samedi 6 janvier 2007

M. Nicolas Sarkozy, vous êtes en état d’arrestation

Extrait du dernier livre de Christian Cotten

Etat en sous-France cherche Président(e)
CDD de 5 ans et plus si affinités

Chapitre 4.2
Cette phrase va devoir être prochainement prononcée à haute et intelligible voix par un Officier de Police Judiciaire de la Gendarmerie Française, avec l’aide éventuelle de tout citoyen français (cf article 73 du code de Procédure Pénale).
Article 73
Dans les cas de crime flagrant ou de délit flagrant puni d'une peine d'emprisonnement, toute personne a qualité pour en appréhender l'auteur et le conduire devant l'officier de police judiciaire le plus proche.
La motivation de cette arrestation sera fondée sur les articles 411-4 et 411-5 du Code Pénal.
Article 411-4
(Ordonnance nº 2000-916 du 19 septembre 2000 art. 3 Journal Officiel du 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002)
Le fait d'entretenir des intelligences avec une puissance étrangère, avec une entreprise ou organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou avec leurs agents, en vue de susciter des hostilités ou des actes d'agression contre la France, est puni de trente ans de détention criminelle et de 450 000 euros d'amende.
Est puni des mêmes peines le fait de fournir à une puissance étrangère, à une entreprise ou une organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou à leurs agents les moyens d'entreprendre des hostilités ou d'accomplir des actes d'agression contre la France.
Article 411-5
(Ordonnance nº 2000-916 du 19 septembre 2000 art. 3 Journal Officiel du 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002)
Le fait d'entretenir des intelligences avec une puissance étrangère, avec une entreprise ou organisation étrangère ou sous contrôle étranger ou avec leurs agents, lorsqu'il est de nature à porter atteinte aux intérêts fondamentaux de la nation, est puni de dix ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d'amende.
Le présent document est le résultat du travail rationnel, raisonnable et raisonné de très nombreuses compétences et expertises, tant en France qu’aux États-Unis, qui permettent désormais d’établir de façon incontestable l’essentiel de la vérité des faits advenus le 11 septembre 2006 à New York et Washington.
Concernant M. Nicolas Sarkozy, les faits incriminés sont les suivants.
À l’occasion de l’anniversaire des évènements du 11 septembre 2001, M. Nicolas Sarkozy est allé à New York puis à Washington, où il a rencontré M. Georges W. Bush. Lors de ses différentes interventions pendant ce voyage, M. Nicolas Sarkozy, actuel ministre de l’Intérieur de l’État Français, a exprimé une critique radicale de la politique internationale actuellement conduite par M. le Président de la République Française Jacques Chirac et il a répété tout son soutien à la « guerre contre le terrorisme » menée par M. G. W. Bush.
Les propos tenus par M. Nicolas Sarkozy constituent très clairement un acte d’allégeance au suzerain qui dirige actuellement l’empire américain. Or, plus personne ayant un accès à l’information actuellement disponible sur Internet ou ailleurs ne peut plus ignorer ou faire semblant d’ignorer que :
1) le 11 septembre 2001, les 3 tours du WTC qui se sont effondrées ont été préalablement dynamitées ;
2) aucun avion n’est tombé sur le Pentagone, un missile, oui.
Les preuves et démonstrations très largement documentées et solidement argumentées de ces deux assertions abondent désormais, grâce au travail d’enquête acharné de multiples journalistes, juristes, universitaires, policiers, magistrats, experts et simples citoyens américains, parfois riches mais toujours intègres.
Voir, par exemple :
USA, en français : http://reopen911.online.fr
LA vidéo majeure, sur Google (Loose Change 2, en français, diffusée récemment sur la chaîne documentaire Planète) :
http://video.google.com/videoplay?docid=6302880871177953720 - Copiez ce lien (non actif ici) sur votre navigateur ou passez par http://reopen911.online.fr
Québec : http://mondialisation.ca/index.php?context=theme&themeId=18
France : http://www.voltairenet.org/fr
À ce jour, les personnes qui continuent à croire ou faire croire aux mythes et manipulations orchestrées autour du 11 septembre 2001, pour fonder sur une prétendue menace terroriste islamiste une guerre programmée des civilisations et des matières premières, peuvent, grossièrement, se classer en deux catégories :
