer les programmes sociaux qu’il a offerts au peuple. Évidemment, le monde capitaliste lui est tombé dessus car il ne veut pas qu’un président du Tiers-Monde démontre que le peuple peut effectivement participer aux décisions de l’État et à son développement. Que ce peuple, avec son leader, marche de l’avant pour ne plus être exploité, ni être analphabète et avoir droit à la santé. C’est ce qui se passe au Venezuela malgré tout. A cause de cela ils veulent éliminer, effacer Chávez. Peu leur importe si c’est le peuple qui l’a élu, et qui doit décider s’il doit le soutenir ou l’enlever de là . Il existe une espèce de rage de la grande majorité de la presse mondiale contre Cuba et le Venezuela. Et c’est parce que ces gouvernements veulent être indépendants, souverains, dignes. Cela dérange. N’oubliez pas que les médias sont dirigés par de puissants capitalistes. HCO : Mme Mitterrand, est-ce que la France est un modèle de démocratie ? Est-ce une puissance mondiale ? DM : En France on élit et les élus font des lois qu’ils n’ont jamais proposées et dont nous n’avons jamais voulu. Est-ce la démocratie quand après avoir voté nous n’ayons pas la possibilité d’avoir de l’influence sur les élus ? Je ne crois pas que dans aucun des pays qui se disent démocratiques, ceux-là qui croient avoir le droit d’imposer « leur » démocratie aux pays pauvres, il existe la démocratie, à commencer par les États-Unis et la France. La France est une démocratie ? Une puissance mondiale ? Je le dis en tant que Française : Cela ne veut rien dire. Si on le dit pour les niveaux d’éducation, de la recherche ou la santé, c’est nul. Pour être capables d’aider la paix mondiale, les peuples opprimés ? Nul. Hernando Calvo Ospina. (Traduit par Abacar Fall) Le-Grand-Soir relayé par LesBrinsdherbe Voir aussi: Haute Trahison : Hollande a Placé Le Charles De Gaulle sous Commandement US http://lesmoutonsenrages.fr/2015/03/16/il-a-ose-le-porte-avions-nucleaire-charles-de-gaulle-place-sous-commandement-americain/

vendredi 27 février 2015

vendredi 20 février 2015

Messieurs les Militaires (non corrompus) victimes des agissements scandaleux de Mitterrand (détournement des indemnités de la Division Daguet) , il est temps de reprendre les rênes du pouvoir pour empêcher aux malades qui nous gouvernent de commettre l’irréparable…

Le Général Henri Poncet, ancien commandant des opérations spéciales, au Capitaine Djamel précise dans sa lettre : L’élan émotionnel et spontané a été récupéré pour initier une opération de manipulation des foules qui a engendré ces manifestations de très grande ampleur. Je te rassure, si j’avais été en France, je m’en serais également abstenu. On comprend pourquoi OBAMA n’a pas participé à cette mascarade ! Lui, il sait qui a organisé ces attentats, il est bien placé…
http://www.asafrance.fr/item/libre-opinion-la-lettre-du-general-henri-poncet-ancien-commandant-des-operations-speciales-au-capitaine-djamel.html

mardi 17 février 2015

Valls sous influence juive? "Probablement, je peux le penser", répond Dumas sur BFMTV. Valls n'avait-il pas déclaré " Je suis lié de manière éternelle à Israel" ! Elle est où la laïcité ?

Suite à des propos rapportés dans Libération du 22/01/2015 : « Le départ de cent mille juifs infligerait un coup plus dur à la France que celui de cent mille chrétiens », l'Alliance générale contre le racisme et pour le respect de l'identité française et chrétienne demande la démission de Manuel Valls : Avec justesse et justice, l’avocat Arno Klarsfeld vient de rappeler que « les juifs de France se souviendront toujours que si les 3/4 d’entre eux ont survécu c’est grâce à la population française et à l’Église ». Au fait, pourquoi Manuel Valls a-t-il bloqué des écoutes sur le "clan" Kouachi ?

vendredi 13 février 2015

jeudi 12 février 2015

Merci aux agents (non corrompus) de la CIA ! Messieurs les Ripoux de la République vous pouvez commencer à trembler. La mouche (représente l’idée que nous faisons du mal) qui s’est invitée sur le front de Flamby lors de sa conférence de presse était bien un signe…

