mercredi 25 février 2009

dimanche 22 février 2009

L'U.B.S (l'Union des Bandits Suisses) va (enfin) payer pour tous leurs crimes...

IRS or revenu us fedweral state
Internal Revenue Service
United States Department of the Treasury

opr@irs.gov opr@irs.gov
Monsieur le Directeur,
Dans le cadre de votre enquête sur les comptes cachés de l’UBS, je tiens à vous communiquer les informations suivantes :
l’U.B.S et le Crédit Suisse font partie des banques qui participent activement à un important réseau international de blanchiment de capitaux. Pour se faire, l’UBS utilise la technique « Banque écran » dans le cadre du fonctionnement des comptes « nostri » : Procédé par lequel, un investisseur, par souci de discrétion, fait réaliser pour son compte, mais par une banque et au nom de celle-ci, une opération financière. Ce système qui suppose un secret bancaire TOTAL…, implique, si l’opération est importante, le risque qu’elle ne soit pas retrouvée dans les bilans de la banque si ceux-ci sont publiés.
L’UBS a même créée une société inscrite au registre du commerce de Genève sur lequel nous pouvons lire : UBS SA avec siège à Genève – 8 rue du Rhône a été enregistrée au Registre du Commerce de Genève sous le N° 06513/1999 en date du 23.06.1999 et radiée le 22 octobre 2002 sous le Numéro fédéral CH-660-1164999-1 Numéro de dossier 6513/1999 dont un des administrateurs étaient Monsieur ROBERT Alain. Or, il est surprenant de constater que Monsieur Robert Alain travaille toujours à l’UBS à Zurich ( !?). En d’autres termes, serait-ce à dire que UBS SA a pratiqué des opérations bancaires, probablement hors du bilan de la Maison mère, au travers d’établissements « Banques écran » qui n’auraient pas de licence bancaire ?

Pourquoi la Commission Fédérale des Banques (CFB) devait se saisir de ce dossier, mais pour l’instant semble plutôt vouloir étouffer l’affaire. Serait-ce sous la pression du Gouvernement Suisse ? La corruption, tout comme en France dans cette affaire, se tient-elle aux plus hautes instances du Gouvernement ?

Ce montage juridique a permis à l’UBS de solder de nombreux comptes litigieux en toute illégalité. Ensuite, l’UBS (Union des Banques Suisses) a fusionné avec la SBS (Société des Banques Suisses) pour donner naissance à l’UBS (UNION BANK Of SWITZERLAND).
L’UBS, dans le cadre du détournement de fonds du programme « Pétrole contre Nourriture » a notamment utilisé le compte N° 231215 (copie d’écran ci-jointe) sur lequel nous pouvons lire que Le 16 octobre 1991, l’ UNION DES BANQUES SUISSES (UBS SA) a crédité le compte N° 231215 d’un montant de US$ 381.987.200.- par virement en provenance de la Midland Bank International London (Capital détenu à cette époque, majoritairement par les Koweïtiens) –
Transfer Account 35341139 – Value date 91.16.10 – ADER (Ayant Droit Economique Réel) Christian BASANO

Nous avons également pu récupérer la copie d’un Telex – Code : C.340. On remarquera qu’une somme de US$ 50.000.000 a été réceptionnée sur le compte N° 231215 par transfert électronique codé, SWIFT (Society for Worldwide Financial Telecomunications) dont l’accès est réservé aux seules banques centrales, banques et leurs filiales. « La CIA espionne la finance internationale » (Le Nouvel Observateur du 23 juin 2006)

Il est intéressant de noter qu’à la demande du Juge d’Instruction, Christine JUNOD (corrompue aux banquiers), l’UBS SA a répondu le 20 octobre 2000 « En ce qui concerne le document joint (la retranscription d’écran du compte N° 231215), IL SEMBLE s’agir d’un faux,.. »
Concernant toujours le même compte N° 231215, le 31 janvier 2005, Monsieur Guy BARBONI, Directeur Adjoint de l’Union Bank of Switzerland (UBS) après avoir perdu son sang-froid a déclaré droit dans ses bottes :
« Ce compte n’existe pas « EN LA FORME » sur les écrans d’ordinateurs de l’ UBS » !
Il est bien évident qu’au simple grade de Directeur Adjoint, les représentants de l’Union Bank of Switzerland (UBS) ne pouvaient répondre aux questions posées que par des termes pour le moins surprenants : IL SEMBLE - n’existe pas « EN LA FORME . En effet, le compte N° 231215 est un compte Niveau II, ultra secret connu et géré directement par le Président de la Banque aux ordres de…

