lundi 24 décembre 2007

Villepin Chirac et le DVD (bientôt) décrypté...

P.R.O.M.I.S

" Il n'est point de secret que le temps ne révèle " (Jean Racine - Britannicus)

samedi 22 décembre 2007

2008, un nouveau jeu : le KAHNDO - comment détourner 22 milliards $ avec Clearstream

les rétro-commissions de Monsieur Strauss Khan, bientôt dévoilées par DDV....

vendredi 14 décembre 2007

Courage Monsieur Trambert le Petit, la vérité va éclater au grand jour...VILLEPIN & CHIRAC vont parler...

Page 188 " Christian Basano, demeurant à Menton, était le chargé d'affaires d'un nommé Joseph Ferrayé, inventeur d'un procédé prétendument révolutionnaire permettant d'éteindre les incendies réputés non maîtrisables des puits de pétrole au Moyen-Orient.
A la fin des années quatre vingt, un brevet a même été déposé, qui a mobilisé les plus hautes autorités de l'Etat, dont Edith Cresson, Premier ministre en 1991, et Dominique Strauss Khan, en charge du Commerce Extérieur et de l'Industrie dans son gouvernement, lequel se serait fendu de sa plus belle plume pour écrire au ministre du Pétrole du Koweït, Abdallah al-Raqbah, pour dire tout le bien qu'il pensait du projet.............
la DST, la DGSE, les RG, mais aussi le procureur de Nice, Eric de Montgolfier....

Affaire qui, à l'heure où nous parlons, semble poter malheur à ses protagonistes puisque, parmi eux, trois décès suspects sont à déplorer : un ancien agent de la DST, un financier suisse de la société BCS Finances, et le Président de la société Oil Sa"

Tartine, la collaboratrice de Monsieur Yves Bertrand écrit : « Révéler un secret ou ne pas le faire ». Mais, Jean Racine a, quant à lui, écrit dans Britannicus : « Il n’est point de secret que le temps ne révèle » à suivre...

samedi 8 décembre 2007

Merci aux militaires courageux et non corrompus...

Pour avoir dévoilé le plan diabolique mis en place pour préparer les attentats du 11/09
http://youtube.com/user/ThoughtCrime7

et le futur plan prévu pour la réalisation d'un nouveau 11/09 en France

à suivre...

mercredi 21 novembre 2007

"IN GOD WE TRUST ! "

Les pertes des banques se comptent en millier de milliards
http://www.solidariteetprogres.org/spip/sp_article-breve.php3?id_article=3534

Voilà les nouveaux billets que va imprimer la FED, à suivre...

lundi 19 novembre 2007

Véritas Est Nostrum Unicat Salut,

Le peuple commence à comprendre que c’est sûrement « Al-Qaida » qui a volé 6 ogives nucléaires sur les B-52 !!! D’après-vous à quoi vont-elles servir ? A préparer les futurs attentats qui seront bien évidemment mis sur le dos d’Al-Qaida pour entraîner les pays dans la 3ème Guerre Mondiale programmée depuis bien longtemps. Après les attentats du 11 septembre 2001, viennent ensuite les Attentats du 16 mai 2003 à Casablanca, les Attentats du 11 mars 2004 à Madrid, ceux du 7 juillet 2005 à Londres et ceux du 11 avril 2007 à Alger.
Lors de la dernière réunion à Washington, W.Bush aurait conseillé Sarkozy sur son propre attentat !!!

Messieurs les militaires réveillez-vous : TIME IS UP TO GO !

vendredi 9 novembre 2007

Monsieur Fillon a raison : la France est bien en faillite

A la recherche de recettes pour tenir son budget, Bercy vient de demander à EDF de lui verser dès maintenant la moitié des dividendes escomptés au titre des résultats 2007. Les syndicats dénoncent un Etat « qui se sert dans la caisse ».
Au total, cela représente un montant de 1 milliard d'euros, dont le versement devra intervenir le 30 novembre, avec six mois d'avance sur la date normale

Charles réveille-toi...Ils sont devenus fous !

Ce vendredi 9 novembre 2007, il y aura très exactement 37 ans que le Général De Gaulle s’est éteint peu après 19 heures, victime d’une rupture de l’aorte.

dimanche 14 octobre 2007

L'homme qui fait trembler les politiques corrompus et aux moeurs bizarres !!!

Dans son dernier livre, il met en garde : Je ne sais rien mais je dirai (presque) tout

C'est l'arme de destruction massive qui sera utilisée par Jacques Chirac au cas où...

Messieurs les Ripoux, arrêtez de mentir, le Peuple souverain n’est plus dupe, il sera irréprochable…

Arnaud Lagardère nie tout délit d'initiés et contredit Villepin Reuters
Dominique de Villepin, alors Premier ministre, a été informé dès février 2006 de l'intention du groupe Lagardère de se défaire d'une partie de sa participation dans le groupe d'aéronautique et de défense EADS, déclare Arnaud Lagardère.

mardi 25 septembre 2007

Inutile de faire comme les Anglais, votre argent ne vaut plus rien...

Monsieur Nicolas SARKÖZY de NAGY-BOCSA vient de nous le rappeler :

"Les Allemands se souviennent de l'époque où le mark ne valait rien et où chacun allait, avec sa brouette, remplie de billets qui ne valaient rien , échanger à la banque."

lundi 24 septembre 2007

Merci aux militaires US non corrompus...

Les analystes du renseignement militaire russes rapportent aujourd'hui que l'un des satellite espion US les plus secrets, le KH-13, visant l'Iran a été détruit sur son orbite
Original : http://www.whatdoesitmean.com/index1034.htm
Traduction de Pétrus Lombard pour Alter Info

mercredi 19 septembre 2007

Le criminel de guerre prépare le terrain des Néocons !

Messieurs les Militaires (les non corrompus) réveillez-vous...

mercredi 5 septembre 2007

Un B-52 chargé par erreur de missiles à tête nucléaire a survolé les USA fin août 2007 !

Pour masquer le crash financier, la FED injecte des milliards d'US $ et l'équipe des NEOCONS préparent un nouveau 11 septembre pour bombarder l'Iran

Julien Courbet et son ami Gérard Louvin sont convoqués le 11/09/2007 devant la Chambre correctionnelle du TGI de Nanterre

pour ne pas avoir notamment révélé les motifs de déprogrammation décidée dans l'urgence et l'affolement sur l'extinction des puits de pétrole en feu au Koweït en 1991...le vendredi 12 mai 2000
Sur les conseils "éclairés" de leur avocat, M° NOACHOVITCH, ils essaient d'échapper à cette convocation !

DSK, Minsitre de l'Industrie en 1991, a volé l'idée de Joseph Ferraye, la preuve en image


Au Koweït, une entreprise américaine (BOOTS et COOTS) tente d'éteindre les incendies des puits de pétrole allumés par l'armée d'occupation irakienne : Bras articulé installant un tube à azote au-dessus de la flamme
Joseph Ferrayé avait rencontré de hauts responsables Français et Koweïtiens au début du mois de mars 1991 !...

samedi 1 septembre 2007

"Il (DSK) est le mauvais candidat, choisi de la mauvaise façon".

Le Financial Times a raison car, au moi de septembre 2007, DSK va être rattrapé par le "KUWAIT GATE" sa contribution (en sa qualité de Ministre de l'Industrie en 1990/1991) au détournement de plus de 23 milliards US $ liés au contrat de l'extinction des puits de pétrole en feu auKoweït.
http://leweb2zero.tv/search/basano

mardi 28 août 2007

Dominique de Villepin a confirmé qu'il allait se battre pour la vérité

Claude Guéant est le maillon faible du jeu !

Ces ennemis peuvent commencer à blémir devant la mise au jour de leurs manipulations.
à suivre...

dimanche 26 août 2007

FMI / Sarkozy a une priorité : réussir l'opération DSK !

Pour cela, son ami DSK devra rendre l'argent volé notamment au Peuple irakien... (Kuwait Gate)
http://leweb2zero.tv/search/basano

samedi 25 août 2007

M° Jacques Vergès, l'avocat aux ordres des politiques !

a très lâchement abandonné Christian Basano : "J'estime mon travail accompli en ce domaine à 25.000 FF et vous adresse un chèque de 25.000 FF représentant la différence avec le chèque de 50.000 FF que vous m'avez remis."

DSK, la Cassette (TF1-12 mai 2000) et le Kuwait Gate...

Rendez-vous au mois de septembre 2007
le très sage directeur de la Banque centrale colombienne, José Dario Uribe, a jugé «inapproprié de parler d’un seul candidat, comme si c’était déjà fait»
Le ministère des finances russe a annoncé, mercredi 22 août, présenter officiellement la candidature de Josef Tosovsky, ancien premier ministre tchèque, au poste de directeur du Fonds monétaire international (FMI). "Il serait l'homme qu'il faut au bon moment", a expliqué le ministère dans un communiqué.

Pourquoi DSK a-t-il fait annuler le reportage programmé le 12 mai 2000 dans l’émission « Sans Aucun Doute » présentée par Julien Courbet ?
Février 2002, Le Rapport OMERTA 2, Sophie Coignard interroge Bernard NICOLAS (journaliste), page 261 : - Vous avez déjà été victime de censure dans l'exercice de votre métier ?
Plusieurs fois. Dès lors qu'il était question de personnage politique de premier plan, les ennuis commençaient à TF1……Une fois, j'avais fait un reportage sur une histoire politico-financière compliquée qui devait passer dans l'émission de Julien Courbet Tout est possible. Dans la journée, une autopublicité annonce le thème de mon enquête. La direction de TF1 s'inquiète : cette affaire peut-elle être gênante pour Dominique Strauss-Khan ?…..J'étais interloqué : rien n'indiquait dans mon enquête que DSK fût mêlé en quoi que ce soit à cette affaire. Soit on se trompait en haut lieu, soit on en savait plus long que moi…..Les téléspectateurs qui ont vu la bande-annonce n'ont jamais vu la suite… Le reportage est visible dans son intégralité sur le site Internet : http://leweb2zero.tv/search/basano

mercredi 22 août 2007

Les prophéties bientôt au rendez-vous de l'histoire...

La Tour Eiffel, l'un des premiers sites touristiques mondiaux, sera sécurisée (depuis 2006)par la firme israélienne NICE Systems, une société israélienne basée à Raanana

Qui s'occupait de la sécurité du métro de Londres ?

dimanche 19 août 2007

Dominique de Villepin a promis de se "battre pour la vérité", nous aussi...

Rendez-vous au mois de septembre 2007...Le logiciel « PROMIS » (Prosecutor’s Management Information System) appliqué à la gestion des flux monétaires internationaux pourrait bien devenir une arme autrement plus dangereuse que celles qu’utilisent les armées…car, à travers la « porte dérobée » il permet de pénétrer des comptes secrets y compris des comptes en Suisse, et en retirer de l’argent sans laisser de trace.

vendredi 17 août 2007

Sarkozy prépare-t-il son propre attentat pour entrainer la France dans la guerre contre l'Iran !

Dans la nuit du 15 au 16 octobre 1959, François Mitterrand, sénateur, ancien ministre de l’Intérieur et de la Justice sous la quatrième République, porte plainte auprès de la police : il aurait été victime d’un attentat.

Six jours plus tard, le 22 octobre 1959, l’hebdomadaire de droite Rivarol affirme que Mitterrand n’est pas la victime d’un attentat, mais l’organisateur d’un faux attentat contre lui-même, exécuté avec un complice, l’ancien député poujadiste (de droite) Robert Pesquet, battu aux élections en 1968, dans le but de regagner les faveurs de l'opinion publique.

L'ancien conseiller de François Mitterrand avait annoncé mi-mai avoir reçu un appel du président, Nicolas Sarkozy....

pour le conseiller !!!..............

Messieurs les Militaires, il est temps de vous réveiller...

TIME IS UP TO GO

jeudi 16 août 2007

David Icke, nous avait déjà prévenu en 2001....

« Le plan de la Fraternité prévoit notamment plusieurs évènements échelonnés entre le passage à l’an 2000 et l’an 2012, notamment : en effondrement financier d’une envergure internationale qui servira de prétexte à l’avènement d’une monnaie électronique unique, l’escalade des conflits et des activités terroristes, et une panoplie d’autres évènements conçus pour terrifier et décourager la population vers une servitude aveugle. »

mercredi 8 août 2007

Jean-Louis Georgelin, Général 5 étoiles a compris qu’il ne se battait plus pour la Nation, mais pour la Haute Finance ! Il est prié de la boucler...!!

