mercredi 8 août 2007

Jean-Louis Georgelin, Général 5 étoiles a compris qu’il ne se battait plus pour la Nation, mais pour la Haute Finance ! Il est prié de la boucler...!!

Grâce à son homonyme Jean-Louis Gergorin, rendu célèbre dans l’affaire « Clearstream », les comptes des militaires corrompus de l’opération « Daguet » vont bientôt être dévoilés au Peuple souverain. Car, pendant ce temps, nos militaires ayant participé à la 1ère Guerre du Golfe sont en train de mourir du « Syndrome de la Guerre du Golfe » sous prétexte que l’Armée n’a pas d’argent ! Alors même que l’ancien Président de la République, en tout vergogne a détourné plus d’un milliards US $ des indemnités versés à la France :

Extrait de la lettre du 20 avril 2006, envoyée par Monsieur Jean-Charles Duboc (capitaine Haddock) à :
Monsieur Nicolas Sarkozy, Ministre d’État, Ministre de l’intérieur et de l’Aménagement du territoire.
Madame Michèle Alliot-Marie, Ministre de la Défense.
Objet : Indemnités de la Guerre du golfe attribuées à la France / Groupe AZF
« …..L'affaire commença lorsque j'appris, en novembre 1997, d'un informateur anonyme, alors que j'étais commandant de bord à la compagnie Air France et que je me rendais très souvent en B747 Cargo à Dubaï, Abu-Dhabi ou Doha, que les indemnités de la Guerre du Golfe auraient été dérobées par François Mitterrand, président de la République.
Je rappelle qu'au titre de l'indemnisation des dépenses militaires de l'opération Tempête du Désert les USA ont reçu du Koweït 13,5 milliards de $, le Royaume Uni 1,4 Md$, la Turquie 1,4 Md$, l'Égypte 970 millions de $, le Zaïre 20 millions de $, que 6,89 milliards de $ ont été attribués en "dépenses extraordinaires et d'urgence", et que la Presse s'est fait l'écho d'un versement à la France de plus de un milliard de $, par les Émirats Arabes (Courrier International du 28 novembre au 2 décembre 1998)
La première réaction d'incrédulité passée, j'ai pu faire, en décembre 1998, une première confirmation de cette information ahurissante au plus haut niveau de l'État-major des Armées.
J'avais, en effet, de part mes activités professionnelles et associatives, la possibilité d'être en contact avec de très hauts gradés de l'État-major de la Marine nationale, et de l'État-major de l'Armée de l'Air…
J'ai réussi, de plus, à obtenir début janvier 1998, une confirmation de ce détournement par le parti politique auquel j'appartenais, le Rassemblement Pour la République…
Les officiers et les élus RPR qui l'ont découvert étaient scandalisés par ce détournement de fonds, car si la somme dérobée est colossale, le crime contre la morale n’est pas tolérable… En effet, cet argent est celui du sang de nos soldats, et il doit être considéré comme sacré…
EN RAISON DES CERTITUDES ACQUISES SUR LA RÉALITÉ DE CE DÉTOURNEMENT DE FONDS, J’AI DÉCIDÉ, AVEC UNE AUTRE PERSONNE, MONSIEUR X, DE LE DÉNONCER AU MINISTÈRE DES FINANCES ET D’EFFECTUER, AINSI, CE QUE L’ON APPELLE MAINTENANT UNE ALERTE ÉTHIQUE.
Il n’y avait, à l’époque, aucun système véritablement efficace « d’alerte éthique » destiné à lutter contre la corruption, ou des actes illégaux, au sein des grandes entreprises, et ce type d’action ne s’est développé que récemment.
Vous savez que, suite à la faillite d’Enron, le gouvernement américain a mis en place en 2002, avec la loi Sarbanes-Oxley, un système de contrôle des dirigeants des grandes entreprises sous l’appellation de « whistleblowing ». Celui-ci se met en place, progressivement, au niveau planétaire, et permet, ainsi, une information à la Justice par les employés confrontés à des comportements illégaux au sein de leur entreprise.
Ce système d’alerte ne doit pas être confondu avec la délation.