Christian BASANO : UBS ( Genève ) N° 231.215…………………………….. 381.987.200 US $

François COLONA : UBS ( Genève ) N° 248.466.71 …………………………..710.000.000 US $

Serge REBOUR : UBS ( Genève ) N° 564.911.DF ……………………………...380.000.000 US $
- UBS ( Genève ) N° 20.087 Sulliman………………………….410.000.000 US $

Fouad HOBEICH : UBS ( Genève ) N° non indiqué ……………………………690.000.000 US $

Victor GEBRANE : SBS ( Genève ) N° 15.018 / C.3.112.957…………………. 650.000.000 US $
- SBS ( Genève ) N° 16.287 / C.3.112.957 ………………….715.000.000 US $
- SBS ( Genève ) N° 15.018 / C.3.112.957 …………………….9.000.000 US $


Il est également très intéressant de noter que le compte N° 231215 existait bien avant le 16 octobre 1991… !!!! et que Monsieur Jean Pierre VAN ROSSEM était connu comme un ex-escroc sympathique, ex-milliardaire excentrique, ex-homme politique inclassable et toujours auteur de romans que personne ne lit, sans oublier que des bailleurs de fonds (comme l’UBS) lui avaient déjà payé son écurie de Formule 1. N° 231215, détenteurs Jean Pierre VAN ROSSEM, Roland VANDEN AVENNE, Christian VANDE VYVERE, montant 47.987.345,12 USD
Pour compléter votre information je vous communique également les comptes suivants ouverts dans vos livres avant fusion UBS / SBC - SBS :
N° 231215, détenteurs Jean Pierre VAN ROSSEM, Roland VANDEN AVENNE, Christian VANDE VYVERE, montant 47.987.345,12 USD
1° N° 713.298.329, détenteur PARCIFAL, montant 51,765,833 USD, Account of PARCIFAL was transferred from UBS Agency Zürich to UBS Agency MONTHLEY (suburb of Genève). Proxy holder unknown. (Monthley ou Monthey ?)
2° N° 903.762.61 H, détenteur PARCIFAL, montant 63,225,686 USD
3° N° C3 - 112.957, détenteur Jean Pierre VAN ROSSEM, Portofolio management account. M. Yves COUDRIN had a proxy on account C3 - 112.430 of Bureau de Conseil Européen.
4° N° 447.162.87.77, détenteur Jean Pierre VAN ROSSEM, J-P RAMSEYER. Président de la Direction. Avenue de la Gare 36 CH - 1951 Sion. Blocked by M. GREGOIRE in 1990... what can't be deducted from the available documents. The account is hold at the ZERMATT Agency. Find herunder the infos.
5° N° 24.B.466.71.H, détenteur Jean Pierre VAN ROSSEM, BMB statement of account with transfer of 133.000.000,-BEF to account 248.466.71 A. Or the 2 accounts exist, or the number is wrong, or there has been a falsification at BMB. The 8 became a B & the A became a H. ???
6° N° 382.521.2 détenteurs Roland VANDEN AVENNE, André VANDEN AVENNE,
Christian VANDE VYVERE, Philippe VANDE VYVERE, Bernard VANDE VYVERE - Transfer of 500.000.000,-BEF on 11.01.89 from Bank van Roeselaere
7° N° C3 - 644.509.0, détenteur Jean Pierre VAN ROSSEM c/o Henri ZWICKY - Belongs to Henri Zwicky, but JPVR had a proxy on this account.
8° N° 713 298 329, détenteur Jean Pierre VAN ROSSEM Same account number as PARCIFAL at UBS Zürich !!!
March-April 1993 Euro-Barameter 39. “Member of National Government” :
► France : Dominique Strauss Khan
► Belgique : Jean-Pierre Van Rossem