Grâce à son homonyme Jean-Louis Gergorin, rendu célèbre dans l’affaire « Clearstream », les comptes des militaires corrompus de l’opération « Daguet » vont bientôt être dévoilés au Peuple souverain. Car, pendant ce temps, nos militaires ayant participé à la 1ère Guerre du Golfe sont en train de mourir du « Syndrome de la Guerre du Golfe » sous prétexte que l’Armée n’a pas d’argent ! Alors même que l’ancien Président de la République, en tout vergogne a détourné plus d’un milliards US $ des indemnités versés à la France :

Extrait de la lettre du 20 avril 2006, envoyée par Monsieur Jean-Charles Duboc (capitaine Haddock) à :
Monsieur Nicolas Sarkozy, Ministre d’État, Ministre de l’intérieur et de l’Aménagement du territoire.
Madame Michèle Alliot-Marie, Ministre de la Défense.
Objet : Indemnités de la Guerre du golfe attribuées à la France / Groupe AZF
« …..L'affaire commença lorsque j'appris, en novembre 1997, d'un informateur anonyme, alors que j'étais commandant de bord à la compagnie Air France et que je me rendais très souvent en B747 Cargo à Dubaï, Abu-Dhabi ou Doha, que les indemnités de la Guerre du Golfe auraient été dérobées par François Mitterrand, président de la République.
Je rappelle qu'au titre de l'indemnisation des dépenses militaires de l'opération Tempête du Désert les USA ont reçu du Koweït 13,5 milliards de $, le Royaume Uni 1,4 Md$, la Turquie 1,4 Md$, l'Égypte 970 millions de $, le Zaïre 20 millions de $, que 6,89 milliards de $ ont été attribués en "dépenses extraordinaires et d'urgence", et que la Presse s'est fait l'écho d'un versement à la France de plus de un milliard de $, par les Émirats Arabes (Courrier International du 28 novembre au 2 décembre 1998)
La première réaction d'incrédulité passée, j'ai pu faire, en décembre 1998, une première confirmation de cette information ahurissante au plus haut niveau de l'État-major des Armées.
J'avais, en effet, de part mes activités professionnelles et associatives, la possibilité d'être en contact avec de très hauts gradés de l'État-major de la Marine nationale, et de l'État-major de l'Armée de l'Air…
J'ai réussi, de plus, à obtenir début janvier 1998, une confirmation de ce détournement par le parti politique auquel j'appartenais, le Rassemblement Pour la République…
Les officiers et les élus RPR qui l'ont découvert étaient scandalisés par ce détournement de fonds, car si la somme dérobée est colossale, le crime contre la morale n’est pas tolérable… En effet, cet argent est celui du sang de nos soldats, et il doit être considéré comme sacré…
EN RAISON DES CERTITUDES ACQUISES SUR LA RÉALITÉ DE CE DÉTOURNEMENT DE FONDS, J’AI DÉCIDÉ, AVEC UNE AUTRE PERSONNE, MONSIEUR X, DE LE DÉNONCER AU MINISTÈRE DES FINANCES ET D’EFFECTUER, AINSI, CE QUE L’ON APPELLE MAINTENANT UNE ALERTE ÉTHIQUE.
Il n’y avait, à l’époque, aucun système véritablement efficace « d’alerte éthique » destiné à lutter contre la corruption, ou des actes illégaux, au sein des grandes entreprises, et ce type d’action ne s’est développé que récemment.
Vous savez que, suite à la faillite d’Enron, le gouvernement américain a mis en place en 2002, avec la loi Sarbanes-Oxley, un système de contrôle des dirigeants des grandes entreprises sous l’appellation de « whistleblowing ». Celui-ci se met en place, progressivement, au niveau planétaire, et permet, ainsi, une information à la Justice par les employés confrontés à des comportements illégaux au sein de leur entreprise.
Ce système d’alerte ne doit pas être confondu avec la délation.
En effet, la délation est le principal moyen des totalitarismes, de droite et de gauche, qui permet de contrôler les citoyens se refusant à reconnaître les lois en cours, en général destinées à maintenir un culte de la personnalité envers un dictateur (Hitler, Staline, Mao, etc…).
L’ALERTE ÉTHIQUE EST EXACTEMENT LE CONTRAIRE DE LA DÉLATION.
Elle permet à l’individu de contrôler le dirigeant, qu’il soit à la tête d’une entreprise ou d’un État.
L’alerte éthique, en contrôlant les dirigeants, permet un meilleur fonctionnement de la démocratie, et de la gouvernance des entreprises. En effet, bien souvent, la véritable finalité du système démocratique est de donner au citoyen, ou à l’employé, le choix d’un maître qui pense et décide pour lui…
Si un système d’alerte éthique est mis en place, progressivement, dans les entreprises, il n’y a encore rien de comparable pour les États qui sont, au moins, aussi vulnérables que les multinationales.….
Je fais, ainsi, au sujet de l’alerte éthique, ces deux remarques principales : « Si cette pratique a fini par s’imposer comme une nécessité absolue pour assurer le fonctionnement correct des grandes entreprises, pourquoi n’en serait-il pas de même pour les États ? » / « Ne devons-nous pas contrôler nos dirigeants politiques de la même façon que les chefs d’entreprises, au moyen d’une alerte éthique, rémunérée ou non, pour éviter les détournements de fonds publics, qu’ils soient en France, en Europe, ou, d’une façon plus globale, dans tout État de la planète, quel que soit le continent ?...»
Ces deux questions sont à la base de mon action sur ce qui semble être le DÉTOURNEMENT DES INDEMNITÉS DE LA GUERRE DU GOLFE 90/91 par François Mitterrand…
J'ai immédiatement obtenu, suite aux informations relatives à ce détournement, un important soutien, de diverses personnes, pour résoudre ce problème…
La première analyse révélait un important dysfonctionnement de votre ministère.
Très rapidement, un rendez-vous a été pris pour le 19 janvier 1998 à la Brigade de Contrôle et de Recherche (BCR), de la Direction Générale des Impôts, à l'Hôtel des Finances du Havre.
J'étais accompagné de Monsieur X, qui désire rester anonyme, et nous avons avisé le ministère des Finances de ce détournement de fonds, dont nous savions qu'il était supérieur à un milliard de dollars.
Les informations ont été reçues par messieurs Pascal Arzur et Bernard Bonte, inspecteur et contrôleur à la Brigade d'Intervention Interrégionale de Lille, dépendante de la Direction Nationale d'Enquêtes Fiscales (DNEF), et messieurs Philippe Coillot et Michel Mary, contrôleurs divisionnaires à la BCR du Havre.
J'avais auparavant effectué une première information à la Justice, et à la Presse, en envoyant une lettre anonyme, intitulée "le Trésor de la Momie", sous le pseudonyme du Capitaine Haddock… Celle-ci racontait les aventures de Grand Pharaon Mitterrandpeth dérobant les indemnités de la Guerre du golfe…
Ce courrier a eu un certain succès au Syndicat National des Pilotes de Ligne (SNPL), puisque que l'information a commencé à circuler dans les cockpits. ….»

Pierre Tanger, journaliste d’investigation, écrit : « Dans les archives des RG figure ainsi un "blanc" concernant un mystérieux capitaine Haddock, Haddock qui attribue à feu François Mitterrand un détournement des indemnités de la guerre du Golfe : "les pays du Golfe d'Arabie ont signé un chèque de plus de un milliard de dollars à la France. Cette somme représente les indemnités de la guerre du Golfe et notamment des frais engagés par la Marine Nationale, l'Armée de l'Air, ainsi que l'Armée de Terre au titre de la division Daguet. Ce chèque a été transporté du Qatar par un Falcon 50 et déposé à Zurich sur un compte bancaire suisse au nom de François Mitterrand. Cette opération a eu lieu en présence d'un conseiller fédéral. »
A suivre….

lundi 30 juillet 2007

Monsieur Wilson Benjamin vous allez rendre l'argent que vous avez volé au Peuple irakien

KUWAIT GATE : " Il n'est point de secret que le temps ne révèle" (Jean Racine - Britannicus)

Wilson Benjamin
President and Chief Executive Officer
Mr. Benjamin is of Iraqi origin who lived outside Iraq through Sadam's ruling of the country, managed to maintain extensive relationships with effective Iraqis outside Sadam's regime.
Mr. Benjamin brings over 30 years of experience in a diversified range of industries to the leadership and management of Al-Fawares Holding Company. His extensive international background in business development in North America, the Middle East, Canada and Europe, and his vision for lucrative investments has been instrumental in producing efficient investments.As president of Al-Fawares Construction and Development Company, he plays an active role in every project and investment that the Company ventures into. He also provides overall directions to ensure that every project/investment has the proper resources to successfully be completed.Mr. Benjamin has been the President of A-Fawares Construction and Development Company since 1992. He also served as Chairman of the Board of Directors and Chief Executive officer of ATO Ram2 Ltd since 1992, where he is responsible for managing ATO’s operations and its investments in public and private companies in the United States, Europe and the Arabian Gulf States. Mr. Benjamin also joined as a Director and member of Board Audit Committee of Entropin, a pharmaceutical development company incorporated in California, in 2000 and Board Member and Chairman of Board Audit Committee of Bahrain Middle East Bank (BMB), an offshore investment bank in Bahrain, since 2001. He is also the Chairman of Egyptian Real Estate and Development Company, an Egyptian based company executing major real estate development projects in Egypt.
Mr. Benjamin holds a bachelor of Science - Business Administration from Al-Hikma University, Baghdad, Iraq.

Monsieur Philippe Ayme-Jouve communique un premier rapport d'activité sur les comptes de Monsieur Christian Basano :

- ABN AMRO (Basel) N° 1.068.635 1.420.000.000 US $
- BMB (Genève) N° 7915 2.485.000.000 US $
- ROYAL TRUST (Toronto) N° 436.543 1.811.000.000 US $
- FIRST INTERSTATE Bank (New York) N° 477.925 1.200.000.000 US $
- FIRST HOME Bank (Grand Cayman) N° 392.857 1.122.000.000 US $
- UBS ( Genève ) N° 231.215 381.987.200 US $
________________

TOTAL 8.419.987.200 US $• Que divers organismes bancaires ont travaillé directement avec le nom de monsieur Basano pour la réception et le transfert des fonds ?
• Que des organismes financiers ou bancaires ont simplement servi de relais dans l'utilisation du nom de monsieur Basano pour l'ouverture de comptes mais que souvent ces comptes n'ont servi que pour une seule transaction, et qu'ils restent à ce jour, malgré tout ouverts.
• La plupart de ces comptes sont organisés à plusieurs tiroirs, avec un compte principal qui réceptionne le virement, mais qui exécute immédiatement la répartition qui se fait automatiquement sur des comptes secondaires sous le même N° avec des lettres ou des chiffres b,c,d, de ce fait la transaction semble être moins importante.
La société S B Holding (S B H), est une société anonyme de droit Suisse créée le 1er mai 1991 et dotée d’un important fond de placement en juin 1995, dont le siège social est au 56 rue du Stand, 1204 Genève. Des bureaux commerciaux et logements pour les cadres dirigeants sont également installés au 6 rue Jean Gougeon, 75008 Paris. Ses Administrateurs sont Jacques TORRENT, Paul BEGUIN et Philippe AYME-JOUVE. Ses banques de référence sont la SBS (Société des Banques Suisses) et la SBA (Société des Banques Arabes). La société SB Holding conseille et assiste la société ELF (…)

André Lussi, ancien Président de Cedel (Clearstream) parle de la mémoire de l'argent : tout est tracé, tout est enregistré, on sait exactement tout ce qui se trame. On peut donc, si on s'en donne les moyens, reconstituer le voyage (souvent long et compliqué) des virements électroniques de Paris à Luxembourg, de Jersey à aux îles Caymans, de Genève à Toronto, etc… Ernest Backes a notamment déclaré : « On ne peut pas effacer une opération de Clearstream ».

DSK, a-t-il utilisé les fonds du "Kuwait Gate" pour acheter son appartement de 4.000.000 € ?

Pour bien comprendre la situation, il faut se rappeler qu’en 1991, DSK devient, dans le gouvernement Cresson, Ministre délégué de l’Industrie et du Commerce extérieur. Il profite de cette fonction pour détourner de l’INPI les brevets de Joseph Ferrayé pour l’extinction et la fermeture des puits de pétrole en feu sans utilisation de la dynamite. Le 26 juillet 1991 DSK écrivait à Monsieur Hammoud Abdallah AL RAQBAH, Ministre du pétrole Emirat du Koweït :
« Monsieur le Ministre,
J’ai été informé de l’intention de la Kuwait Petroleum Company de conclure un contrat avec le consortium français conduit par HORWELL en vue d’éteindre des puits en feu sur certains champs pétroliers de votre pays.
Le gouvernement français est très sensible à cette intention.
Il souhaite vous confirmer toute la confiance qu’il a dans les capacités de ce consortium à mener à bien une telle mission.
En espérant que les négociations en cours pourront aboutir aussi vite que possible, et en vous remerciant par avance pour votre aide, je vous prie de croire, Monsieur le Ministre, à l’expression de mes sentiments les meilleurs.. »


Monsieur Dominique de Villepin agissant sur ordre du Président Jacques Chirac a déclaré : "J'ai agi pour faire face à des menaces internationales, à des menaces concernant nos intérêts économiques. C'est strictement dans ce cadre que j'ai agi, c'était mon devoir comme ministre"

La partie immergée de l'affaire "Clearstream" va bientôt être dévoilée au Peuple...

mercredi 11 juillet 2007

Il faut sauver le soldat Villepin qui a eu le courage de dire non à la Guerre en Irak ! Ce qui a permis d'épargner des milliers de vies de nos soldats

Messieurs les Militaires réveillez-vous avant qu'il ne soit trop tard ! Vous avez compris que vous ne vous battez plus pour la patrie mais pour les banquiers internationaux. L'affaire Clearstream est le début du commencemment de la fin pour eux...

"PROMIS", si le soldat Villepin ne se "suicide" pas de 2 balles dans la tête, le clan Sarkozy de Nagy Bocsa a des soucis à se faire !!!à suivre...

vendredi 6 juillet 2007

« Il n’est point de secret que le temps ne révèle » (Jean Racine – Britannicus)

L’affaire des frégates de Taiwan ne représente que la partie émergée de l’iceberg. L’onde de choc du Tsunami « Clearstream » va être dévastatrice. L’épidémie de la grippe aviaire du corbeau va être terrible.

Car, le clearing permet de remonter n'importe quelle filière d'argent sale si l'on s'en donne les moyens. L’ancien Président de Clearstream a déclaré : tout est traçable, tout…absolument tout Donc, les milliards détournés du Koweït (en 1991) peuvent facilement être retracés…

«Les Français méritent d'avoir, à la tête de l'Etat, des responsables politiques dévoués, honnêtes, au service des autres et soucieux du bien public »

Ségolène ROYAL au JDD du 30 avril 2006

« Si tes journalistes avaient des couilles, Sarkozy serait mort » (Airy Routier – Le complot des Paranos).