En effet, la délation est le principal moyen des totalitarismes, de droite et de gauche, qui permet de contrôler les citoyens se refusant à reconnaître les lois en cours, en général destinées à maintenir un culte de la personnalité envers un dictateur (Hitler, Staline, Mao, etc…).
L’ALERTE ÉTHIQUE EST EXACTEMENT LE CONTRAIRE DE LA DÉLATION.
Elle permet à l’individu de contrôler le dirigeant, qu’il soit à la tête d’une entreprise ou d’un État.
L’alerte éthique, en contrôlant les dirigeants, permet un meilleur fonctionnement de la démocratie, et de la gouvernance des entreprises. En effet, bien souvent, la véritable finalité du système démocratique est de donner au citoyen, ou à l’employé, le choix d’un maître qui pense et décide pour lui…
Si un système d’alerte éthique est mis en place, progressivement, dans les entreprises, il n’y a encore rien de comparable pour les États qui sont, au moins, aussi vulnérables que les multinationales.….
Je fais, ainsi, au sujet de l’alerte éthique, ces deux remarques principales : « Si cette pratique a fini par s’imposer comme une nécessité absolue pour assurer le fonctionnement correct des grandes entreprises, pourquoi n’en serait-il pas de même pour les États ? » / « Ne devons-nous pas contrôler nos dirigeants politiques de la même façon que les chefs d’entreprises, au moyen d’une alerte éthique, rémunérée ou non, pour éviter les détournements de fonds publics, qu’ils soient en France, en Europe, ou, d’une façon plus globale, dans tout État de la planète, quel que soit le continent ?...»
Ces deux questions sont à la base de mon action sur ce qui semble être le DÉTOURNEMENT DES INDEMNITÉS DE LA GUERRE DU GOLFE 90/91 par François Mitterrand…
J'ai immédiatement obtenu, suite aux informations relatives à ce détournement, un important soutien, de diverses personnes, pour résoudre ce problème…
La première analyse révélait un important dysfonctionnement de votre ministère.
Très rapidement, un rendez-vous a été pris pour le 19 janvier 1998 à la Brigade de Contrôle et de Recherche (BCR), de la Direction Générale des Impôts, à l'Hôtel des Finances du Havre.
J'étais accompagné de Monsieur X, qui désire rester anonyme, et nous avons avisé le ministère des Finances de ce détournement de fonds, dont nous savions qu'il était supérieur à un milliard de dollars.
Les informations ont été reçues par messieurs Pascal Arzur et Bernard Bonte, inspecteur et contrôleur à la Brigade d'Intervention Interrégionale de Lille, dépendante de la Direction Nationale d'Enquêtes Fiscales (DNEF), et messieurs Philippe Coillot et Michel Mary, contrôleurs divisionnaires à la BCR du Havre.
J'avais auparavant effectué une première information à la Justice, et à la Presse, en envoyant une lettre anonyme, intitulée "le Trésor de la Momie", sous le pseudonyme du Capitaine Haddock… Celle-ci racontait les aventures de Grand Pharaon Mitterrandpeth dérobant les indemnités de la Guerre du golfe…
Ce courrier a eu un certain succès au Syndicat National des Pilotes de Ligne (SNPL), puisque que l'information a commencé à circuler dans les cockpits. ….»

Pierre Tanger, journaliste d’investigation, écrit : « Dans les archives des RG figure ainsi un "blanc" concernant un mystérieux capitaine Haddock, Haddock qui attribue à feu François Mitterrand un détournement des indemnités de la guerre du Golfe : "les pays du Golfe d'Arabie ont signé un chèque de plus de un milliard de dollars à la France. Cette somme représente les indemnités de la guerre du Golfe et notamment des frais engagés par la Marine Nationale, l'Armée de l'Air, ainsi que l'Armée de Terre au titre de la division Daguet. Ce chèque a été transporté du Qatar par un Falcon 50 et déposé à Zurich sur un compte bancaire suisse au nom de François Mitterrand. Cette opération a eu lieu en présence d'un conseiller fédéral. »
A suivre….

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