Le logiciel « PROMIS » (Prosecutor’s Management Information System) appliqué à la gestion des flux monétaires internationaux est une arme autrement plus dangereuse que celles qu’utilisent les armées…car, à travers la « porte dérobée » il permet de pénétrer des comptes secrets y compris des comptes en Suisse, et en retirer de l’argent sans laisser de trace. Grâce aux sociétés de Clearing comme « Clearstream » ou « Euroclear » un système de dissimulation d'opérations bancaires est mis en place avec l'aval de dirigeants de banque, d'hommes politiques influents. Le clearing permet de remonter n'importe quelle filière d'argent sale si l'on s'en donne les moyens, car tout est traçable, tout…absolument tout !
La société S B Holding (S B H), est une société anonyme de droit Suisse créée le 1er mai 1991 et dotée d’un important fond de placement en juin 1995, dont le siège social est au 56 rue du Stand, 1204 Genève. Des bureaux commerciaux et logements pour les cadres dirigeants sont également installés au 6 rue Jean Gougeon, 75008 Paris. Ses banques de référence sont la SBS (Société des Banques Suisses) et la SBA (Société des Banques Arabes). La société SB Holding conseille et assiste la société ELF
le 20 août 1999 un premier rapport d'activité sur les comptes de Monsieur Christian Basano Le cabinet d'audit suisse, SB Holding conclut dans son rapport d'enquête :
I Que divers organismes bancaires ont travaillé directement avec le nom de monsieur Basano pour la réception et le transfert des fonds ?
II Que des organismes financiers ou bancaires ont simplement servi de relais dans l'utilisation du nom de monsieur Basano pour l'ouverture de comptes mais que souvent ces comptes n'ont servi que pour une seule transaction, et qu'ils restent à ce jour, malgré tout ouverts.
III La plupart de ces comptes sont organisés à plusieurs tiroirs, avec un compte principal qui réceptionne le virement, mais qui exécute immédiatement la répartition qui se fait automatiquement sur des comptes secondaires sous le même N° avec des lettres ou des chiffres b,c,d, de ce fait la transaction semble être moins importante.
Il s'agit de renseignements ultra-confidentiels où les personnes nieraient toute implication dans le cas où leurs noms ou celui de leurs établissements seraient cités sans que des documents officiels soient présentés. »
En conséquence, je vous demande par la présente de vouloir bien demander l’historique du compte 231215 utilisé par l’UBS.
Très cordialement
Christian BASANO
00.33.6.87.88.95.05
http://basacode.blogspot.com/


Pièces jointes :

- Copie écran compte 231215
- TELEX
- LETTRE instruction bancaire, François Colonna
- Comptes résidents belges

mercredi 18 février 2009

Paradis fiscaux - Strauss-Kahn (FMI) veut agir "à la dynamite"

Monsieur DSK, avant de vous suicider, il faudrait dire aux Peuples souverains avec quel argent vous avez acheté vos tableaux (que vous avez stockés au port franc de Genève); et si le douanier Rousseau venait à témoigner!!!!!! Au fait, pourquoi avez-vous fait annuler dans l'émission de Julien Courbet "Sans Aucun Doute" du 12 mai 2000,le reportage sur l'extinction des puits de pétrole en feu au Koweït ?

lundi 16 février 2009

L'U.B.S (Union des Bandits Suisses) essait de faire pression sur la Justice française...!!!

CHRISTIAN BASANO
EXPERT-COMPTABLE DIPLOME
EX-COMMISSAIRE AUX COMPTES

Mandelieu, le 13 février 2009

Tribunal de Grande Instance de Paris
A l’attention de Monsieur le Procureur de la République
4 Boulevard du Palais – 75001 Paris


LR / AR :

Référence : 0814191029
Plainte pour usurpation d'identité, faux et usage de faux, vol et recels

COPIE à M. le Président de la République, M. le Ministre de la Justice, Garde des Sceaux, M. le Secrétaire Général de l’ONU, M. Ambassadeur des U.S.A à Paris, CEDH, Audiencia Nacional Espana,



Monsieur le Procureur de la République
Près le Tribunal de Grande Instance de Paris


Dans le cadre de la plainte sous rubrique vous avez demandé une procédure d’enquête préliminaire. A cet effet, le 4 novembre 2008, j’ai été entendu par l’Adjudant Hannequin Bertrand, officier de police judiciaire, de la brigade des recherches de Cannes. Outre le procès-verbal d’audition, je lui ai remis 24 documents et un DVD concernant cette affaire.

Vu l’extrême gravité de la situation, l’Adjudant Hannequin a très bien compris ma demande pour l’application des dispositions de l’Article 33 de la Convention des Nations Unies contre la Corruption ; c'est-à-dire la nécessité de protéger ma famille et moi-même pour avoir communiqué des informations sur l’implication de plusieurs Etats dans le détournement de plus de 22 milliards d’US $.

Il est utile de rappeler que Monsieur Yves Bertrand, l’ancien directeur des renseignements généraux, a écrit dans son livre « Je ne sais rien…mais je dirai (presque) tout » évoque cette affaire (pages 187 à 189) : « …Affaire qui, à l’heure où nous parlons, semble porter malheur à ses protagonistes puisque, parmi eux, trois décès suspects sont à déplorer : un ancien agent de la DST (*), un financier suisse de la société BSC Finances, et le président de la société OIL SA… ».