« Un homme qui veut faire quelque chose a contre lui:
ceux qui veulent faire la même chose
ceux qui veulent faire l'inverse
ceux qui ne font rien ».
Proverbe sénégalais

1991, l’Affaire des Frégates de Taiwan devient en 2006 l’Affaire Clearstream, qui expose au monde les scandales du KUWAIT GATE, PETROLE CONTRE NOURRITURE et le rôle de la classe politique française entiere dans le génocide du peuple Iraquien

Le plus gros tiroir de l’affaire Clearstream n’a pas encore été ouvert ! Dominique de Villepin a déclaré dans le journal Le Monde du 29 avril 2006 qu’il a choisi de n'exclure aucune arme pour sa défense…

mardi 3 juillet 2007

« Il y avait effectivement un dossier et un système de manipulation financière dont ont profité des princes koweïtiens et d’autres…

Alain Dusart et Frédéric Menu,l’Est Républicain du 12/13 mai 2000

Dans le cadre de ses investigations notamment avec le fils du Ministre du Pétrole du Koweït de l’époque, Daniel Levavasseur (l’ex-agent de la DST a malheureusement été retrouvé pendu à 15 mètres du sol au Dramont (Var) le 2 février 2003 comme le Directeur de la banque Ambrosiano) avait retracé la piste de l’argent en démontrant que c’était la BNP Los Angeles (USA) via la BNP Luxembourg, qui a participé en 1991 aux transferts des 23.005.341.300 US$ avant leur éclatement en utilisant de nombreuses sociétés off-shore suivantes :

IBAC SERVICE PTE LTD (Singapour) TEXRICE NV (Curacao) INCOME MANAGEMENT
REALITY INVESTORS GROUP, INCOME PROSPECTIES , CITY INVESTMENT


Dans différentes banques suisses, américaines et canadiennes ; ci-après les conclusions du rapport d’audit de la société suisse SB Holding sur les comptes de Christian BASANO qui précise :

I Que divers organismes bancaires ont travaillé directement avec le nom de monsieur Basano pour la réception et le transfert des fonds ?
II Que des organismes financiers ou bancaires ont simplement servi de relais dans l'utilisation du nom de monsieur Basano pour l'ouverture de comptes mais que souvent ces comptes n'ont servi que pour une seule transaction, et qu'ils restent à ce jour, malgré tout ouverts.

III La plupart de ces comptes sont organisés à plusieurs tiroirs, avec un compte principal qui réceptionne le virement, mais qui exécute immédiatement la répartition qui se fait automatiquement sur des comptes secondaires sous le même N° avec des lettres ou des chiffres b,c,d, de ce fait la transaction semble être moins importante

samedi 30 juin 2007

Cheikh Ali Al-Khalifa Al-Sabah, au centre d'une affaire de corruption, comme beaucoup d'autres à être dévoilés !...

Des centres de recherches arabes s’intéressent de près aux développements au Koweit, où des députés de l’opposition ont demandé la démission du ministre koweïtien du Pétrole, cheikh Ali Jarrah Al-Sabah, l’accusant de corruption.
Trois députés représentant divers blocs de l’opposition avaient saisi le parlement le 10 juin d’une demande d’audition du cheikh Ali, l’accusant d’être impliqué dans le scandale financier de la firme Kuwait Oil Tanker Co. (KOTC).
De hauts responsables de cette firme étatique, basée à Londres, sont accusés d’avoir réalisé illégalement d’énormes profits dans les années 1980 aux dépens de l’entreprise, qui avait subi des pertes de plus de 100 millions de dollars.
« L’argent volé dans cette affaire a transité par la banque dont vous étiez président », a accusé le député Abdallah al-Roumi.
Un autre député, Moussallam al Barrak a accusé le ministre de ne pas avoir intenté d’action en justice contre de hauts responsables de l’administration pétrolière soupçonnés d’avoir commis des fraudes financières, administratives et d’actes contraires à la morale.
Par ailleurs, le ministre du Pétrole est accusé d’avoir tenu des propos déplacés dans l’affaire de la KOTC.
Cité en mai par Al Qabas, Cheikh Ali avait affirmé qu’il considérait un ancien ministre du Pétrole, cheikh Ali Al-Khalifa Al-Sabah, au centre de cette affaire de corruption, comme « (son) maître » à penser. « Je le consulte parfois sur certaines questions pétrolières », avait-il ajouté. Il avait ensuite présenté des excuses publiques, rejetées par l’opposition.
Cheikh Ali Al-Khalifa Al-Sabah est l’un des cinq anciens responsables de la KOTC directement impliqué dans ce scandale financier. Il a toujours rejeté ces accusations.
A la suite de l’audition qui a duré neuf heures, dix députés ont déposé une motion de défiance qui, si elle est votée, conduira à la démission de cheikh Ali Jarrah Al-Sabah. Ce vote n’interviendra toutefois pas avant quinze jours.
Cheikh Ali est membre de la famille régnante des Al-Sabah et le huitième ministre du Pétrole depuis la libération de l’émirat en 1991 après sept mois d’occupation irakienne.

mercredi 27 juin 2007

Clearstream ou le Dynamitage du système politique libéral et de la Cinquième République ! le Peuple se réveille...

Le canard Enchaîné du 27 juin 2007 publie : Un achat immobilier "secret-défense" : l'Etat (c'est à dire nous le Peuple français) vient de racheter pour 376,7 millions d'euros au fonds d'investissement américain Carlyle les anciens bâtiments de l’imprimerie nationale qui lui avait été vendus 85 millions à l’automne 2003 !

► « BNP – PARIBAS » est la seule banque à faire partie du consortium créé par le Groupe Carlyle dont James Baker et Madeleine Albright (représente des Etats-Unis à l’ONU avait fait savoir qu’elle n’a nullement confiance dans la législation bancaire suisse ; le secrétaire général de l’ONU retiendra BNP – PARIBAS pour la gestion du compte séquestre) sont les fleurons, pour le rachat de la dette irakienne en vue de son règlement au plus haut niveau possible (la dette s’élève à 57 milliards de dollars dont 27 milliards de réparation). Or, selon des documents confidentiels , les sommes collectées seront versées au fonds géré par le consortium Carlyle – BNP-PARIBAS qui prélèvera au passage 2 milliards de dollars de commissions ! sur le dos, une fois de plus du Peuple irakien. Officiellement, Monsieur Jacques Chirac a répondu négativement à Monsieur James Baker ; mais l’Administrateur et Président de BNP-PARIBAS (suisse) s’appelle Georges Chodron de Courcel…(éditions du 12 octobre 2004 : The Nation et Guardian)

► « BNP – PARIBAS » a été choisie dans des conditions plus que surprenantes pour gérer les fonds du programme humanitaire « Pétrole contre Nourriture » notamment pour verser les 15,9 milliards d’US $ à la K.O.C

► « BNP – PARIBAS » a été la seule banque européenne à être autorisée à ouvrir en 2005 une succursale au Koweït

Février 2002, Le Rapport OMERTA 2, Sophie Coignard interroge Bernard NICOLAS (journaliste), page 261 : - Vous avez déjà été victime de censure dans l'exercice de votre métier ?
Plusieurs fois. Dès lors qu'il était question de personnage politique de premier plan, les ennuis commençaient à TF1……Une fois, j'avais fait un reportage sur une histoire politico-financière compliquée qui devait passer dans l'émission de Julien Courbet Tout est possible. Dans la journée, une autopublicité annonce le thème de mon enquête. La direction de TF1 s'inquiète : cette affaire peut-elle être gênante pour Dominique Strauss-Khan ?…..J'étais interloqué : rien n'indiquait dans mon enquête que DSK fût mêlé en quoi que ce soit à cette affaire. Soit on se trompait en haut lieu, soit on en savait plus long que moi…..Les téléspectateurs qui ont vu la bande-annonce n'ont jamais vu la suite… Le reportage est visible dans son intégralité sur le site Internet : http://basacode.blogspot.com/2007/05/monsieur-dsk-pourquoi-avez-vous-fait.html

Qui est intervenu pour faire annuler ce reportage ? Maître Veil, l’avocat de DSK qui est aujourd’hui l’avocat de Chirac ! Chercher l’erreur ………….

vendredi 22 juin 2007

En prélude au Kuwait Gate (22 milliards $) qui sera révélé par Jacques Chirac, BAE : le scandale qui fera chuter la City et la Couronne britannique

Par Jeffrey Steinberg

Le 6 juin, la British Broadcasting Corporation (BBC) a révélé au grand public une énorme affaire de corruption et de financement occulte : le producteur d’armes britannique, BAE Systems (British Aerospace Electronic Systems) a versé plus de 2 milliards de dollars de pots de vin au responsable de la sécurité nationale saoudienne, le prince Bandar bin-Sultan, l’ambassadeur saoudien à Washington pendant 22 ans. Ces accusations furent élargies le 11 juin au cours d’un documentaire de Panarama TV sous le titre « Des Princes, des avions et des dessous de table » , qui développait en détail les résultats d’une enquête longue d’une décennie menée par Le Guardian, la BBC et l’agence gouvernementale anglaise British Serious Fraud Office (SFO) dans les contrats de ventes d’armes Al-Yamamah (en arabe : la colombe), des accords vieux de 22 ans entre BAE Systems et le royaume saoudien, pour la livraison d’avions de chasse britanniques et de leur maintenance, signés en 1985.

Depuis, chaque gouvernement anglais, allant de Margaret Thatcher à Tony Blair en passant par John Major, est mouillé dans le scandale. Pire encore, en décembre 2006, le ministre de la justice britannique Lord Goldsmith étouffe l’enquête du SFO et déclare que toute investigation supplémentaire portera sérieusement « atteinte à la sécurité nationale britannique ». Blair donne son appui total à son ministre et tente de finaliser en dernière minute le quatrième volet des contrats d’armes Al-Yamamah avant sa retraite le mois prochain.

Le tollé provoqué par l’annonce de Lord Goldsmith a déclenché une floraison d’enquêtes, y compris de la part du gouvernement suisse et de l’OCDE basée à Paris.

Plus récemment, le Département de la Justice étasunien a ouvert une enquête sur le blanchiment d’argent et la violation possible par les britanniques et les saoudiens de lois sur les pratiques de corruption (Foreign Corrupt Practices Act). Les 2 milliards de dollars, somme cumulée des pots de vins dont a bénéficié le Prince Bandar comme négociateur principal des contrats, transitaient par les comptes du gouvernement saoudien à la Riggs Bank de Washington D.C., rendant ainsi compétente la juridiction américaine.

Si dans cette affaire les enquêtes anglaises ont mis en lumière un vaste réseau de sociétés écran, de planques off-shore et de politiciens véreux qui profitaient des largesses de ces contrats, notre enquête préliminaire fait émerger des enjeux plus fondamentaux qui déferleront aussi bien contre les cercles financiers de la City de Londres que contre des dignitaires de la monarchie anglaise, tous engagés dans un dessein qui est au cœur même du système financier anglo-hollandais actuellement en manque de souffle.

Al-Yamamah
En 1985, la guerre entre l’Iran et l’Irak entre dans sa phase la plus destructrice, celle de « la guerre des cités ». Effrayé, le pays voisin, qui est le Royaume d’Arabie Saoudite, envisage de se procurer un nombre conséquent d’avions de chasse modernes pour équiper sa propre Royal Air Force.

A l’origine, l’Arabie Saoudite cherche l’appui de l’Administration Reagan pour l’achat de F-15 américains. Cet achat nécessite l’autorisation explicite du Congrès américain. Pour torpiller le contrat, le lobby pro Israël AIPAC (American Israel Public Affairs Committee) se mobilise. Selon des sources bien renseignées localisées à Washington, un certain Howard Teicher, à l’époque haut responsable du Conseil Nationale de Sécurité (NSC), joue un rôle néfaste, de pair avec l’AIPAC, pour saboter l’accord. Teicher, selon les sources, fait de la rétention d’information, ce qui conduit le président américain à remettre le moment du vote à une date ultérieure, permettant ainsi à l’AIPAC de faire monter la pression sur les membres du Congrès. Devant la réticence d’élus intimidés, il devient facile pour Teicher de convaincre le président de retirer sa demande plutôt que d’affronter le Congrès.

D’autres sources racontent une version légèrement différente des causes de l’échec de la vente des F-15, prétendant que les services de renseignement prévoyaient une instabilité croissante dans le golfe persique à partir du milieu des années 1970, et que la révolution de Khomeiny en Iran les conduisait à fortement déconseiller toute vente de haute technologie américaine à l’Arabie Saoudite.

Peu importe les raisons, la vente des F-15 fut annulée. Le lendemain du jour où l’Administration Reagan avait enterré le dossier, le prince Bandar, de fait le diplomate le plus haut placé du Royaume Saoudien en charge des relations avec l’Angleterre, l’Union Soviétique, la Chine ainsi que les Etats-Unis, se rendait à Londres pour une rencontre avec le premier ministre Margaret Thatcher. En Angleterre, les ventes d’armes sont exemptes d’autorisation parlementaire, et depuis 1966 l’Angleterre a créé la Defence Export Services Organization (DESO) pour colporter ses armes au quatre coins du globe. BAE Systems a été créé en 1981, quand Thatcher a re-privatisé l’industrie de l’armement en Angleterre, après sa nationalisation quatre ans auparavant par les travaillistes. BAE Systems est de loin le plus grand groupe d’armement dans le secteur de la défense britannique.

Le voyage de Bandar à Londres pour s’entretenir avec Thatcher était préparé depuis des mois. Un document-briefing du Ministère de la Défense, préparé pour la rencontre, disait que « depuis le début de 1984, des efforts intenses ont été déployés pour vendre des Tornados et des Hawks aux saoudiens. Quand, dans l’automne de 1984, les derniers commençaient à porter leur choix vers des mirages français, M Heseltime s’est rendu en grande hâte en Arabie Saoudite avec une lettre du premier ministre adressée au roi Fahd. En décembre 1984, le premier ministre ouvrait une série de négociations importantes en rencontrant le prince Bandar, fils du prince Sultan... Le premier ministre a rencontré le roi à Riyâd en avril de cette année, et en août le roi lui faisait part par écrit de sa décision d’acquérir 48 avions Tornado IDS et 30 avions Hawk. » Thatcher avait toutes les raisons du monde de penser que Bandar était l’interlocuteur idéal pour le contrat du siècle. A l’âge de 16 ans, plusieurs années après que son père fut nommé ministre de la défense du royaume, le prince fut envoyé en Angleterre pour étudier au Royal Air Force College de Cranwell, l’école d’élite pour la formation des pilotes de la RAF. Un responsable du renseignement rapportait la rumeur que Bandar fut recruté au MI-6, le service de renseignement de l’armée, bien avant la fin de sa formation. D’autres sources, au cœur de l’affaire BAE Systems, rapportent que le géant « privé » de l’aérospatial britannique dispose d’une force de vente quasiment exclusivement composée de personnes ayant été recrutées par le MI-6.