Le logiciel « PROMIS » (Prosecutor’s Management Information System) appliqué à la gestion des flux monétaires internationaux est une arme autrement plus dangereuse que celles qu’utilisent les armées…car, à travers la « porte dérobée » il permet de pénétrer des comptes secrets y compris des comptes en Suisse, et en retirer de l’argent sans laisser de trace. Grâce aux sociétés de Clearing comme « Clearstream » ou « Euroclear » un système de dissimulation d'opérations bancaires est mis en place avec l'aval de dirigeants de banque, d'hommes politiques influents. Le clearing permet de remonter n'importe quelle filière d'argent sale si l'on s'en donne les moyens. André Lussi, ancien Président de Cedel (Clearstream) qui a été démissionné, parle de la mémoire de l'argent : tout est tracé, tout est enregistré, on sait exactement tout ce qui se trame. On peut donc, si on s'en donne les moyens, reconstituer le voyage (souvent long et compliqué) des virements électroniques de Paris à Luxembourg, de Jersey à aux îles Caymans, de Genève à Toronto, etc…

lundi 9 février 2015

. Les militaires qui souffrent des conséquences de l’uranium appauvri utilisé lors de l’opération Tempête du désert se sentent « cocu, battu, fou et croyez-moi très mécontent. » Expliquez-vous Monsieur le Député !

