Dans la nuit du 15 au 16 octobre 1959, François Mitterrand, sénateur, ancien ministre de l’Intérieur et de la Justice sous la quatrième République, porte plainte auprès de la police : il aurait été victime d’un attentat.
Six jours plus tard, le 22 octobre 1959, l’hebdomadaire de droite Rivarol affirme que Mitterrand n’est pas la victime d’un attentat, mais l’organisateur d’un faux attentat contre lui-même, exécuté avec un complice, l’ancien député poujadiste (de droite) Robert Pesquet, battu aux élections en 1968, dans le but de regagner les faveurs de l'opinion publique.
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