Que ces rapports soient fiables ou non, il est incontestable que Bandar est très anglophile. Le meilleur récit à ce jour de ses aventures en Angleterre apparaît dans le livre de William Simpson « Le Prince -L’histoire secrète du membre royal le plus intriguant du monde » (HarperCollins, New York, 2006).

Simpson, un copain de classe de Bandar et toujours en excellents termes avec lui, a écrit cet essai biographique avec la bienveillante coopération de Bandar, et documente ses relations très proches avec chaque locataire du 10, Downing Street.

« A Londres », rapporte Simpson, « Bandar pouvait se présenter avec un panache sans pareil au 10, Downing Street. De Margaret Thatcher à John Major ou Tony Blair, l’accès de Bandar était extraordinaire. » Selon les dires de Bandar lui-même relatifs aux contrats Al-Yamamah « Quand nous avons conclu l’accord pour la première fois, nous n’avions aucun contrat. C’était une poignée de mains entre moi et madame Thatcher au 10, Downing Street. » C’était des mois avant que les détails exacts des contrats Al-Yamamah furent finalisés et signés. Avant même que l’encre eut séché, l’Angleterre fournit la première livraison des avions de chasse Tornado -provenant des réserves de la RAF.

Au moment où un protocole d’accord est signé entre les ministres de la défense saoudien et anglais, le 25 septembre 1985, la commande initiale est agrandie à 72 avions Tornado et 30 Hawk, ainsi qu’à l’assistance et la maintenance appropriées. Il y a eu deux volets de ventes supplémentaires : Al-Yamamah II et III et Al-Yamamah IV, une vente estimée à environ 40 milliards de dollars de fournitures supplémentaires qui entre aujourd’hui dans sa phase finale.

Pétrole contre avions
L’accord Al-Yamamah fonctionne comme un accord de troc. D’une part, les saoudiens acceptent de payer en liquide certains services ainsi que la construction d’infrastructures par des sous-contrats séparés. Ainsi, toute une série de paiements vont à des honoraires « de conseil » ou à des commissions occultes, dont les deux milliards de dollars virés sur les comptes du Prince Bandar à la Riggs Bank, ou les dessous de table dont ont profité le dictateur chilien Augusto Pinochet, ou encore le prince consort des Pays-Bas, le Prince Bernhard. Mais d’autre part, l’échange implique d’énormes livraisons de pétrole à l’Angleterre, en échange des avions de chasse.

Et c’est la où l’histoire devient vraiment intéressante.

L’Arabie Saoudite envoie chaque jour un tanker pétrolier en Angleterre, aussi longtemps que dure le contrat Al-Yamamah. Un pétrolier contient approximativement 600.000 barils de pétrole. Officiellement, les livraisons d’avions de BAE Systems à l’Arabie Saoudite commencent en 1989 et BAE Systems emploie actuellement environ 5.000 personnes en Arabie Saoudite pour l’exécution du contrat.

Est-il possible de gager une valeur en cash pour BAE Systems sur les fournitures pétrolières ? Selon des sources proches du dossier, beaucoup du pétrole saoudien fut vendu sur le marché international spot, à la valeur du marché mondial, par l’intermédiaire de British Petroleum et Royal Dutch Shell.

L’économiste d’EIR, John Hoefle, en croisant les statistiques et les prix officiels de BP, chiffre le montant de la valeur totale de ces transactions à 125 milliards de dollars de l’époque, ou l’équivalent de 160 milliards de dollars d’aujourd’hui.

Par ailleurs, il est a remarquer que selon toutes les données dans le domaine public, le montant de l’équipement et des services fournis par BAE Systems à l’Arabie Saoudite, sur une période de 22 ans, se situe aux environs de 80 milliards de dollars. Et ce chiffre est gonflé à cause de quelques milliards de « largesses » diverses. En effet, en novembre 2006, un mini scandale a éclaté autour de la firme quand un document du ministère de la défense a laissé filtrer le prix réel des avions. Ce chiffre confirme la suspicion entretenue depuis longtemps que le prix des avions est surfacturé d’au moins quarante pourcents.

Ainsi, BAE Systems, une perle sur la couronne du système financier de la City de Londres, s’est attribué un pactole d’environ 80 milliards de dollars de profit net -avec la complicité de la BP et de Royal Dutch Shell !

Où est allé tout cet argent, et dans quelle type d’activités ? La réponse à ces questions, soulignent nos sources, circonscrit la clef même du pouvoir de la finance anglo-hollandaise dans le monde aujourd’hui.

L’ami et biographe du prince Bandar, William Simpson, nous livre une piste intéressante sur le fonctionnement interne du projet Al-Yamamah : « Bien que les contrats Al-Yamamah constituent une façon extrêmement non-conventionnelle de conduire les affaires, ses retombées lucratives sont le produit annexe d’un objectif politique : un objectif politique saoudien et un objectif politique britannique. Al-Yamamah est surtout, et avant tout, un contrat politique. Négocié quand la guerre froide battait son plein, sa structure unique a permis aux saoudiens d’acquérir des armes dans le monde entier pour financer la lutte contre le communisme. L’argent d’Al-Yamamah se retrouve dans l’achat clandestin de pièces d’artillerie russes employées pour chasser les troupes de Kadhafi du Tchad. On en retrouve également la trace lors des achats d’armes en Egypte pour finir en Afghanistan entre les mains des moudjahiddines luttant contre l’occupation soviétique. » Ainsi, le biographe du prince Bandar confirme que le système Al-Yamamah est le plus grand fonds secret de l’histoire -protégé par les lois du secret de sa majesté la Reine d’Angleterre et celles, encore moins transparentes, des financiers de la City de Londres ainsi que de l’empire dérégulé des paradis fiscaux qui peuplent les possessions et dépendances de l’empire.

Le monde vu du coté des saoudiens
Pour sa part, il est clair que la famille royale saoudienne n’a pas fait une mauvaise affaire avec Al-Yamamah. Quand le contrat fut signé en 1985, selon des insiders, l’Arabie Saoudite bénéficia d’une dérogation de l’OPEP, car l’accord de troc avec BAE Systems s’opère en dehors des quotas de production. En d’autres termes, pour effectuer les achats d’armes, l’Arabie Saoudite a obtenu le feu vert de l’OPEP pour produire 600.000 barils par jour, au-dessus du chiffre plafond.

Selon l’Agence d’information de l’énergie, qui dépend du Ministère de l’Energie américain, pendant toute la durée du programme Al-Yamamah, le coût moyen d’un baril de brut saoudien se chiffre en dessous des 5 dollars. A ce prix, le coût annuel pour les saoudiens pour les 600.000 barils par jour est de 1,1 milliards de dollars, c’est-à-dire 24,6 milliards de dollars du début jusqu’à maintenant. La valeur commerciale, comme nous l’avons déjà indiqué, totalise 160 milliards de dollars.

Les saoudiens forgent un partenariat crucial avec l’oligarchie financière anglo-hollandaise domiciliée à la City de Londres sous la protection de la couronne. Ils font naître, de mèche avec BAE Systems, Royal Dutch Shell, British Petroleum et autres grandes sociétés transnationales, une concentration dissimulée de pouvoir financier off-shore qui ferait baver d’admiration les gérants de la Compagnie des Indes Orientales des temps glorieux de l’empire britannique d’antan, quand l’Union Jack dominait les océans du globe.

A l’heure actuelle, il n’est pas possible de calculer la part exacte des fonds occultes dépensés dans les guerres secrètes et autres coups tordus anglo-américains des dernières décades. Il n’est pas possible non plus d’évaluer avec précision l’effet multiplicateur de portions de ces fonds occultes à l’oeuvre à travers les Hedge Funds des Îles Caïman, l’Isle de Man, Gibraltar, le Panama et la Suisse.

Ce qui est clair néanmoins, c’est que le scandale de BAE Systems dépasse de loin les 2 milliards de dollars d’argent de poche du prince Bandar et touche le cœur même de la puissance financière anglo-hollandaise.

Il y a encore énormément de choses à découvrir ; mais rien que cette porte légèrement entrouverte nous montre déjà fort bien ce qui entrera dans l’histoire comme la plus grande escroquerie du siècle.

Suivez les derniers développements :


« Pots de vin » de BAE : derrière la corruption, un Watergate international

M/D
Source: Alwihda - solidariteetprogres

mercredi 6 juin 2007

La Vérité va bientôt éclater au grand jour sur le détournement de plus de 22 milliards US $ !

Le Koweït vient d’annoncer, sans concertation préalable avec ses partenaires régionaux, qu’il mettait fin à l’indexation de son dinar sur le dollar états-unien. Pénalisé par son accumulation de pétrodollars devant être convertis en euros pour ses importations de produits européens, l’émirat entend ainsi juguler une inflation galopante qui dépasse largement les objectifs de sa banque centrale et réévaluer sa monnaie que le dollar a dangereusement tirée vers le bas. Traversant actuellement une phase de stabilité relative, le dollar pourrait donc poursuivre sa chute, d’autant que d’autres pays du Golfe comme le Qatar ou les Émirats Arabes Unis sont susceptibles de suivre l’exemple du Koweït dans les mois à venir. Ce mouvement, parallèlement à une diversification des réserves initiée par la [...] (6/06/2007)
http://www.voltairenet.org

samedi 26 mai 2007

Le mépris absolu du Peuple ! Faîtes ce que vous voulez : de toute façon vous ne changerez rien à rien...

http://www.lesprotocolesdesion.com/main.aspx?page=viewPosts&threadId=642&rubId=2

Question : - Celà ne vous gène pas que je suis le co-auteur avec Patrick Heinderickx du livre "Les Protocoles de Sion" qui décrit la domination du monde par le biais de la Trilatérale, Bilderberg et Cfr, entre autres..., livre qui nous a valu des campagnes de diffamation venant de communautés religieuses extrémistes ainsi que la prise à partie de la Ministre de la Justice Belge par un Parlementaire acquit à leur cause, l'un et l'autre demandant l'intervention de l'Ocam, de la Police Fédérale et de la Sûreté de l'Etat pour interdire notre livre ?

Réponse : - Pas le moins du monde, vous vous en sortez fort bien malgré toutes les embûches mises sur votre chemin, de toute façon vous ne changerez rien à rien... Bonsoir, Monsieur...

vendredi 11 mai 2007

Monsieur DSK, pourquoi avez-vous fait intervenir M° Veil pour faire annuler le reportage du 12 mai 2000 ?



Février 2002, Le Rapport OMERTA 2, Sophie Coignard interroge Bernard NICOLAS (journaliste), page 261 : - Vous avez déjà été victime de censure dans l'exercice de votre métier ?
Plusieurs fois. Dès lors qu'il était question de personnage politique de premier plan, les ennuis commençaient à TF1……Une fois, j'avais fait un reportage sur une histoire politico-financière compliquée qui devait passer dans l'émission de Julien Courbet Tout est possible. Dans la journée, une autopublicité annonce le thème de mon enquête. La direction de TF1 s'inquiète : cette affaire peut-elle être gênante pour Dominique Strauss-Khan ?…..J'étais interloqué : rien n'indiquait dans mon enquête que DSK fût mêlé en quoi que ce soit à cette affaire. Soit on se trompait en haut lieu, soit on en savait plus long que moi…..Les téléspectateurs qui ont vu la bande-annonce n'ont jamais vu la suite… Le reportage est visible dans son intégralité sur le site Internet :

www.googleswiss.com/ferraye-video

dimanche 6 mai 2007

N'oubliez pas que la Gauche et la Droite n'existent pas pour " Eux ".

Si le facho est élu, il ne restera pas très longtemps au pouvoir….
Si la Vierge Noire est élue, le Peuple devra être sur ses gardes....


samedi 5 mai 2007

Etienne Mougeotte, le vice-président de TF1, pourrait devenir le conseiller de Nicolas Sarkozy

Monsieur Mougeotte pourquoi avez-vous fait supprimer le reportage sur l'extinction des puits de pétrole en feu au Koweït, pré-enregistré dans l'émission Sans Aucun Doute du 12 mai 2000 ? Ce reportage suivait celui de l'assassinat du Juge Borel !!!

Qui vous a donné cet ordre ?

vendredi 27 avril 2007

«Les Français sont des veaux» Pardon, on devrait plutôt les comparer à des ânes bâtés (Général De Gaulle)

"le gouvernement du peuple par le peuple pour le peuple ne doit pas périr de la terre."Abraham Lincoln (1809-1865)

Or, Monsieur Sarkozy s’il est élu, n’aura plus besoin d’avoir l’opinion du peuple !

Le candidat de l’UMP exclut tout référendum concernant notamment la Constitution européenne.....

mardi 24 avril 2007

“La guerre contre le terrorisme” est une couverture pour les riches et puissants pour piller le monde

Les quartiers généraux d’Al-Qaïda Monde et leurs bureaux régionaux identifiés !
Traduction de la page éditoriale du site islamservices.org:

http://www.islamservices.org/Editorial.htm
Oui Al-Qaïda existe!
Ils ont 3 bureaux principaux et 1 bureau de liaison. Nous avons retrouvé leurs bureaux principaux à Tel-Aviv - Israël (quartier général), Londres (bureau régional), Langley en Virginie (bureau principal en Amérique du Nord) et Berlin en Allemagne (bureau de liaison). Ils ont un budget total de plus de 100 milliards de dollars (beaucoup de leurs revenus proviennent du commerce de la drogue).