De : Chris Basanix Date : 7 février 2015 18:20 Objet : Beaucoup de gens se sentent « cocu, battu, fou et croyez-moi très mécontent. » (Gilbert Collard 6 12 mai 2000) À : gilbert-collard@orange.fr, Monsieur le Député, La journée du 11.01.2015 a été qualifiée d’historique comme étant le plus grand rassemblement de Français dans la rue depuis le 26 août 1944 (Libération de Paris), pour (soi-disant) défendre la « Liberté d’expression ». Nous ne pouvons que nous féliciter que le FN et le RBM n’aient pas pris part à cette mascarade (TUER PAR DES CONS, RECUPERER PAR DES CONS). Ce qui est intéressant c’est le constat d’un élan de solidarité par un processus de Réveil des Consciences "VOLERE" Concernant la liberté d’expression représentée par les pancartes « JE SUIS CHARLIE » : un ancien ministre qui fait intervenir son avocat (Jean VEIL) pour faire annuler une émission de TV ? Les services de l’Etat qui font retirer un journal « Le Journal de Genève » (édition du 4 février 1997) des rayons des distributeurs de presse ? C’est cela qu’on appelle la théorie du complot comme pourrait le dire le Président d’honneur du FN ? Le 12 mai 2000, Télé Star et tous les magazines de programmes TV, présentent Sans Aucun Doute, 22.35 : Révélations et contre-enquêtes : Il y a dix ans, un Méridional déposait un brevet pour son invention, un extincteur d'incendies d'hydrocarbures. Cette technique fut utilisée durant la guerre du Golfe pour éteindre les puits de pétrole au Koweït. L'inventeur estime qu'on lui a volé son idée et se bat pour que la justice soit faite. Le 12 mai 2000 les 4,5 millions de téléspectateurs qui regardent l’émission Sans Aucun Doute présentée par Julien Courbet n’ont malheureusement pas eu la chance de voir votre brillante prestation en qualité d’avocat de Monsieur Joseph Ferrayé. Julien Courbet, après la diffusion du reportage télévisuel réalisé par ses deux journalistes d’investigation, Kader Bengriba et Alain Massard, lance le débat : « Maître Collard, votre sentiment sur cette affaire, vous qui défendez ce dossier » : « Où il (Joseph Ferrayé) est comme le dit le psychiatre qui ne l’a jamais vu, complètement fou, où il est la victime de la plus grande escroquerie du siècle puisque ça porte sur ce que représente l’impôt sur le revenu en France c’est-à-dire 360 milliards de nouveaux francs ! » « Alors qu’est-ce qui nous fait dire qu’on est en présence d’une escroquerie incroyable ? Pourquoi, parce que l’enjeu est colossal. Comment expliquez-vous qu’un juge d’Instruction saisi d’une plainte désigne un expert aux fins de savoir si le plaignant, le plaignant est fou ou n’est pas fou ! C’est quand même paradoxal ; mais, quand dans un dossier de cette nature vous avez un expert aussi douteux qui vient dire que le plaignant est un mythomane et un paranoïaque, le juge rend une ordonnance de non lieu en toute tranquillité et la Chambre d’Accusation rend une ordonnance de non lieu en toute tranquillité et l’inventeur est cocu, battu, fou et croyez-moi très mécontent. » « Seulement, il faut savoir qu’à partir d’un certain enjeu financier la guerre qu’on mène est une guerre terrible car là on ne joue plus avec des rigolos, on joue avec de vrais tueurs, avec des hommes qui pour garder l’affaire de leur côté sont prêts à tout. Et, je crois qu’on peut dire que depuis qu’on s’est intéressé à ce dossier, on sent, on sent une certaine présence. Alors qu’est-ce qu’on a fait pour déverrouiller le tout ? On a assigné l’Etat en responsabilité pour dysfonctionnement de la justice. On a dit à l’Etat, dites donc, vous avez des experts extraordinaires, des juges fabuleux, des magistrats grandioses qui prennent des décisions sur des expertises fait par des experts translucides qui sans voir savent, sans toucher connaissent comme çà, en respirant l’air du temps à des centaines de milliers de kilomètres de distance où à quelques kilomètres de distance, qu’un type est fou. C’est le monde judiciaire d’aujourd’hui, enfin c’est le monde de la justice de Nice avant que Monsieur de Montgolfier n’arrive. » « Pour trouver des incendies de puits de pétrole après une guerre au Koweït… » « Oui, c’est clair que le combat va être difficile, il est déjà difficile. Il y a une instruction qui a été ouverte en Suisse qui est conduite par Maître Barillon qui se heurte à plein de difficultés. Euh, euh, en France on sent partout des embûches mais, il faut bien qu’on avance. On ne va pas, sous prétexte qu’un Etat a des intérêts qui sont reliés par d’autres Etats, considérer que le psychiatre qui n’a rien vu, rien su, avait raison. » « Je crois qu’on a le devoir d’aller plus loin par curiosité, par esprit de justice et puis finalement parce qu’il n’y a aucune