mercredi 7 mai 2008

Monsieur le Procureur de la République : Qui a clôturé ou donné l'ordre de fermer le compte N° 231215 de L' UBS ?

CHRISTIAN BASANO Mandelieu, le 5 mai 2008
EXPERT-COMPTABLE DIPLOME
EX-COMMISSAIRE AUX COMPTES
C/O Jacques Delamonica
397 bd de la Tavernière
06210 Mandelieu la Napoule
Tél. : 00.33.6.87.88.95.05
basa888@gmail.com

Tribunal de Grande Instance de Paris
A l’attention de Monsieur le Procureur de la République
4 Boulevard du Palais – 75001 Paris




LR / AR : 1A 004 437 0207 3

COPIE à M. le Procureur Général, M. le Président de la République, M. le Ministre de la Justice, Garde des Sceaux, M. le Secrétaire Général de l’ONU, CEDH, Audiencia Nacional Espana,


OBJET : Plainte pour usurpation d'identité, faux et usage de faux, vol et recels

Monsieur le Procureur de la République
Près le Tribunal de Grande Instance de Paris


Je soussigné Christian BASANO né le 12 juillet 1957 à Nice, demeurant C/O Jacques Delamonica, 397 bd de la Tavernière - 06210 Mandelieu la Napoule, Expert-Comptable diplômé, radié en toute illégalité du Tableau de l’Ordre le 17.12.1999 (Demande de dommages et intérêts en cours contre l’Ordre des Experts-Comptables et le Ministre des Finances),
Ai l’honneur de porter plainte entre vos mains contre le Directeur de la C.I.A et les agents du bureau de Paris, le Ministère des Finances, le Directeur de l’U.B.S (Genève), le Directeur de l’ABN AMRO (Bâle), le Directeur du Royal Trust Bank (Toronto), le Directeur de la FIRST INTERSTATE Bank (New York), le Directeur FIRST HOME Bank (Grand Cayman) et le Directeur de la BMB (Genève) pour usurpation d'identité, faux, usage de faux, vol et recels.Les voleurs d’identité ont utilisé le nom et le passeport de Christian Basano pour effectuer une ou des transactions depuis 1991. L’usurpation d’état civil consiste dans le fait, notamment pour une personne appelée à justifier de son identité, de prendre le nom d’un tiers. Ce qui a été fait par le ou les personnes citées ci-avant. Cet emprunt tombe sous le coup de la loi pénale lorsqu’il est commis dans des circonstances qui ont déterminé ou auraient pu déterminer contre l’intéressé des poursuites pénales (art. 434-23 C.pén., ancien art. 780 C.pr.pén.) le punissant de cinq ans d'emprisonnement et de 75000 euros d'amende. Ce texte réprime ainsi toute usurpation - même partielle (Crim. 13 janvier 1955) - d'une personne réellement existante (Crim. 13 mai 1991).
Le 14 mars 2008, Le Credit Lyonnais écrit que le chèque de 1.425,42 € que j’avais émis sur mon compte N° 231.215 sur l’UBS est revenu impayé au motif : « Compte clôturé »
Le 27 mars 2008, le Crédit du Nord écrit que le chèque de 1.116,28 € que j’avais émis sur mon compte N° 231.215 sur l’UBS est revenu impayé au motif : « Paiement stoppé : Compte clos »
Ces deux réponses démontrent sans aucune équivoque que le compte N° 231.215 existait bien sous le nom de Christian Basano. Alors qui a donné l’ordre de clôturer ce compte ?
L'usurpation d'identité (ou vol d’identité) est le fait de prendre délibérément l'identité d'une autre personne, généralement dans le but de réaliser une action frauduleuse, comme accéder aux finances de la personne usurpée, ou de commettre un délit ou un crime anonyme.

La société S B Holding (S B H), est une société anonyme de droit Suisse créée le 1er mai 1991 et dotée d’un important fond de placement en juin 1995, dont le siège social est au 56 rue du Stand, 1204 Genève. Des bureaux commerciaux et logements pour les cadres dirigeants sont également installés au 6 rue Jean Gougeon, 75008 Paris. Ses banques de référence sont la SBS (Société des Banques Suisses) et la SBA (Société des Banques Arabes). La société SB Holding conseille et assiste la société ELF. Le 20 août 1999 un premier rapport d'activité sur les comptes de Monsieur Christian Basano précise :

I Que divers organismes bancaires ont travaillé directement avec le nom de monsieur Basano pour la réception et le transfert des fonds ?

II Que des organismes financiers ou bancaires ont simplement servi de relais dans l'utilisation du nom de monsieur Basano pour l'ouverture de comptes mais que souvent ces comptes n'ont servi que pour une seule transaction, et qu'ils restent à ce jour, malgré tout ouverts.