Quelques criminels dangereux marquant l’histoire de l’humanité sont à la tête de cette organisation avec des connections dans beaucoup de pays, et une base de soutien de beaucoup de Saiyans (NDT : dans Dragon Ball Z, guerriers de l'espace originaires de la planète Végéta ; leur seule occupation est la conquête d'autres planètes en détruisant tous leurs habitants.)
La plupart de leurs sites Web sont hébergés aux Etats-Unis, et ils ont aussi des connections avec de nombreux journalistes des mass media. Toutes leurs communications hautement encryptées sont routées via Tel-Aviv. Ils effectuent leurs opérations bancaires avec facilité avec à peu près toutes les grandes banques du monde occidental et d’Israël, et ils évoluent dans les hautes sphères parmi les très riches et les milliardaires de Wall Street et de la City de Londres. Ils ont de très bonnes relations avec toutes les mafias mondiales.
Grâce à ce gigantesque réseau, ces connections et cette liberté de se déplacer à travers le monde, Al Qaeda est capable de mener à bien les opérations les plus sophistiquées qui requièrent un très haut niveau de planification, de logistique et, bien sûr, de secret.
Selon un article récent sur Timesonline-UK, ils vont bientôt utiliser des armes nucléaires dans un pays occidental. Nous n’avons pas été capables de déterminer comment ils seront capables de mettre en œuvre un tel engin ou ce que la méthode de livraison sera, mais sachant qu’ils sont très sophistiqués et qu’ils jouissent d’un très haut degré d’expertise technologique, ils ne devraient pas avoir de grande difficulté.
Nous espérons que les polices vont lire cet article et commencer à faire des recherches aux bons endroits.
“La guerre contre le terrorisme” est une couverture pour les riches et puissants pour piller le monde
Sur les milliers d’arrestations effectuées dans le monde des « terroristes », selon les gros titres « islamophobes » et les analyses d’experts sur des media comme Fox, BBC, Sky News, les media possédés par Murdoch et autres medias sionistes, le nombre réel de condamnés est minime. De plus, pour ce qui concerne ceux qui sont condamnés, il y a de sérieux doutes sur le déroulement des procès et sur les preuves présentées. Les centaines de millions de dollars payés par les contribuables qui sont utilisés pour faire durer cette guerre frauduleuse contre le terrorisme ne servent que les objectifs et les buts des va-t’en-guerre, de l’industrie de l’armement, des sionistes et des super riches. Les masses populaires sont transformées en esclaves et en chair à canon pour les super riches.
The Power of Nightmares
Dans cette série de la BBC en trois parties, produite par Adam Curtis, le film expose la menace terroriste comme une conspiration délibérée par l’Amérique et la Grande-Bretagne pour mettre en place un contrôle sévère et des restrictions sur leurs propres sociétés, en promouvant en outre l’Islam et les musulmans comme des ennemis de l’occident.
Le cas de terrorisme le plus frauduleux était la fausse accusation de la Lybie dans l’incident de Lockerbie.
Scotsman.com News – Le chef de la police – Les preuves de Lockerbie étaient truquées
Etc…

Les générations futures sacrifiées pour sauver le $

Par ceux qui ont préparé les attentats du 11/09, de Madrid, de Londres, au Maroc, en Algérie, ceux à venir en Europe et en France, pour conditionner l’opinion publique de la nécessité des frappes nucléaires sur l’Iran

http://www.mondialisation.ca/index.php?context=viewArticle&code=IVA20070424&articleId=5478

www.Mondialisation.ca
Iran: menace de guerre nucléaire

par Leonid Ivachov
L'appel de l‘ancien chef d’état-major des forces armées russes est un appel à la raison, à la volonté de sauvegarder pour nos enfants et les peuples un monde vivable. Ses analyses géopolitiques ne sont pas surprenantes. Elles sont bien connues dans les capitales du monde. Mais l’Europe, les «intellectuels» européens, les responsables politiques se taisent. Pourquoi personne n’élève-t-il la voix pour exprimer l’aspiration des hommes à la paix? Il est à la fois inquiétant et honteux que ce soit un général et non des écrivains, des penseurs, des hommes ou des femmes d’Etat qui se chargent de cette mission. (Horizon et Débats)
General Ivashov

L’analyse de l’état actuel du conflit avec l’Iran montre que le monde est confronté à la possibilité d’une nouvelle guerre qui peut commencer d’ici quelques jours.
Les Etats-Unis et leurs alliés ont préparé psychologiquement l’opinion publique à la possibilité de l’usage d’armes nucléaires pour résoudre le «problème iranien». L’appareil de propagande américain s’applique à créer l’impression qu’un usage «chirurgical» de l’arme nucléaire aux conséquences limitées est possible. Toutefois, depuis les bombes atomiques d’Hiroshima et de Nagasaki, on sait que ce n’est pas vrai.
Après la toute première frappe nucléaire, il sera absolument impossible d’empêcher le recours aux armes de destruction massive. Face à une destruction massive de leur pays, les belligérants utiliseront tous les moyens en leur possession sans aucune restriction. Par conséquent, non seulement les arsenaux nucléaires de différents pays, dont ceux dont le statut de puissance nucléaire n’est pas reconnu officiellement, entreront en jeu. Il ne fait aucun doute qu’on utilisera des armes chimiques et biologiques (et de manière générale toutes substances toxiques) qui peuvent être fabriquées avec des capacités industrielles et économiques minimales.
On peut affirmer que la paix et l’humanité sont en grand danger.
Considérons l’aspect technique de la question. Les objectifs déclarés par les Etats-Unis – destruction de 1500 cibles sur le territoire iranien – ne peuvent pratiquement pas être réalisés par les forces rassemblées pour cette mission. Ce n’est possible qu’en recourant à des armes nucléaires tactiques.
Trois bombes nucléaires d’Israël contre l’Iran
L’examen de l’aspect tactique révèle des faits encore plus importants. L’attaque de l’Iran ne comprend pas d’offensive terrestre. Les frappes contre certaines installations militaires et industrielles peuvent causer de sérieux dommages au potentiel de défense et à l’économie iraniens. Le nombre de morts sera peut-être important mais pas catastrophique du point de vue militaire. Or il est impossible de contrôler le territoire d’un pays aussi vaste que l’Iran sans opérations terrestres. L’offensive va entraîner une consolidation des forces non seulement en Iran mais dans d’autres pays musulmans et dans l’opinion mondiale. Le soutien apporté au pays victime de l’agression américano-israélienne va augmenter considérablement. Il est certain que Washington est conscient du fait que cela ne va pas renforcer mais affaiblir les positions américaines dans le monde. Aussi faut-il envisager l’objectif de l’attaque des Etats-Unis contre l’Iran sous un autre angle. Leur offensive nucléaire a pour but d’augmenter le chantage nucléaire dans leur politique globale et de transformer fondamentalement l’ordre mondial.
Il existe d’autres preuves de la radicalisation des objectifs des Américains et de leurs alliés. Les fuites du début de 2007 concernant le projet israélien d’utiliser trois bombes nucléaires contre l’Iran étaient risquées pour un pays situé dans un environnement hostile, mais elles étaient certainement délibérées. Elles montraient qu’Israël avait déjà pris des décisions sur le caractère de son opération et que tout ce qui restait à faire était d’influencer l’opinion dans ce sens.
Le prétexte à l’attaque de l’Iran ne paraît pas sérieux. D’un point de vue technique et politique, l’Iran n’a pas la possibilité de développer des armes nucléaires dans un proche avenir. Il faut se rappeler que l’affirmation selon laquelle l’Irak possédait des armes de destruction massive a été utilisée comme prétexte pour attaquer ce pays. A la suite de cela, le pays a été dévasté; le nombre de morts civiles a atteint des centaines de milliers et jamais on n’a trouvé de preuve de l’existence d’armes de destruction massive.
La question vraiment importante n’est pas de savoir si l’Iran est capable ou non de fabriquer des armes nucléaires. La seule fonction d’un petit stock d’armes nucléaires non accompagnées de diverses formes de soutien est d’ordre dissuasif. La peur de frappes de représailles peut stopper n’importe quel agresseur. Mais attaquer d’autres pays et gagner une guerre nucléaire dans un conflit avec une coalition de grandes puissances demanderait un potentiel que l’Iran ne possède pas et ne possédera pas dans un proche avenir. L’idée que l’Iran puisse devenir un agresseur nucléaire est absurde. Quiconque a quelques notions théoriques en matière militaire doit le comprendre.
Une guerre pour détourner l’effondrement du dollar
Pourquoi les Etats-Unis veulent-ils déclencher ce conflit militaire?
Les activités qui ont des conséquences à l’échelle globale ne peuvent servir qu’à traiter un problème global. Et ce problème n’est absolument pas secret. C’est l’éventualité d’un effondrement du système financier global fondé sur le dollar. Actuellement, la masse monétaire des Etats-Unis est plus de 10 fois supérieure à la valeur totale des biens américains. Aux Etats-Unis, tout – industrie, bâtiments, haute technologie, etc. – est hypothéqué plus de dix fois dans le monde entier. Une dette de cette ampleur ne pourra jamais être remboursée, elle ne peut qu’être allégée.
Les dollars sur les comptes des particuliers, des organisations et des trésors publics sont une réalité virtuelle. Ces sommes ne sont pas garanties par des produits, des valeurs ou quoi que ce soit quoi d’autre qui existe réellement. Reporter cet endettement sur le reste du monde transformerait la majorité de sa population en investisseurs floués. Ce serait la fin de la règle bien établie du veau d’or. L’importance des événements à venir est vraiment épique. C’est pourquoi l’agresseur veut ignorer les conséquences catastrophiques de son offensive. Les «banquiers globaux» en faillite ont besoin d’un événement d’ampleur globale pour tirer leur épingle du jeu.
La solution est déjà prévue. Les Etats-Unis n’ont rien d’autre à offrir au reste du monde pour sauver le dollar du déclin que des opérations militaires comme celles d’ex-Yougoslavie, d’Afghanistan et d’Irak. Mais même ces conflits locaux n’ont que des effets à court terme. Les USA ont un besoin urgent de quelque chose de plus important. L’heure approche où la crise financière amènera le monde à comprendre que tous les biens – industriels, technologiques et autres – des Etats-Unis n’appartiennent pas légitimement au pays. Il faut donc tout confisquer pour dédommager les victimes et réviser les droits de propriété de tout ce qui a été acheté en dollars dans le monde – toutes choses prises aux richesses de divers pays.
Terrain d’habitation pour des citoyens israéliens en Russie
Qu’est-ce qui pourrait déclencher cet événement de grande ampleur? Tout semble indiquer qu’Israël va être sacrifié. Sa participation à une guerre contre l’Iran, en particulier une guerre nucléaire, est de nature à déclencher une catastrophe globale. Les deux Etats reposent sur des bases religieuses. Un conflit entre Israël et l’Iran dégénérera en un conflit entre le judaïsme et l’islam. Comme il y a beaucoup de juifs et de musulmans dans les pays développés, le bain de sang global sera inévitable. La totalité des forces actives de la plupart des pays du monde finiront par se battre, laissant peu de place à la neutralité. A en juger par les achats massifs de logements pour des citoyens israéliens, particulièrement en Russie et en Ukraine, nombreux sont ceux qui ont une idée de ce qui va se passer. Toutefois, il est difficile d’imaginer un endroit tranquille où l’on soit à l’abri de la catastrophe à venir. Les prévisions sur les territoires où auront lieu les combats, les quantités et l’efficacité des armes employées, le caractère profond des racines du conflit et la gravité des dissensions religieuses, tout cela ne laisse aucun doute sur le fait que ce conflit sera un cauchemar pire que la Seconde Guerre mondiale.
Jusqu’ici, la réaction des dirigeants politiques dans le monde n’incite pas à l’optimisme. La résolution insignifiante de l’ONU concernant l’Iran, les tentatives faites pour calmer l’agresseur qui ne cache plus ses intentions rappelle les accords de Munich à la veille de la Seconde Guerre mondiale. L’intense ballet diplomatique axé sur toutes sortes de questions internationales à l’exception de la principale, que nous venons d’exposer, est révélateur du problème. C’est une pratique courante, à la veille d’une guerre, qui vise à forger des alliances avec des pays tiers ou à s’assurer leur neutralité. Cette politique cherche à prévenir ou à atténuer les premières frappes qui seraient les plus soudaines et les plus dévastatrices.
Isoler les USA et Israël
Est-il possible de prévenir un bain de sang?
Le seul argument efficace de nature à stopper l’agresseur serait de le menacer d‘un isolement global en cas de guerre nucléaire. L’application du scénario décrit ci-dessus peut être rendue impossible par l’absence complète d’alliés du tandem USA-Israël et par de vives protestations dans les divers pays. Par conséquent, si ces jours-ci des chefs d’Etat, des gouvernements, des politiques, des personnalités publiques, des chefs religieux, des scientifiques et des artistes prenaient catégoriquement position au sujet des préparatifs d’attaque nucléaire, ils rendraient un service inestimable à l’humanité.
Il s’agit de coordonner ces activités avec la promptitude nécessaire en cas de guerre. L’agresseur a déjà rassemblé et concentré ses forces qui sont prêtes au combat. Les militaires américains ne cachent pas que ce peut être une question de semaines, voire de jours. On dispose d’indices selon lesquels l’attaque nucléaire de l’Iran pourrait avoir lieu en avril 2007. Après la première frappe nucléaire, l’humanité se trouvera dans un monde entièrement nouveau, un monde totalement inhumain. Il faut mettre à profit toutes les chances dont on dispose pour empêcher la catastrophe.


Article original en anglais: Iran: the Threat of a Nuclear War, 9 avril 2007.