raison que cet homme soit volé. » Pour vous rafraîchir la mémoire, vous pouvez revoir votre (belle) prestation sur : http://nemesistv.info/video/MMO7W747W4W5/dsk-kuwait-gate# Interviewé par le Magazine Entrevue (N°114 – page 96) vous avez déclaré : « Sans Aucun Doute aurait subi des pressions pour ne pas diffuser ce reportage » et « des menaces auraient été exprimées à l’encontre de plusieurs personnes qui avaient participé à l’enquête… ». Avec l’actualité brulante : la Liberté d’expression, DSK et ses putes, la sortie du film « L’Enquête » sur l’affaire Clearstream, de nombreux journalistes étrangers (qui ont des « couilles » comme le crie haut et fort Dominique Galouzeau de Villepin) ne comprennent absolument pas votre silence : - Soit vous avez reçu des menaces ? Ce qui grave pour au pays des Droits de l'Homme qui se dit en démocratie ! - Soit vous avez reçu de l’argent (sur un compte numéroté en Suisse) ? Ce qui pourrait se comprendre ! - Soit votre « ami de toujours », Roland Dumas vous a convaincu d’abandonner (très vite) le combat ? Monsieur Roland Dumas n’était-il pas Ministre des Affaires Etrangères en 1991 ? Monsieur Dominique Strauss-Khan n’était-il pas à la même époque dans les gouvernements Rocard et Cresson, Ministre délégué de l’Industrie et du Commerce extérieur ? Il profitera de cette fonction pour détourner de l’INPI les brevets déposés par Joseph Ferrayé pour l’extinction et la fermeture des puits de pétrole en feu sans utilisation de la dynamite. Michel SAPIN a été ministre délégué auprès du ministre de la Justice (mai 1991 - avril 1992, gouvernement Édith Cresson), ministre de l'Économie et des Finances (avril 1992- mars 1993, gouvernement Pierre Bérégovoy). Pierre MOSCOVICI, fidèle de Lionel Jospin, devient en 1990 le plus jeune secrétaire national du PS. En 1991, il publie avec François Hollande (secrétaire général des clubs « Témoins ») L’Heure des choix, un réquisitoire contre la politique économique de Pierre Bérégovoy. En 1992, il devient trésorier du PS et le reste jusqu'en 1994. « Il n’existe qu’un seul vice, la lâcheté » (proverbe celte) Je vous ai envoyé un fax le 5 mars 2001, un Mail le 3 mai 2006 et un autre Mail du mois d'Avril 2013 (après l'aveu de Cahuzac). J’attends toujours votre réponse ! Enfin, dans les archives des RG (Renseignements Généraux) figure ainsi un « blanc » concernant un mystérieux capitaine Haddock qui attribue à feu François Mitterrand un détournement des indemnités de la guerre du Golfe : « Les pays du Golfe d'Arabie ont signé un chèque de plus de un milliard de dollars à la France. Cette somme représente les indemnités de la guerre du Golfe et notamment des frais engagés par la Marine Nationale, l'Armée de l'Air, ainsi que l'Armée de Terre au titre de la division Daguet. Ce chèque a été transporté du Qatar par un Falcon 50 et déposé à Zurich sur un compte bancaire suisse au nom de François Mitterrand. Cette opération a eu lieu en présence d'un conseiller fédéral. » (Pierre Tanger, journaliste d’investigation, journal Minute). Cette affaire revient en pleine actualité par la sortie du livre « Les milliards disparus de la Division Daguet » publié par Jean-Charles Duboc, lias Capitaine Haddock, dont Monsieur Michel Sapin, le ministre des Finances (qui était déjà ministre des Finances en 1992, cf.supra) vient d’en accuser réception le 27 janvier 2015. Et le 2 février 2015, Madame Véronique Lévêque-le Goff informe que Monsieur Michel Sapin a transmis le dossier au Ministère de la Défense. Les militaires qui souffrent des conséquences de l’uranium appauvri utilisé lors de l’opération Tempête du désert se sentent « cocu, battu, fou et croyez-moi très mécontent. » pour reprendre votre plaidoirie. Et comme l’a si bien dit François Léotard : çà va mal finir ! (Il est bien placé pour le dire) Et, cerise sur le gâteau, le 3 février 2015, Michel Sapin ose venir sur le plateau du Grand Journal nous parler de la lutte contre l’évasion fiscale en précisant qu’il s’agit d’une obligation morale absolue ! En votre qualité de Député depuis le 20 juin 2012 et de Secrétaire Général du RBM depuis le mois de septembre 2012, je vous remercie par avance de demander au Gouvernement de prendre ses responsabilités sur « la plus grande escroquerie du siècle qui représente l’impôt sur le revenu en France c’est-à-dire 360 milliards de nouveaux francs ! » comme vous l’avez si bien dit d’une part, et d’autre part sur « Les milliards disparus de la Division Daguet ». Dans l’attente de votre réponse, Je vous prie d’agréer, Monsieur le Député, l’expression de mes salutations distinguées. Christian BASANO "Il n'est point de secret que le temps ne révèle" (Jean Racine - Britannicus)