Daniel Levavasseur, l'ex-agent de la DST (*) a été retrouvé pendu à 15M du sol au Dramont (Var) le 2 février 2003 comme le Directeur de la banque Ambrosiano ( !?) – Cet « accident » de parcours montagneux a donc bien été signé (…). Il avait notamment déclaré quelques temps avant aux journalistes français, Alain Dusart et Frédéric Menu : " Il y avait effectivement un dossier et un système de manipulation financière dont ont profité des princes koweïtiens et d'autres…Par un savant mécanisme de comptes bancaires et de crédits imaginaires, des milliards de dollars ont circulé à la faveur de la juteuse après guerre". (Cette déclaration fut publiée le 13 mai 2000 par l'Est Républicain) Daniel Levavasseur avait notamment assurée la protection rapprochée du Cheikh Ahmed Al Sabah qui lui a bien confirmé les transferts de la Banque koweïtienne Al Watani au Luxembourg via la BNP (Audition du 24 novembre 1999 – Juge d’instruction suisse, Christine Junod)

M° Gilbert Collard, le très médiatique avocat, sur le plateau de l'émission (pré-enregistrée et non diffusée, sur ordre d’un certain DSK, le 12 mai 2000, a notamment déclaré « on ne joue plus avec des rigolos, on joue avec de vrais tueurs, des hommes prêts à tout sous prétexte qu'un Etat a des intérêts qui sont reliés par d'autres Etats »

Cette enquête préliminaire démontre bien la sensibilité de cette affaire qui, en restant sous votre responsabilité est soumise au Ministre de la justice (Chancellerie), donc à Monsieur le Président de la République. Nous sommes déjà dans l’application de la nouvelle loi (ayant supprimé le Juge d’Instruction…)

Vous avez demandé un supplément d’enquête sur le rôle de Dominique de Villepin dans le dossier Clearstream. Je suis un peu surpris que la Justice ait pu être manipulée et manipuler le Peuple concernant les listings « Clearstream ». En effet, les comptes « non publiés » ne peuvent pas être portés sur un listing car ils ne sont justement pas publiés ! Ils ont donc bien été rajoutés. Monsieur Gergorin sait très bien qui a fabriqué ces faux listings : une officine commune de la CIA et du MI6, Hakluyt & Co, dont Frank Wisner Jr. est également administrateur. Monsieur Dominique de Villepin publiera quant à lui les vrais comptes (effectivement non publiés) de Monsieur Pal Sarkösy de Nagy-Bocsa et de Monsieur Dominique Strauss Khan. Pour compléter votre information Madame Christine de Ganay, la seconde épouse de Pal Sarkösy de Nagy-Bocsa, a épousé Frank Wisner Jr.( n°2 de l'administration centrale du département d'État des États-Unis). Frank Wisner Jr., qui a été nommé entre temps envoyé spécial du président Bush pour l'indépendance du Kosovo, insiste pour que Bernard Kouchner soit nommé Ministre des Affaires étrangères. Comme le monde est petit…

Concernant le compte N° 231215, je viens d’apprendre que l’UBS (l’Union des Bandits Suisses) a déposé une plainte contre moi ! Je n’ose imaginer que cette tentative d’intimidation n’émane du demi-frère du Président de la République (Pierre-Olivier) qui, après avoir exercé de hautes responsabilités au sein de l’UBS New-York, vient d’être nommé par Frank Carlucci (qui fut le n°2 de la CIA après avoir été recruté par Frank Wisner Sr.) directeur d'un nouveau fonds de placement du Carlyle Group (la société commune de gestion de portefeuille des Bush et des Ben Laden), il gère les principaux avoirs des fonds souverains du Koweit et de Singapour !

Il est également utile de vous rappeler que Monsieur Dick Holm en sa qualité de chef de la CIA à Paris (de 1990 à 1996) a utilisé les fonds du « KUWAIT GATE » pour corrompre notamment de nombreux hommes politiques français ! De hauts responsables de la FED pourraient vous confirmer cette information…

Comme le dit l’adage « Nul n’est censé ignorer la loi », l’Article 4 du code civil créé par la Loi 1803-03-05 promulguée le 15 mars 1803 stipule « Le juge qui refusera de juger, sous prétexte du silence, de l'obscurité ou de l'insuffisance de la loi, pourra être poursuivi comme coupable de déni de justice. »

Dans cette attente,

Je vous prie d’agréer, Monsieur le Procureur de la République, l’expression de ma considération distinguée.