Version française et traduction: Horizon et Débats, 23 avril 2007, no. 15.

lundi 16 avril 2007

Qui combat la vérité sera vaincu. [Hazrat Ali] Calife musulman

4e de couverture
Victime d’une campagne calomnieuse sans précédent, en février 2004, le grand reporter Didier Contant fait une chute mortelle d’un immeuble parisien alors qu’il s’apprêtait à publier son enquête sur la mort des moines de Tibhirine en Algérie en 1996. Les résultats d’un long travail d’investigation sur le terrain à Blida par l’ancien rédacteur en chef de l’agence Gamma confirment que les moines ont été enlevés et assassinés par le GIA (Groupe Islamiste Armé).
Mais à Paris, des confrères affirment auprès des rédactions parisiennes que Didier Contant travaillait pour les services français et algériens dans le cadre de son enquête sur les moines, déconseillant toute publication de son investigation. Ces lobbies, composés de journalistes, d’éditeurs, d’avocats et d’organisations de droits de l’homme, brandissent le témoignage d’un sous-officier transfuge de l’armée algérienne, tendant à prouver l’implication de l’armée dans le rapt des moines. Didier Contant vivait cette campagne calomnieuse comme une catastrophe professionnelle ; dépossédé de son honneur, de sa dignité et de la capacité de gagner sa vie, il ne put l’accepter.
Rina Sherman livre un témoignage saisissant sur la mort de son compagnon, Didier Contant. Pour rendre hommage à l’homme qu’elle a aimé, elle raconte avec brio leur grande histoire d’amour et la tragédie qu’ils ont vécues. Son récit se lit comme un roman, comme un thriller, dans lequel suspense, investigation et combat se confondent dans une réflexion essentielle : Il ne faut pas se taire afin que soit respecté l’un des droits fondamentaux de l’homme, celui de la liberté d’expression.
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Préface
Didier Contant est mort. On a dit que c’était un accident. On : pronom personnel indéfini, désigne ici d’une manière vague les autorités algériennes mais également françaises. Sa compagne, non convaincue, a voulu enquêter. Et elle l’a fait d’une manière farouche et déterminée. Je ne sais pas si Didier Contant a été tué, est mort accidentellement ou tout simplement été victime de circonstance non élucidée. En revanche, c’est que la mort d’un confrère quelle qu’elle soit mérite qu’on y porte un intérêt.
Cet intérêt n’a pas été porté sur le cas de Didier Contant, mais à la lecture de l’enquête de sa compagne, on ne peut avoir que des doutes sur cette mort fortuite qui arrangeait tout le monde en définitive. Devant ce travail colossal, minutieux, on ne peut que s’incliner. À la lecture des pages qui suivent, les autorités ne peuvent rester indifférentes et, pour avoir la conscience tranquille, devraient instruire cette mort. Pour cela il est vrai que du courage politique est nécessaire, non seulement en France mais également en Algérie : or ce courage est bien ce qui manque hélas des deux côtés de la Méditerranée.
Le lecteur - lui comprendra que le mystère reste entier sur la mort de Didier Contant, le huitième mort de Tibhirine.
Antoine Sfeir

mardi 3 avril 2007

Clearstream ou la violence et l’opacité d’une institution financière

http://www.agoravox.fr/article.php3?id_article=21733&id_forum=877249&var_mode=recalcul#commentaire877249

Cher Denis Robert,
Comme l’a très justement dit Hazrat Ali (Calife musulman): « Qui combat la vérité sera vaincu ». vous avez donc raison de continuer le combat citoyen pour que la vérité éclate au grand jour. Car, la vérité l’emporte toujours, pourvu qu’elle soit défendue.
En 1997, soit 4 années avant la publication du premier livre sur l’affaire Clearstream, vous m’avez interrogé et filmé sur le « Kuwait Gate » ou le détournement de plus de 22 milliards us $ lors de la 1ère Guerre du Golfe. Vous avez d’ailleurs parlé de cette affaire au Chapitre 13 de « La Boîte noire ». Sans le support de Clearstream, ces détournements n’auraient pas pu être fait. J’ai été désigné l’Ayant Droit Economique Réel (ADER) de plusieurs comptes bancaires :
- ABN AMRO (Basel) N° 1.068.635
1.420.000.000 US $
- BMB (Genève) N° 7915
2.485.000.000 US $
- ROYAL TRUST (Toronto) N° 436.543
1.811.000.000 US $
- FIRST INTERSTATE Bank (New York) N°477.925
1.200.000.000 US $
- FIRST HOME Bank (Grand Cayman) N° 392.857
1.122.000.000 US $
- UBS (Genève) N° 231.215
381.987.200 US $
________________
TOTAL 8.419.987.200 US $
Le 16 novembre 1995, à Genève, j’ai été le seul à refuser de signer les orders de virements preparés par les notaires et les avocats. Je croyais à la justice. J’ai deposé plainte. Et depuis ce jour-là ma vie allait devenir un enfer.
Il est intéressant de remarquer que les comptes utilisés pour cette opération baptisée « KUWAIT GATE », sont en fait les comptes internes des banques (comptes de transactions) spécialisées dans le blanchiment et dont Monsieur Jean Pierre VAN ROSSEM entre autre, a été désigné titulaire bien avant le 16.11.1995 :

UBS Genève
N° 231215, détenteurs Jean Pierre VAN ROSSEM, Roland VANDEN AVENNE, Christian VANDE VYVERE, montant 47.987.345,12 USD
ROYAL TRUST BANK :
N° 436543, détenteur Jean Pierre VAN ROSSEM, montant 14.267.091 USD. 03/10/94 – Blocked – Acces Code 841 – Desk 811.
FIRST HOME BANK Gran Cayman :
N° 392.857, détenteur Jean Pierre VAN ROSSEM, montant 23.245.532 USD 03/10/94 – Blocked
FIRST INTERSTATE BANK Ltd – New York :
N° 477.925, détenteur Jean Pierre VAN ROSSEM, montant 31.487.243 USD 03/10/94 – Blocked – Acces Code LT 811 – Desk 228.
Le rapport d’audit de la société suisse SB Holding sur les comptes de Christian BASANO qui précise :

I Que divers organismes bancaires ont travaillé directement avec le nom de monsieur Basano pour la réception et le transfert des fonds ?

II Que des organismes financiers ou bancaires ont simplement servi de relais dans l'utilisation du nom de monsieur Basano pour l'ouverture de comptes mais que souvent ces comptes n'ont servi que pour une seule transaction, et qu'ils restent à ce jour, malgré tout ouverts.

III La plupart de ces comptes sont organisés à plusieurs tiroirs, avec un compte principal qui réceptionne le virement, mais qui exécute immédiatement la répartition qui se fait automatiquement sur des comptes secondaires sous le même N° avec des lettres ou des chiffres b,c,d, de ce fait la transaction semble être moins importante
Ce rapport est très intéressant car il démontre le mécanisme utilisé par les Banques c'est-à-dire l’outil mis à leur disposition par Clearstream.

C’est pour cela que Monsieur André Roelants peut affirmer : "il n’y a pas de comptes secrets, mais il y a des comptes publiés et des comptes non publiés".

Sophie Coignard vient de publier (février 2007) avec Jean Louis Gergorin « RAPACITES ». Au mois de Février 2002, dans son livre Le Rapport OMERTA 2, elle interroge Bernard NICOLAS (journaliste), page 261 : - Vous avez déjà été victime de censure dans l'exercice de votre métier ?
Plusieurs fois. Dès lors qu'il était question de personnage politique de premier plan, les ennuis commençaient à TF1……Une fois, j'avais fait un reportage sur une histoire politico-financière compliquée qui devait passer dans l'émission de Julien Courbet Tout est possible. Dans la journée, une autopublicité annonce le thème de mon enquête. La direction de TF1 s'inquiète : cette affaire peut-elle être gênante pour Dominique Strauss-Khan ?…..J'étais interloqué : rien n'indiquait dans mon enquête que DSK fût mêlé en quoi que ce soit à cette affaire. Soit on se trompait en haut lieu, soit on en savait plus long que moi…..Les téléspectateurs qui ont vu la bande-annonce n'ont jamais vu la suite… Le reportage est visible dans son intégralité sur le site Internet :

www.googleswiss.com/ferraye-video

Pourquoi DSK a-t-il fait annuler le reportage programmé le 12 mai 2000 dans l’émission « Sans Aucun Doute » présentée par Julien Courbet ? Monsieur Jean-Michel Berges est actuellement le Juge d’Instruction chargée de l’affaire (N° du Parquet : 0213438076, N° d’Instruction : 9/02/51)
Il est intéressant de lire : March-April 1993 Euro-Barameter 39. “Member of National Government”
► France : Dominique Strauss Khan
► Belgique : Jean-Pierre Van Rossem
Monsieur Jacques Chirac, le Président de la République a déclaré (18 février 1999 aux institutions de Bretton Woods) : « Il faut adopter un vrai « code de la route » pour la circulation des capitaux, un code qui s’applique à tous, y compris au centre Off Shore » Très bien, mais, il ne suffit pas de le dire…il faut le faire…

lundi 2 avril 2007

Monsieur Sarkozy, La vérité est en marche et rien ne l'arrêtera [Emile Zola].

http://www.betapolitique.fr/spip.php?rubrique0043

Serge Portelli : Ruptures, le bilan de Nicolas Sarkozy. L’éditeur Michalon renonce à publier le texte (sous la pression de Nicolas Sarkozy ?). En ligne sur Betapolitique : Ce livre est là pour qu’on ne puisse pas dire, après, qu’on ne savait pas
Serge Portelli, magistrat, vice-président au tribunal de Paris,
président de la 12e Chambre correctionnelle, auteur de nombreux
ouvrages, avait préparé un nouvel ouvrage : Ruptures, dressant
le bilan sans concession de 5 ans de gouvernement Sarkozy et réfutant
la plupart des fausses évidences fondant sa politique de sécurité. Au
dernier moment, l’éditeur a « renoncé » à publier ce texte, ne laissant
plus le temps à un nouvel éditeur de le faire paraître avant l’élection
présidentielle.
Le livre sera donc publié intégralement sur Betapolitique, chapitre par chapitre :

http://www.betapolitique.fr/ruptures/

samedi 31 mars 2007

Le Sarko Show ! Arrêtez de prendre les Française et les Français pour des Cons...

http://www.voltairenet.org/article146650.html
Campagne présidentielle française
Gare du Nord : « émeute » ou emballement médiatique ?
La presse française relate abondamment une « émeute » qui serait survenue Gare du Nord, le 27 mars. Commentant les faits, les responsables politiques se félicitent de la fermeté de la police ou s’indignent au contraire des violences policières. Selon les cas, on évoque la misère des banlieues ou la sauvagerie des immigrés. Toutefois sur place, il n’y a jamais eu d’émeute, mais un affrontement soigneusement organisé devant les caméras entre « autonomes » et forces de l’ordre. Les coups tordus de la campagne électorale commencent.
________________________________________
En période électorale, la France aime à se faire peur. La presse nationale fait ses gros titres des « émeutes » qui seraient survenues Gare du Nord, mardi 27 mars 2007 à Paris. La plupart des leaders politiques ont commenté les faits sans les vérifier, contribuant à leur donner une importance disproportionnée. Des experts imaginatifs sont intervenus dans les médias pour en débattre, toujours sans vérifier les faits, les interprétant en relation avec les banlieues pauvres ou les populations immigrées.

Une du « Parisien » le 28 mars 2007
Nicolas Sarkozy, candidat (UMP) à l’élection présidentielle : « La police de la République, la gendarmerie de la Nation font leur travail (…) Arrêter quelqu’un parce qu’il ne paie pas, pendant des années on s’en est moqué, mais c’est leur travail de faire cela ».
François Baroin, nouveau ministre de l’Intérieur : « [Après un] contrôle normal par les forces de l’ordre, (…) ça dégénère, ensuite ça se transforme en guérilla urbaine, en violence inacceptable, intolérable ».
Jean-Louis Borloo, ministre de la Cohésion sociale : « L’ordre républicain doit être respecté dans une gare et les contrôles doivent se faire normalement. [Cependant] ne mélangez pas la gare du Nord, quelques incidents, avec les banlieues françaises ».
Philippe de Villiers de Saintignon, candidat (MPF) à l’élection présidentielle : « La société a tourné du côté des malfrats. Des bandes ethniques sont installées sur notre territoire et considèrent que même la gare du Nord, c’est leur territoire (…). Voilà le résultat de l’immigration incontrôlée ».
Jean-Christophe Cambadélis, député PS : « Les incidents de la gare du Nord à Paris démontrent un climat sarkozien fait de tensions, d’exactions, de violence verbale et de stigmatisations ».
Jack Lang, conseiller spécial de Ségolène Royal : « Nous demandons que toute la lumière soit faite, incidents organisés ou fortuits, tout cela doit être en toute indépendance établi (…). Nous vivons une période où les dirigeants de l’État ont souvent allègrement violé les règles, violé les lois, et la situation est d’une grande dégradation civique ».
Ségolène Royal, candidate (PS-PRG) à l’élection présidentielle : « Ce n’est pas la France que l’on aime voir, celle qui est la France des affrontements (…) surtout qu’en cinq ans d’un gouvernement d’une droite qui avait fait pourtant de la sécurité son thème principal de campagne (...), on voit que c’est l’échec sur toute la ligne ».
Les porte-parole de Nicolas Sarkozy : « L’ordre juste socialiste, c’est justifier le désordre (…). Alors que ces événements ont suscité un vif et légitime émoi dans la population française, le porte-parole de la candidate socialiste et la responsable des questions de sécurité au PS ont une fois encore cherché à justifier les actes de violences et de pillages inacceptables qui ont été perpétrés ».
Bertand Delanoë, maire (PS) de Paris : « De tels débordements, après la crise de l’automne 2005, confirment notamment l’erreur magistrale qu’a constitué la suppression de la police de proximité (…). [Ils] révèlent une tension préoccupante et grandissante au sein de notre société. »

Vitrines endommagées
Les principaux médias ont affirmé que ces vitrines avaient été détruites et ces deux magasins pillés. Comme on peut le constater sur ces photos prises le lendemain matin, c’est pour le moins exagéré !
En réalité, vers 16 h 30, des policiers ou des vigiles ont interpelé un voyageur sans ticket. Choqués par la violence de l’interpellation des passants se sont interposés et le tout à tourné à la bagarre générale. Le calme était revenu vers 18 h 30.