mercredi 28 janvier 2015

Michel SAPIN a été ministre délégué auprès du ministre de la Justice (mai 1991 - avril 1992, gouvernement Édith Cresson), ministre de l'Économie et des Finances (avril 1992- mars 1993, gouvernement Pierre Bérégovoy). A-t-il également participé à l’élaboration du vrai-faux contra PBE Oil SA qui a servi de support aux détournements de 22 milliards US $ ! La CIA va-t-elle dévoiler ses comptes cachés ?.................................

Le 26 janvier 2015 Monsieur Jean-Charles DUBOC à Monsieur Michel SAPIN Ministre des Finances et des Comptes publics 139, rue de Bercy, 75572 PARIS Courrier en A/R Copie : Monsieur Jean-Patrick MARTINI Direction Nationale des Enquêtes Fiscales Objet : Indemnités guerre du Golfe 1991 / Fonds de dotation Euroclippers Monsieur le Ministre, Suite aux courriers que je vous ai adressés récemment au sujet de la disparition des indemnités de la guerre du Golfe virées en 1991 à la France par le Koweït et les Emirats du Golfe, actuellement toujours en remboursement par l’Irak via la Commission d’indemnisation des Nations-Unies (CINU), vous avez saisi Monsieur Jean-Patrick MARTINI, inspecteur de la DNEF, et je vous en remercie. Compte-tenu de l’importance et des enjeux de ce dossier qui doit être résolu par une sortie "vers le haut" dans l’intérêt même de la DNEF, du ministère des Finances et de notre pays, je me permets de faire quelques remarques et suggestions Vous êtes conscient que le fond du problème réside dans le fait qu’un pourcentage important des vétérans du Golfe, qui ont respiré de la poussière d’uranium et des gaz neurotoxiques (25% à 30% des effectifs si l’on s’en tient au pourcentage de l’Armée américaine), souffrent du "Syndrome du Golfe" et qu’ils ne sont pas reconnus comme invalides de guerre et encore moins indemnisés. De plus, la prime de guerre qui devait être allouée à chaque combattant n’a jamais été virée. Elle constituerait pourtant une solide reconnaissance de la Nation à ceux qui se sont battus pour notre liberté et y ont laissé leur santé et parfois leur vie. Aussi, je me permets de faire quelques remarques et suggestions pour la résolution de ce dossier. Tout d’abord, je rappelle que les courriers et la prime d’aviseur que j’ai demandés lèvent la prescription des dix ans et que ce dossier peut ainsi être transmis au Procureur de la République. Ensuite, il me faut souligner que les documents (ci-joints) qui permettent d’ouvrir une instruction sont : 1/ Le fait que le New York Times du 8 septembre 1992 révèle que « L’information relâchée à une réunion de banques centrales aux Emirats Arabes Unis, dit que les gouvernements d’Arabie Saoudite, du Koweït et des Emirats du Golfe, ont versés 84 milliards de dollars en paiement direct aux Etats-Unis, à la Grande Bretagne et à la France pour les dépenses militaires ». Compte-tenu que le New York Times est un quotidien renommé, on peut en conclure que cette information est véridique ; 2/ La réponse de Christian Dufour, chef de cabinet de Christine Lagarde, au président de l’UNSOR, le 7 octobre 2008, et celle d’Hervé MORIN, ministre de la Défense, du 26 février 2009, qui déclarent qu’il n’y a aucune somme virée au titre des indemnités de la guerre du Golfe. Où est passé l’argent ?... Dans le cas où votre ministère ouvrirait une enquête et transmettrait le dossier au Procureur de la République, la demande de prime d’aviseur que j’ai faite devient valide. Cette demande d’une prime de 1% des fonds détournés représente une somme de 76 millions d’euros. Elle est totalement invraisemblable, indécente et irréaliste, à moins d’être destinée, dans sa quasi-totalité, à une action d’intérêt général que je tiens à développer. Depuis le premier courrier, adressé le 2 juin 1998 à M. Jean-Pascal BEAUFFRET, directeur général des impôts, j’ai exprimé le désir que cette prime soit destinée en partie à créer une Fondation qui aurait pour objet de construire des grands voiliers-écoles. Je tiens toujours à cet objectif, sachant qu’il a pris une forme plus évoluée. En effet, j’ai créé, le 10 novembre 2010, le « Fonds de dotation Euroclippers » qui a pour