III La plupart de ces comptes sont organisés à plusieurs tiroirs, avec un compte principal qui réceptionne le virement, mais qui exécute immédiatement la répartition qui se fait automatiquement sur des comptes secondaires sous le même N° avec des lettres ou des chiffres b,c,d, de ce fait la transaction semble être moins importante
L’usurpation de l’identité de Christian Basano a notamment porté sur les comptes :

- ABN AMRO (Basel) N° 1.068.635 1.420.000.000 US $
- BMB (Genève) N° 7915 2.485.000.000 US $
- ROYAL TRUST (Toronto) N° 436.543 1.811.000.000 US $
- FIRST INTERSTATE Bank (New York) N°477.925 1.200.000.000 US $
- FIRST HOME Bank (Grand Cayman) N° 392.857 1.122.000.000 US $
- UBS (Genève) N° 231.215 381.987.200 US $
________________
TOTAL 8.419.987.200 US $
Les Banques ont utilisé la technique des comptes « Banque écran » dans le cadre du fonctionnement des comptes « nostri » : Procédé par lequel, un investisseur, par souci de discrétion, fait réaliser pour son compte, mais par une banque et au nom de celle-ci, une opération financière. Ce système qui suppose un secret bancaire TOTAL…, implique, si l’opération est importante, le risque qu’elle ne soit pas retrouvée dans les bilans de la banque si ceux-ci sont publiés.

Monsieur Guy BARBONI, Directeur Adjoint de l’Agence UBS – 8 rue du Rhône, qui a reçu Joseph FERRAYE, Christian BASANO et Marc Etienne BURDET, le 31 janvier 2005 a déclaré, concernant le compte N° 231215 : « Ce compte n’existe pas « en la forme » sur les écrans de ses ordinateurs »… ce qui ne veuille donc en aucun cas dire : Que le compte N° 231215 n’existe pas en compte secret niveau (II) ADER. Parmi les documents « portés disparus » au Palais de Justice de Genève, nous avons pu retrouver la retranscription d’une image écran (donnée en 1995 à M° MOTTU, notaire à Genève, par un agent de la Drug Enforcement Administration – DEA). Ce document concerne précisément le compte N° 231215 UNION DES BANQUES SUISSES devenu par un subtil « Jeu de Banques » UNITED BANK Of SWITZERLAND sur lequel nous pouvons lire que Le 16 octobre 1991, l’ UNION DES BANQUES SUISSES (UBS) a crédité le compte N° 231215 d’un montant de US$ 381.987.200.- par virement en provenance de la Midland Bank International London (Capital détenu à cette époque, majoritairement par les Koweïtiens) – Transfer Account 35341139 – Value date 91.16.10 – ADER (Ayant Droit Economique Réel) Christian BASANO c'est-à-dire BO (Beneficial Owner) pour la « New Generation » des banquiers suisses ! Nous avons également pu récupérer la copie d’un Telex – Code : C.340. On remarquera qu’une somme de US$ 50.000.000 a été réceptionnée sur le compte N° 231215 par transfert électronique codé, SWIFT (Society for Worldwide Financial Telecomunications) dont l’accès est réservé aux seules banques centrales, banques et leurs filiales. « La CIA espionne la finance internationale » (Le Nouvel Observateur du 23 juin 2006)

Monsieur Yves Bertrand dans son dernier livre « JE NE SAIS RIEN… MAIS JE DIRAI (PRESQUE) TOUT… » mentionne cette affaire sous le nom de code « Opération FERRAYE » (pages 187 à 189)

Le Capitaine Paul Barril, dans son rapport d’investigation du 7 juin 1997 précise quant à lui : « Avec ses originaux, nous vous donnons la possibilité de vous retourner tant au niveau pénal que civil contre les notaires et les banques qui ont tenté d’usurper votre identité sur un dossier qui n’existe pas légalement »

Monsieur Denis Robert pour avoir eu le courage de dénoncer le mécanisme de la corruption mondiale vient d’être mis en examen ! Je vous précise qu’il a écrit dans son deuxième livre sur l’affaire Clearstream, La Boite Noire – Chap.13 :

« L’expert-comptable niçois, Christian Basano, est le héros malheureux d’une histoire très complexe liée à la Guerre du Golfe. Au lendemain du conflit, des Koweïtiens aidés par des complices occidentaux auraient détourné 16 milliards de dollars provenant de l’aide internationale (et donc, des banques de plusieurs pays). Ces fonds devaient en principe financer l’extinction des puits de pétrole koweïtiens, selon une méthode imaginée par un chercheur génial ayant déposé un brevet. Christian Basano était alors un proche de ce chercheur. Avec lui, il avait créé une société et envoyé des photocopies de son passeport pour obtenir un visa koweïtien.
L’affaire Basano a commencé quand ce dernier s’est rendu compte, quelques années plus tard, qu’on s’était servi de son identité et de ses papiers pour transférer, via une banque hollandaise, des fonds provenant du Koweït. Ces fonds seront investis en titres grâce à un compte non publié de Clearstream. Christian Basano se déplacera jusqu’à Luxembourg et livrera ses documents aux autorités grand-ducales. On y trouve la liste et les références précises de tous ces comptes ».

J’espère que vous tiendriez compte de mes arguments pour ouvrir une information judiciaire et me tenir informé du N° de Plainte vu l’extrême gravité de la situation.

Dans cette attente,

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Procureur de la République, l’expression de ma considération distinguée.


BORDEREAU DE PIECES ANNEXES

1° Liste des comptes
2° Copie d’écran UBS
3° Copie d’écran ABN AMRO
4° Swift ABN AMRO
5° Carte de visite Royal Trust
6° Rapport d’investigation du Capitaine Paul Barril
7° Lettre du Crédit Lyonnais du 14/03/2008
8° Lettre au Crédit Lyonnais du 10/04/2008
9° Lettre du Crédit du Nord du 27/03/2008
10° Lettre au Crédit du Nord du 30/04/2008

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