Présence massive de journalistes à la gare du Nord
De nombreuses chaînes de radio et de télévision, ainsi que des photographes, sont arrivés sur les lieux une fois l’incident clos. Curieusement, une partie d’entre eux est restée sur place à attendre. Leur patience a été payée en retour : vers 20 h 30, des jeunes gens (entre 100 et 300) sont arrivés en groupes organisés dans la gare. Ils ont joué au chat et à la souris avec les forces de l’ordre dans les différents niveaux et couloirs de l’échangeur SNCF-RER-RATP en scandant des slogans tels que « À bas l’État, les flics et les patrons ! », sous les yeux des passants attroupés aux balustrades du niveau supérieur comme à un spectacle. Des casseurs ont envoyé un palmier en pot du hall de la gare dans une cour intérieure, trois niveaux plus bas. Des panneaux publicitaires lumineux et un photomaton ont été dégradés. Quatre magasins ont eu leurs vitrines fêlées, l’une d’entre elle a été trouée par le jet d’une grenade lacrymogène. Dans la confusion, quelques articles ont été chapardés dans un magasin de chaussures de sport. Neuf personnes ont été interpellées, aucun blessé grave n’est à déplorer.

Une du « Monde » le 28 mars 2007
Titre : « Questions sur les violences de la gare du Nord ». Sous-titre : « Émeutes : jeunes et policiers se sont affrontés durant plusieurs heures »
Bref, des évènements qui ne sauraient aucunement être qualifiés d’émeutes et qui n’ont aucun rapport ni avec les banlieues, ni avec l’immigration, mais qui rappellent les affrontements habituels entre forces de l’ordre et « autonomes » en queue de certaines manifestations, et donnent l’impression d’avoir été programmés à l’avance pour « faire des images ».
Mercredi 28, en fin de matinée, Nicolas Sarkozy (candidat à l’élection présidentielle) s’est rendu comme prévu de longue date Gare du Nord pour y prendre un train. Il a ainsi pu réaliser in situ des interviews sur son bilan au ministère de l’Intérieur et se féliciter de ce que désormais, force reste à la loi.

Qui suis-je? Je suis une personnalité politique française très dangereuse...

Aricle paru sur Internet
Je suis issu d'une famille de barons hongrois qui a collaboré avec le
régime nazi durant la guerre et a fui la Hongrie pour éviter d'être
jugée pour collaboration après la Libération.

Dans ma jeunesse je participe à des manifestations contre les étudiants
grévistes.

Contrairement à ce que j'essaye de faire croire je ne suis pas le
candidat de la « rupture » ou de la « nouveauté » en politique je suis
entré en politique sous Giscard il y a 30 ans et j'ai été plusieurs fois
ministre, député, maire, président de Conseil Général.


À l'époque de la catastrophe de Tchernobyl j'était délégué
interministériel au nucléaire et c'est moi qui ai mis en place la
campagne de désinformation prétendant que le nuage de Tchernobyl s'est
arrêté aux frontières de la France. J'ai fait cependant disparaître cet
épisode de ma vie politique de ma biographie officielle sur le site
internet du ministère de l'Intérieur.

Ministre de l'économie durant une partie du gouvernement Raffarin, j'ai
défendu la rigueur et la baisse des dépenses publiques. J'ai réalisé
l'ouverture du capital d'EDF-GDF et me suis engagé à ce que jamais cette
entreprise ne soit privatisée.
J'ai renié cet engagement en 2006 en privatisant GDF, je suis donc un
menteur.

Ministre de l'Intérieur depuis 2002, j'ai mis en place de nombreuses
lois liberticides et j'ai réussi à faire exploser l'insécurité alors que
j'étais censé la faire diminuer. Je suis directement responsable du
déclenchement de la révolte des banlieues en 2005 par ma politique
répressive et mes propos insultants envers les habitants de ces
banlieues.

J'ai mis en place la loi CESEDA qui organise l'immigration choisie au
profit des capitalistes et j'ai mené la chasse à l'enfant en expulsant
les enfants sans-papiers, parfois en les séparant de leurs parents.

J'ai fait obtenir la Légion d'Honneur à un de mes amis qui se trouve
être un maire d'extrême-droite ayant été condamné à plusieurs reprises
pour incitation à la haine raciale. D'ailleurs mon conseiller politique,
Patrick Devedjian, est l'un des membres fondateurs d'Occident, ancien
groupe d'extrême-droite terroriste et antisémite.

J'ai repris l'un des slogans de Jean-Marie Le Pen « la France tu l'aimes
ou tu la quittes » et je défends ses thèses que ce soit sur
l'immigration ou l'insécurité.
Je me vante d'ailleurs d'avoir l'électorat du Front National pour moi.

Je suis un fervent partisan des États-Unis, de George Bush et les
néoconservateurs américains m'apprécient beaucoup. Je suis pour la
guerre en Irak et je suis venu apporter mon soutien à mon ami Georges
Bush. Je me suis fait photographier lui serrant la main (photo qui
rappelle la sinistre poignée de main entre Pétain et Hitler) et, pour
paraître plus grand, j'ai fait truquer cette photo (pratique qui
rappelle les modifications de photos dans un but de propagande réalisées
par Staline et Mao Tsé Dong).

Lors de l'affaire Clearstream j'étais au courant depuis le début que mon
nom était présent dans les listings et j'ai laissé faire dans le but
d'apparaître comme une victime. J'ai même déclaré que je souhaitais voir
« pendus à un crochet de boucher » ceux qui ont mis mon nom sur les
listings. Pour rappel, Hitler aussi voulait voir « pendus à un crochet
de boucher » ceux qui ont organisé l'attentat manqué contre lui.

Il y a plusieurs mois, j'ai dévoilé à la TV qu'une opération
d'arrestation de terroristes allait avoir lieu et j'ai ainsi risqué de
faire échouer cette arrestation.

Dans une de mes visites électorale en Corse, aux frais du contribuable,
j'ai utilisé pour moi le seul hélicoptère de l'île. Un enfant s'est le
même jour gravement blessé en randonnée et il est mort car il n'a pas pu
être emmené aux urgences à temps, puisqu'il n'y avait plus d'hélicoptère
disponible pour l'y emmener...

Je suis, je suis...


S'il vous plaît, il est dangereux et ce que vous voulez, mais surtout
pas notre futur président !

lundi 26 mars 2007

" Il n'est point de secret que le temps ne révèle"

Jean Racine (Britannicus)

Triste anniversaire : dans la nuit du 26 au 27 mars 1996, 7 moines du monastère de Tibhirine sont enlevés, séquestrés pendant 2 mois, puis assassinés!

Les intentions de prière du ministre Sarkozy et du cardinal Barbarin – État de l’enquête sur l’assassinat des moines de Tibhirine
Dans la France républicaine, fière de sa laïcité, il arrive que des circonstances se présentent où franchir la ligne rouge entre l’État et l’Église semble servir les intérêts de tout le monde. C’est ainsi qu’un ministre de la République et un cardinal de l’Église de France, très proches l’un de l’autre, se sont rendus récemment en Algérie, l’un après l’autre. En novembre 2006, le ministre n’a pas manqué de donner à l’étape de sa campagne électorale en France qu’était cette visite en Algérie une dimension religieuse par une visite hautement médiatisée à Tibhirine. Et en février 2007, la visite du cardinal de Lyon, bien qu’ayant très clairement une intention œcuménique et religieuse, n’a pas manqué de revêtir une dimension politique hautement désirée par le pouvoir algérien.

Crainte, en Algérie, d’une enquête internationale sur les années de violence
Le cycle infernal de violence dans lequel l’Algérie a été engouffrée durant une bonne dizaine d’années s’est très heureusement fortement calmé ces dernières années. Il ne reste plus que ce que le régime appelle une « violence résiduelle » – à peine quelques dizaines de victimes par-ci par-là – et qui, d’ailleurs, servent à convaincre la communauté internationale de l’importance de poursuivre la lutte contre le terrorisme avec les mêmes armes que par le passé. Mais de nombreux organismes internationaux de défense des droits de l’homme, à commencer par Amnistie Internationale, ont demandé à plusieurs reprises par le passé que soit ouverte une enquête internationale sur les crimes contre l’humanité commis durant cette longue guerre civile (car c’en était bien une, même si le régime interdit de le dire), aussi bien par les islamistes que par les forces de sécurité. Le régime algérien s’est donné une loi d’amnistie fort bien cadenassée ; mais les responsables savent bien qu’il n’y a pas de prescription concernant les crimes contre l’humanité. Aussi est-il d’une extrême importance pour eux de « tourner la page » sur cette douloureuse période, de faire rentrer l’Algérie dans la communauté des nations « démocratiques », se montrant d’ailleurs à la tête du peloton de la grande coalition internationale contre le « terrorisme ». Et la France, qui n’a jamais surmonté son sentiment (d’ailleurs bien fondé) de culpabilité concernant l’Algérie, voudrait aussi que cette page soit tournée, et surtout avant qu’elle ne soit lue jusqu’au bout.

Instruction de la justice française en cours
Dans ce contexte, une chose ennuie terriblement aussi bien le régime algérien que les politiciens français. C’est que l’État français s’est trouvé en quelque sorte piégé par l’indépendance de sa Justice, lorsqu’une plainte avec constitution de partie civile ayant été déposée, une instruction a été ouverte il y a plus de trois ans sur la mort des moines de Tibhirine. Que presque aucune des quelque 200 000 victimes algériennes n’ait bénéficié d’une enquête sur les conditions de sa mort, cela ne trouble pas le régime algérien. D’ailleurs, la récente loi d’amnistie et surtout ses décrets d’application interdisent – sous peine d’amendes et de prison – aux familles des quelques dizaines de milliers de disparus de mentionner l’enlèvement des leurs par les forces de sécurité. Mais l’Algérie ne pouvait empêcher qu’une enquête soit ouverte en France sur la mort des moines de Tibhirine. Et pour la France, une fois que cette enquête a été ouverte, il faut bien jouer le jeu ; et ce jeu est quand même soumis à certaines normes qu’un État de droit se doit de respecter.
C’est pourquoi, pour le moment, la grande préoccupation des autorités algériennes est d’enfoncer le clou de la « version officielle » et non seulement de répéter mais de faire répéter par des autorités étrangères, civiles et ecclésiastiques, que ces admirables moines chrétiens ont été éliminés par de fanatiques islamistes. Plus cette affirmation sera répétée, plus on oubliera qu’elle n’est qu’une partie de la vérité et moins on jugera nécessaire de se demander par qui étaient téléguidés les islamistes en question.
Même la presse catholique française semble désormais préférer que cette question soit classée une fois pour toutes. Consciemment ou inconsciemment, certains de ses plus importants médias font en tout cas aujourd’hui objectivement le jeu des généraux algériens. C’est ainsi que, le 8 mars 2007, à la grande stupeur de ceux qui connaissent un peu de l’intérieur la situation algérienne, le quotidien La Croix – jusque-là pourtant beaucoup plus circonspect et prudent sur les affaires algériennes, et notamment l’assassinat des moines – donnait l’hospitalité à une interview de Mounir Boudjemâa (sur le thème « La violence terroriste est-elle en train de renaître en Algérie ? »), présenté comme un « spécialiste des questions de sécurité » en Algérie, mais considéré dans les milieux de la presse comme un journaliste très lié au DRS, dans la grande tradition d’une presse algérienne « indépendante » relayant complaisamment la désinformation des « services ».

Visite du ministre Sarkozy à Tibhirine
Monsieur Sarkozy a bien joué le jeu. Tout en se rendant à Tibhirine pour y lire le Testament de Christian de Chergé, il a bien précisé qu’il ne le faisait pas en tant que chrétien, mais en tant que responsable de la France républicaine (« ce n’est pas la démarche d’un Français ou d’un chrétien, mais celle d’un homme de paix, de rencontre, entre l’Algérie, la France, des musulmans et des chrétiens »). Dans le discours qu’il prononça le 14 janvier 2007 lors de son auto-sacre comme candidat de l’UMP à la présidence de la République française, il instrumentalisa Christian (en même temps que Pascal, Voltaire, Jaurès, l’abbé Pierre et bien d’autres) allant jusqu’à présenter Christian de Chergé comme faisant « honneur à la France laïque et républicaine ». Monsieur Sarkozy prétend avoir beaucoup appris de Christian. On se demande quoi. Car que peut-il y avoir de commun entre la préoccupation brûlante qu’avait Christian du respect de la « différence » et la froide cruauté aussi bien des propos que de l’attitude de Nicolas Sarkozy à l’égard ceux qu’il appelle de la « racaille » et qu’il traite en conséquence ?
D’ailleurs, il est de tradition chez certains politiciens français de récompenser les autorités algériennes pour leurs largesses à leur égard. Ainsi, après le faux enlèvement, parfaitement bien réussi, des trois fonctionnaires du consulat français à Alger (Jean-Claude et Michèle Thévenot et Alain Fressier), le 24 octobre 1993, et l’arrivée de sommes importantes dans les caisses électorales du RPR, Charles Pasqua s’empressa de faire rafler une centaine d’Algériens dissidents présents en France (sur la liste de six cents réclamés par la Sécurité militaire algérienne). De même, depuis son retour d’Alger, Monsieur Sarkozy s’est mis au travail et, le 22 février 2007, par un décret ministériel, ignorant totalement l’avis de la justice, il expulsait Lahouari Mohamedi, un Algérien de trente-cinq ans, vivant en France depuis près de quinze ans, marié à une Française et père de trois enfants.
Tout de suite après la tragédie de Tibhirine, l’Ordre cistercien forma le désir de retourner à Tibhirine même. Une petite communauté s’établit à Alger, dans la résidence du cardinal Duval, attendant que le retour à Tibhirine soit possible. Devant la volonté constante des autorités algériennes de les instrumentaliser, en ne leur permettant de visiter Tibhirine que sous une protection militaire tellement élaborée et dramatique qu’elle relevait plus du folklore et du vaudeville que de la sécurité, l’Ordre renonça à ce retour à Tibhirine au moins aussi longtemps que les circonstances ne seraient pas radicalement différentes. On savait qu’en se pliant à cette prétendue protection, qu’avaient toujours refusée les moines de Tibhirine, on s’aliénerait la population locale.
Lors du dixième anniversaire de la mort des moines de Tibhirine, plusieurs membres de l’Ordre cistercien et des familles des moines assassinés avaient prévu un pèlerinage à Tibhirine. Ce pèlerinage fut annulé à cause de la volonté du gouvernement de ne laisser aucun de ces « pèlerins » circuler en Algérie sans protection militaire et aussi à cause de la loi sur l’amnistie qui pouvait facilement être utilisée contre quiconque aurait eu une parole déplaisant au régime. Lors de la visite du ministre Sarkozy et à l’approche de la visite du cardinal Barbarin, des journalistes algériens téléguidés par le pouvoir eurent la malhonnêteté de comparer le courage de ces « pèlerins » d’aujourd’hui à la crainte qui aurait empêché les moines et les familles d’aller à Tibhirine l’an dernier. La différence est plutôt dans le fait que, l’an dernier, les moines et les membres des familles refusèrent de se laisser instrumentaliser.