objet social : « la construction de grands voiliers hauturiers afin de les mettre à disposition d’armateurs en vue d’embarquer, pour des stages, des adolescents et des adultes, dans un but de formation maritime, humaine et culturelle, et de développement de la coopération européenne. Le Fonds de dotation Euroclippers est autorisé à faire tous actes de gestion, d’administration et de disposition qui concourent directement ou indirectement à son objet social, dès lors qu’ils ne sont pas prohibés par la réglementation en vigueur ». Cette structure est parfaitement adaptée au financement de grands voiliers-écoles par nos grands groupes industriels qui pourraient trouver un réel intérêt à financer un navire prestigieux destiné à la formation humaine des jeunes de toutes origines mais aussi, en particulier, à la restructuration mentale de jeunes en déshérence. Le prix d’un navire comme le « Shabab Oman II », voilier-école du sultanat d’Oman, lancé en 2014, est d’environ 50 millions d’euros et c’est au minimum la somme nécessaire pour capitaliser le « FDD Euroclippers » afin de construire un sister-ship. Shabab Oman II from Digitom Ltd on Vimeo. « Ce nouveau navire naviguera sur tous les océans, sur lesquels il portera un message de paix et d’amitié », a déclaré le commandant Khalifa, de la Marine du sultanat d'Oman. A une époque où il est facile à certains de faire des amalgames afin de développer la haine entre des jeunes issus de l’émigration et une population nationale plus ancienne, ce type de navire est parfaitement adapté à une action humaine et laïque de formation des adolescents et des jeunes adultes qui sont laissés-pour-compte dans les "ghettos" de nos banlieues difficiles. Bien sûr, ce projet peut sembler marginal face aux défis actuels de la société mais il a au moins l’ambition de lancer un véritable projet maritime international qui, par la suite, pourra se développer largement si les grandes entreprises françaises pouvaient s’investir financièrement dans un tel projet. Malheureusement, il est impossible de capitaliser le « FDD Euroclippers » car nous n’avons pas obtenu le rescrit fiscal qui permet aux entreprises et aux particuliers donateurs de bénéficier d’une réduction d’impôt. Aussi, dans le cas où la réglementation des fonds de dotation serait modifiée (est-ce nécessaire ?...) ainsi que les règlements sur le versement des primes d’aviseur, je solliciterai de votre haute bienveillance un réexamen de la demande de rescrit fiscal pour le « Fonds de dotation Euroclippers » afin qu’il puisse recevoir un virement d’environ 55 millions d’euros correspondant à une partie de la prime à laquelle j’estime avoir droit. D’autre part, je propose, dans les mêmes conditions, que le solde de 21 millions d’euros soit versé à la « Fondation Division Daguet » qui aura pour but social de « financer les actions en faveur des soldats souffrant du syndrome post-traumatique de guerre ». Cette fondation permettra de financer des jours de mer à bord d’un grand voilier-école mais aussi toute autre activité restructurante comme l’équitation ou la course en haute montagne. A cette fin, vous pouvez contacter le colonel Alain LE GUEN qui se consacre à aider nos militaires traumatisés physiquement et/ou psychiquement lors d’une Opération extérieure. Pour moi-même, je ne demande qu’une prime correspondant au salaire annuel d’un inspecteur général des Finances majoré de 40% pour les difficultés à me répondre et de 4% par année de retard. Je vous prie de bien vouloir agréer, Monsieur le ministre, l’expression de ma très haute considération. Jean-Charles DUBOC Une copie est envoyée, à titre d’information, en courrier normal, à : Monsieur François HOLLANDE Président de la République Palais de l'Élysée 55, rue du Faubourg-Saint-Honoré 75008 Paris Monsieur Manuel VALLS Premier Ministre Hôtel de Matignon 57, rue de Varenne 75700 PARIS SP 07 Madame Christiane TAUBIRA Garde des Sceaux, Ministre de la Justice 13, place Vendôme 75800 PARIS Monsieur Jean-Yves LE DRIAN Ministre de la Défense 14, rue Saint-Dominique 75700 PARIS - 07 SP Monsieur Alain LE GUEN Presse & Médias

jeudi 22 janvier 2015

François MITTERRAND, ancien président de la République, accusé d’avoir dérobé, avec quelques complices (dont certains dans le Gouvernement actuel…), les fonds virés à la France par le Koweït, l’Arabie Saoudite et les Emirats Arabes-Unis au titre des frais de guerre engagés lors de l’Opération « Tempête du Désert ». Messieurs les militaires (non corrompus) il est l’heure de vous réveiller…

Le 16 janvier 2015 Monsieur Jean-Charles DUBOC à Monsieur François HOLLANDE Président de la République Palais de l'Élysée 55, rue du Faubourg-Saint-Honoré 75008 PARIS Copie : Monsieur Manuel VALLS, Premier Ministre ; Monsieur Michel SAPIN, ministre des finances et des comptes publics ; Madame Christiane TAUBIRA, Garde des Sceaux, Ministre de la Justice ; Monsieur Jean-Yves LE DRIAN, Ministre de la Défense ; Colonel Alain LE GUEN ; Presse & médias. Objet : Budget des armées / Les milliards disparus de la Division Daguet Monsieur le Président, Nous sommes en guerre, et il va falloir obtenir un budget de guerre pour faire face à l’urgence des attaques terroristes sur le territoire national mais aussi dans des pays très exposés tels que le Mali, le Nigéria et la Lybie. Je vous rappelle que le groupe de terroristes Boko-Haram a assassiné la semaine dernière 2.000 personnes dans la ville de Baga qui est maintenant contrôlée par des islamistes et rasée à 90% !... Les groupes terroristes peuvent frapper dans nos villes à tout moment et nous devons prendre les mesures pour empêcher ces fanatiques de mettre leurs menaces à exécution : - interdiction des départs des candidats au djihad (et à leur retour) ; - échange de données avec les autres pays européens sur les passagers aériens dès la réservation du vol ; - contrôle des condamnés pour terrorisme ; - création de quartiers spécialisés dans les prisons ; - construction de nouvelles prisons de haute sécurité pour les plus dangereux. D’autre part, policiers, gendarmes, militaires, agents du renseignement, nos soldats de la liberté, ne peuvent pas sérieusement combattre les djihadistes à « Charlie Hebdo » ou au Mali avec des chaussures trouées et les poches vides. Tout cela coûte cher, et je me permets de vous rappeler le dossier du détournement des indemnités de la guerre du Golfe de 1991. Par un courrier à Michel SAPIN du 15 décembre dernier, vous avez pris connaissance du fait que j’accuse François MITTERRAND, ancien président de la République, d’avoir dérobé, avec quelques complices, les fonds virés à la France par le Koweït, l’Arabie Saoudite et les Emirats Arabes-Unis au titre des frais de guerre engagés lors de l’Opération « Tempête du Désert ». Le montant détourné serait, en valeur actuelle, de 7 milliards d’euros, et même du double, d’après une source récente de la défense. Vous trouverez, avec la présente, un exemplaire du livre « LES MILLIARDS DISPARUS DE LA DIVISION DAGUET », disponible sur Amazon, et qui détaille ce dossier. Ces fonds ont-ils été récupérés ?... Si c’est le cas, ils seraient particulièrement bienvenus pour les besoins actuels. D’autre part, les engagements fanatiques d’une partie de nos jeunes ne sont que le résultat de l’incapacité des dirigeants politiques, depuis quatre décennies, à trouver des solutions satisfaisantes pour la formation humaine des jeunes dont beaucoup sont « laissés pour compte » dans des ghettos, au risque d’être attirés par les discours de cinglés fanatiques. Notre pays porte une large part de responsabilité dans la situation actuelle. En 1993, j’ai créé, avec l’Amiral Charles Henri-Méchet, préfet maritime de la Manche et de la Mer du Nord, un laboratoire d’idées, les « CLIPPERS DE NORMANDIE, qui avait pour objectif de : 1/ De participer, à partir de stages embarqués sur des grands voiliers assurant une pratique de la voile et la découverte de la mer, à l’éducation, la formation et la réinsertion d’adolescents et d’adultes ; 2/ De rechercher au préalable des partenaires publics ou privés pour le financement et l’exploitation de ses bateaux à voile. Nous avions défini un très important projet de formation des jeunes par la navigation océanique, en équipage, à bord de grands voilier-écoles. Ce projet est aussi parfaitement adapté à nos militaires qui souffrent du syndrome post-traumatique de guerre. Cette association a rassemblé de nombreuses personnalités du monde maritime, dont une trentaine d’amiraux, mais n’a jamais été écoutée. Pour quelles raisons ?... Est-ce normal alors que des dirigeants politiques dérobent des milliards ?... J’espère que ce courrier retiendra votre attention, et vous prie d’agréer, Monsieur le Président de la République, l’expression de ma très haute considération. Jean-Charles DUBOC

samedi 17 janvier 2015

CHARLIE OR NOT CHARLIE ? Dis Papa, c’est quoi la Liberté d’expression ? Un Ministre qui fait annuler une émission de TV ? Un ministre qui fait bloquer des écoutes sur le "clan" Kouachi ? C’est cela qu’on appelle la théorie du complot ?...