Pèlerinage du cardinal Barbarin à Tibhirine
Le pèlerinage conjoint d’un groupe de Musulmans de France, sous la direction d’Azzedine Gaci, président du Conseil régional du culte musulman (CRCM) de Rhône-Alpes, et d’un groupe de Chrétiens sous la direction du cardinal Barbarin est certes un geste œcuménique dont on doit se réjouir. Mais l’empressement du gouvernement à les accueillir, prenant à sa charge leur voyage, et à leur faciliter l’accès aux lieux à visiter, n’était peut-être pas totalement désintéressé. D’ailleurs, les autorités algériennes n’ont pas hésité à souligner plus d’une fois dans leurs discours l’importance que revêtait ce voyage pour « restaurer l’image de l’Algérie » ternie par des années de violences. D’autres auraient aimé mieux faire la distinction entre restaurer l’image de l’Algérie et légitimer un régime qui a beaucoup de sang sur les mains. Et puis, quoi de plus touchant que de voir des Musulmans et des Chrétiens prier ensemble sur la tombe de Chrétiens assassinés par des islamistes ! Une fois de plus on enfonce le clou de la version officielle.
Une chose dans ce pèlerinage reste fort troublante. À Rome, depuis l’incident de Ratisbonne en septembre 2006, on s’est remis à parler à qui mieux mieux de « dialogue avec l’Islam », mais en situant ce dialogue essentiellement sur les plans culturel et humanitaire. D’ailleurs, le jésuite Samir Khalil Samir, à qui l’on attribue l’introduction de la malencontreuse citation dans le discours du pape à Ratisbonne, ne manque plus sa chance d’écrire que le dialogue avec l’Islam « a commencé à Ratisbonne », balayant d’un revers de main tout ce qui a existé auparavant et qui se considérait comme « dialogue ». Or, dans ce récent pèlerinage à Tibhirine, l’occasion en or se présentait de souligner le fait que si le dialogue au niveau des idées théologiques et philosophiques est difficile et peut-être impossible, comme on le croit à Rome actuellement, le dialogue au niveau de l’expérience spirituelle est fort possible, comme nos frères de Tibhirine l’ont démontré par de longues années de communion avec la population musulmane qui les entourait. Célébrer nos frères de Tibhirine comme des martyrs en ne soulignant que leur mort aux mains d’extrémistes, c’est oublier leur véritable témoignage, leur véritable martyre. Malheureusement, aussi bien le ministre Sarkozy que le cardinal Barbarin et tous ceux qui les accompagnaient, y compris les journalistes, ont été soigneusement et hermétiquement protégés de tout contact avec la population locale, donc de tout contact avec ceux avec qui nos frères avaient vécu le dialogue durant de nombreuses années. Les rangées de soldats le long de la route à l’approche du monastère, au cours de ces deux récents pèlerinages, rappelaient tristement le folklore qui accompagna notre voyage à Tibhirine, il y a onze ans, pour l’enterrement des restes de nos frères. Déjà alors, nous étions bien conscients que nous n’avions à être protégés de personne sinon de nos protecteurs.

État de l’instruction du juge Bruguière
Rien de cela n’est étranger à l’enquête judiciaire confiée prudemment par la Justice française au juge antiterroriste Jean-Louis Bruguière. L’étape algérienne de cette enquête est terminée depuis plusieurs mois. Le juge Bruguière avait transmis aux autorités algériennes une liste très détaillée de questions touchant tous les aspects de l’affaire ; et les autorités algériennes ont répondu très consciencieusement. En lisant les centaines de pages que constituent ces dépositions, on en retire comme principal constat que désormais on a des preuves de ce qu’on savait. On savait depuis le début qu’on nous mentait. On en a maintenant des preuves. Ces preuves résident dans les contradictions que comportent ces dépositions.
Ainsi, dans une des dépositions faites par les services algériens, l’armée algérienne, lors d’une opération de ratissage et de fouille menée dans les monts de Bougara, aurait découvert, le 24 novembre 2004, dans une casemate qui était utilisée par le GIA des documents appartenant aux sept moines, et qu’on nous décrit en détail. Or, beaucoup plus loin, dans le même dossier, une autre déposition nous décrit comment ces mêmes objets (avec description détaillée identique) ont été découverts à Médéa en mai 1996, dans une pochette en plastique, accrochée à une clôture, avec les têtes des frères. On nous ment évidemment
On nous dit aussi de Mohamed Ben Ali, le gardien du monastère, que « s’agissant d’un témoin des faits, aucune procédure judiciaire ne l’a concerné, ni ne le concerne à présent ». C’est faux, car nous savons que Mohamed a été arrêté quelque temps après l’événement, gardé prisonnier durant plusieurs mois, avant d’être soumis à un procès au terme duquel il fut relâché comme innocent. On a vraiment l’impression que le but de ce procès était de faire apparaître tout à coup un « témoin », Larbi Benmiloud, qui aurait été enlevé avec les frères, et aurait ensuite réussi à s’enfuir. Il a donc pu, à ce procès, décrire en détail les divers endroits où les frères auraient été conduits. Sa mémoire, qui semble beaucoup trop précise pour être vraie, le trahit cependant parfois. Ainsi, dans une déposition, il dit que les frères ont été emportés dans une voiture de marque Daewoo ; et dans une autre déposition, il affirme n’avoir pu identifier la voiture à cause de l’obscurité.
On nous donne à quelques reprises les noms des islamistes venus enlever les moines. Évidemment, ils sont tous morts depuis et ne pourraient donc pas témoigner ! On connaît les circonstances dans lesquelles chacun d’eux a été éliminé, sauf un. De l’un d’entre eux en effet, un certain « Maïzi Mohamed », toujours placé en tête de la liste, on dit, avec une ingénuité incroyable, que « les circonstances de sa neutralisation sont indéterminées ». On peut probablement traduire qu’il a réintégré les rangs des services secrets.

La figure obscure de Djamel Zitouni
L’opération de l’enlèvement des moines, selon ce qu’on a toujours dit, a été dirigée par Djamel Zitouni, l’« émir national » des GIA. Il n’y a probablement pas de raison d’en douter. Mais des témoignages nombreux et concordants apportés depuis plus de dix ans, dans des enquêtes et des procès divers, affirment que Djamel Zitouni était utilisé et manipulé par les services secrets de l’armée algérienne (le DRS, ex-Sécurité militaire). C’est là le point principal sur lequel devrait se concentrer l’enquête judiciaire. La question à laquelle l’enquête devrait trouver une réponse est celle-ci : dans l’enlèvement des moines, Djamel Zitouni a-t-il travaillé en son nom propre, par fanatisme religieux, ou agissait-il sous les ordres d’autres personnes pour des motifs plus politiques que religieux ? Tout au long des dépositions faites en Algérie, dans le cadre de l’enquête Bruguière, un malaise se perçoit autour de ce personnage. D’ailleurs, un certain nombre des personnes qui font leur déposition, comme par exemple Ali Benhadjar, ne peuvent s’empêcher de répéter ce qu’ils avaient dit auparavant, tout en mesurant un peu plus leurs mots (vu les dangers qu’ils courent en parlant ainsi depuis la promulgation de la loi d’amnistie), à savoir que les services secrets étaient impliqués et que Zitouni avait des liens avec eux.

Le témoin Abdelkader Tigha
Le rôle – qui n’est contesté par personne – de Zitouni dans l’enlèvement des moines et ses liens avec les services secrets algériens demeurent l’élément central de l’enquête. Mais il y a aussi en cette affaire un témoignage additionnel de grande importance. C’est celui de Abdelkader Tigha, un ex-sous-officier du DRS, posté à Blida à l’époque du drame de Tibhirine et qui a choisi l’exil fin 1999 : tout au long d’un périple souvent dramatique d’un pays à l’autre, il n’a cessé d’affirmer sa volonté de témoigner sur les terribles exactions du DRS dont il a été témoin, et notamment sur le rôle de ses agents dans l’enlèvement des moines (ce qu’il a fait notamment dans une déclaration circonstanciée donnée au quotidien français Libération en décembre 2002). Dans les dépositions faites en Algérie pour l’enquête du juge Bruguière, on est surpris de l’acharnement avec lequel on s’efforce de décrédibiliser ce témoin – utilisant d’ailleurs les mêmes arguments employés pour décrédibiliser quiconque a fait défection des services secrets : c’était un voleur, etc. Depuis 2000, les autorités algériennes poursuivent ce témoin qu’elles disent sans valeur, à travers tous les pays où son odyssée l’a conduit, essayant par tous les moyens d’empêcher quelque pays que ce soit de lui attribuer l’asile politique et essayant de le faire rapatrier en Algérie, pour lui faire subir un sort que l’on peut facilement deviner. On voit difficilement comment expliquer cet acharnement – plus grand à son égard qu’à l’égard de tout autre dissident – s’il n’avait pas des choses inquiétantes à révéler. De même, on comprend un peu pourquoi le juge Bruguière ne s’est pas précipité pour l’interroger ou le faire interroger, même si l’on sait les difficultés liées à une audition dans un autre pays. Au moment où j’écris ces lignes, Tigha est en France depuis quelques semaines, ayant fui les Pays-Bas tout juste avant de se faire expulser. Tigha ayant demandé l’asile en France, on tremble à la pensée que son sort – et sans doute, en définitive, sa vie – dépende du ministre Sarkozy.

Le mystère du journaliste Didier Contant
Peu après le dépôt de la plainte (en décembre 2003) demandant l’ouverture d’une enquête judiciaire, un journaliste français indépendant, Didier Contant, avait enquêté en Algérie sur les circonstances de l’enlèvement et l’assassinat des moines et sur Abdelkader Tigha. Sans que l’on en connaisse les raisons (et les éventuels commanditaires), de nombreux éléments indiquent que la mission qu’il s’était donnée était de décrédibiliser Tigha. Après avoir enquêté essentiellement dans les milieux des services secrets et avoir effrayé la famille de Tigha en la visitant avec un journaliste algérien notoirement proche du DRS, Contant revint à Paris, où il se suicida quelques jours plus tard en se défenestrant, le 15 février 2004. L’enquête de la Brigade criminelle (qui ignorait tout de l’« affaire Tibhirine ») attesta, témoignages incontestables à l’appui, la réalité du suicide, lequel avait très vraisemblablement des motifs personnels sans rapport direct avec l’enquête menée en Algérie. Pourtant, curieusement, les autorités algériennes et toute la presse téléguidée par le régime n’ont cessé depuis lors de faire de Didier Contant une victime de ceux qui n’acceptent pas comme du bon pain la version officielle concernant l’assassinat des moines de Tibhirine. On a même parlé de la « huitième victime de Tibhirine » : cette expression – quelque peu choquante pour les proches des sept moines de Tibhirine -- est devenue le titre d’un livre publié par une amie de Didier Contant en février 2007, simultanément en France et en Algérie – circonstance parfaitement exceptionnelle au regard de l’extrême faiblesse de l’édition algérienne, et qui suppose nécessairement l’implication directe des « décideurs » des services secrets. Sans nécessairement avoir à mettre en cause la sincérité des motivations de son auteure, force est de constater que ce livre arrive en tout état de cause à point nommé dans les efforts concertés pour enterrer l’enquête du juge Bruguière.

Qu’attendre de l’instruction du juge Bruguière ?
Que faut-il attendre de l’enquête judiciaire en cours ? Il est à craindre qu’à plus ou moins brève échéance elle soit close par le juge d’instruction avec un verdict de « non-lieu », tous les coupables officiels connus étant morts et le juge Jean-Louis Bruguière ayant annoncé le 16 mars 2007 sa décision de se présenter aux élections législatives sous l’étiquette de l’UMP, le parti de Nicolas Sarkozy, et de « se mettre en disponibilité afin de pouvoir mener sa campagne électorale dans le respect de la loi ». Et d’ailleurs, comment ce juge, qui expliquait récemment à Christophe Lucet du journal Sud Ouest Dimanche (édition du 7 janvier 2007) son étroite collaboration avec les services secrets du Maghreb aussi bien qu’avec la DST, pourrait-il mettre en accusation ses amis ? Comment le général Philippe Rondot – haut responsable de la DST française quand il tenta vainement, en 1996, d’obtenir la libération des moines – pourrait-il soupçonner de quoi que ce soit le général Smaïn Lamari (le numéro deux du DRS, soupçonné d’avoir joué un rôle central dans l’enlèvement des moines), à qui il doit en 1994 de lui avoir mis entre les mains le tueur Illich Ramirez Sanchez, alias « Carlos », recherché mondialement, et d’avoir ainsi sauvé sa carrière ? Comment la DGSE et la DST, les deux services secrets français, accepteraient-ils de décrire comment ils se sont court-circuités en cette affaire (ce dont ils s’accusent depuis mutuellement de façon ouverte) ? Mais lorsque le juge Bruguière aura publié ses conclusions, si celles-ci n’aboutissent pas à une mise en accusation, il y aura lieu de faire appel. Alors on peut espérer qu’une deuxième étape, toute différente, de l’enquête commencera.
Armand Veilleux
19 mars 2007