Je vous invite à comprendre la théorie du complot pour les NULS en regardant le reportage sur l'extinction des puits de pétrole en feu au Koweït en 1991 (en cliquant sur le lien ci-après) qui devait être diffusé dans l'émission Sans Aucun Doute présenté par Julien Courbet. http://nemesistv.info/video/MMO7W747W4W5/dsk-kuwait-gate# http://nemesistv.info/video/MMO7W747W4W5/dsk-kuwait-gate# M° Gilbert Collard, avocat de Joseph Ferraye, qui était présent sur le plateau de Sans Aucun Doute, avait très justement déclaré : « Ce serait la plus grosse escroquerie du siècle sur fond de politique et de guerre du Golfe ! la plus grande escroquerie du siècle, escroquerie incroyable, enjeu colossal; on ne joue plus avec des rigolos, on joue avec de vrais tueurs, des hommes prêts à tout sous prétexte qu'un Etat a des intérêts qui sont reliés par d'autres Etats ». Julien Courbet, le présentateur, a quant à lui annoncé : « Cette affaire pourrait remonter très très très haut ». Julien Courbet dans l’émission « Salut les Terriens ! » sur Canal + présentée par Thierry Ardisson, le 6 juillet 2013 « Je vais vous raconter une anecdote très rapide. Un jour dans une émission comme ça d’arnaque (12 mai 2000) un petit artisan à peine, il nous dit : j’ai inventé un brevet pour éteindre les puits de pétrole et je me le suis fait piquer. On enregistre sans en parler à personne. Dans la nuit la boîte de prod est dévalisée sans que l’alarme sonne. Et le lendemain, on retrouve des dossiers partout par terre, il en manque un, celui-là, aucun autre, donc voilà ! » Extrait du livre Le Rapport OMERTA 2002, Sophie Coignard interroge Bernard NICOLAS (journaliste qui était présent sur le plateau de l'émission du 12 mai 2000), page 261 : - Vous avez déjà été victime de censure dans l'exercice de votre métier ? Plusieurs fois. Dès lors qu'il était question de personnage politique de premier plan, les ennuis commençaient à TF1… Une fois, j'avais fait un reportage sur une histoire politico-financière compliquée qui devait passer dans l'émission de Julien Courbet Tout est possible. Dans la journée, une autopublicité annonce le thème de mon enquête. La direction de TF1 s'inquiète : cette affaire peut-elle être gênante pour Dominique Strauss-Khan ?… J'étais interloqué : rien n'indiquait dans mon enquête que DSK fût mêlé en quoi que ce soit à cette affaire. Soit on se trompait en haut lieu, soit on en savait plus long que moi….. Les téléspectateurs qui ont vu la bande-annonce n'ont jamais vu la suite… " Il n'est point de secret que le temps ne révèle" (Jean Racine - Britannicus)

vendredi 9 janvier 2015

DE GAULLE réveille-toi, ils sont devenus fou !....

La liberté d’expression c’est bien, la Liberté c’est mieux. Ce qui est vraiment dommage c’est qu’il faut un acte odieux pour rassembler les Français qui vont eux-mêmes demander et voter à une grande majorité la suppression de leur liberté en acceptant le Patriot Act à la française qui est en cours de préparation depuis plusieurs mois ! … « Les Français d’aujourd’hui sont comme les petits cochons des abattoirs de Chicago ; plein de grognements et de réticences. Mais à la fin, ils sortent bel et bien en boîtes de conserve… » (Confidence du Général de Gaulle à son secrétaire particulier le 2 février 1947) "Avec le terrorisme, nous conduirons des guerres" (devise des services secrets israéliens) "Le terrorisme est la meilleure arme politique, puisque rien ne fait réagir davantage les gens que la peur d'une mort soudaine." (Adolf Hitler) "L'État possède le monopole de la violence légitime." (Max Weber) "L'individu est handicapé en se retrouvant face à face avec une conspiration si monstrueuse, qu'il ne peut croire qu'elle existe." (J. Edgar Hoover Directeur du FBI) “En politique, rien n'arrive par accident. Si quelque chose se produit, vous pouvez parier que cela a été planifié de cette façon.” (Franklin Delano Roosevelt) "Supposons que tout ce que vous savez n'est pas seulement faux, mais qu'il s'agit de mensonges soigneusement rédigés. Supposons que votre esprit est remplit de fausses croyances - sur vous même, sur l'histoire, sur le monde qui vous entoure - implantées là par des forces puissantes, de façon à vous leurrer dans la complaisance. Votre liberté est par conséquent une illusion. Vous êtes en fait un pion dans ce complot, et votre rôle est celui d'un crédule qui doit prendre son rang, si vous faites partie des chanceux."(Charles Paul Freund) "Aujourd'hui, l'Amérique serait outrée si les troupes des Nations Unies entraient dans Los Angeles pour restaurer l'ordre. Demain elle en sera reconnaissante! Ceci est particulièrement vrai s'il leur était dit qu'un danger extérieur, qu'il soit réel ou promulgué, menace leur existence. C'est alors que les peuples du monde demanderont à être délivrés de ce mal. L'unique chose que tous les hommes craignent est l'inconnu. Confrontés à ce scénario, les droits individuels seront volontairement abandonnés au profit de la garantie de leur bien-être assuré par le gouvernement mondial." Henry Kissinger, Conférence Bilderberg, Evians, France, 1991