• ceux à qui l’information n’est pas encore parvenue, ou encore les niaiseux endormis, ou ceux qui ne peuvent que nier le réel tant il les effraient et préfèrent rester encore à l’abri des mensonges officiels si apparemment rassurants ;
• les complices du coup d’État militaire et terroriste mis en œuvre le 11 septembre 2001 par une bande de gangsters utilisant les institutions de l’État américain aux dépens de la planète toute entière ;
dans cette catégorie, quelques journalistes franchouillards (comme ceux qui ont interdit la traduction française du dossier du Monde Diplomatique de Norvège de juillet dernier, qui exposait clairement la vérité sur le 11 septembre),
ou d’autres journalistes-propagandistes des marchands d’armes ou de béton, naïfs ou cyniques, qui sont déjà en train de commencer la sage opération de retournement de vestes face à la déferlante de l’information qui arrive désormais des États-Unis ;
États-Unis où la plus large part de la population est en train de regarder le réel en face et lance donc des appels aux peuples démocrates et souverains d’Europe à aider la résistance démocratique américaine, pour stopper ce coup d’État fasciste.
Il ne semble ni raisonnable ni réaliste d’envisager que M. Nicolas Sarkozy puisse faire partie des personnes mal informées quant aux faits advenus le 11 septembre 2001.
Bien au contraire, M. Nicolas Sarkozy fait partie des français compétents qui savent depuis plusieurs années la vérité des faits relatifs au 09/11. M. Sarkozy est parfaitement informé des mensonges majeurs véhiculés par les criminels contre l’humanité qui prétendent encore représenter le peuple américain souverain, enfant d’Europe.
M. Nicolas Sarkozy, parfaitement informé que le Directeur de la Communication du coup d’État du 11 septembre, un certain G.W. Bush, mérite d’être au plus vite traduit devant une Cour Pénale Internationale pour crimes contre l’humanité, a pourtant fait connaître au monde entier et aux citoyens français son plein et entier soutien à ce criminel et à tous ceux qui l’entourent et agissent de concert avec lui.
En particulier, M. Sarkozy soutient le projet de transmission informatisé aux services de sécurité américains des données concernant les passagers aériens : les services américains disposeront ainsi de tous les moyens de repérer les déplacements des fonctionnaires français, diplomates, militaires, policiers ou magistrats… Gênant, très gênant même aux yeux de nombreux militaires.
Au regard des intérêts supérieurs de la nation française, et notamment la sécurité du sanctuaire de paix qu’elle constitue, un tel discours est inacceptable de la part d’un ministre de l’Intérieur du gouvernement français et encore moins d’un éventuel futur président de la République.
Certes, M. le Ministre de l’Intérieur pourrait avoir une excuse : peu de jours auparavant, la France avait reçu des menaces de « Al Quaeda ». Le gouvernement français sait pertinemment qui est « Al Quaeda » : les factions des services américains complices du coup d’État militaire, organisateurs et réalisateurs des opérations « secrètes » du 11 septembre.
L’on peut donc penser que, plus ou moins clairement au nom de l’État Français, M. Nicolas Sarkozy est allé à Washington négocier la paix pour la France en échange de son implication dans les politiques fascistes et criminelles de G.W. Bush et de ses maîtres.
La cause est peut-être acceptable : mais faut-il négocier sous une menace fasciste ? Comme à Munich ? Ou oser dire ?
Sauf à penser que M. Sarkozy sait très bien quel rôle il joue : Directeur Régional de la Communication pour l’Europe et la France du consortium militaro-industriel et financier fasciste qui a pris le pouvoir à Washington, aidé et accompagné par les Nouveaux Évangélistes et autres groupes ésotérico-mystiques… L’histoire ne se répète pas, elle bégaie.
M. Nicolas Sarkozy, vous êtes en état d’arrestation.
M. Nicolas Sarkozy, vous ne serez pas Président de la République Française.

Christian Cotten

PS. Il va sans dire mais ce sera tout de même plus clair ainsi : quantité de gens savent désormais quelle va être la stratégie de M. Sarkozy dans les prochains mois : relancer la guerre des banlieues. Je crois bien que, cette fois, plus aucun enfant rebelle ou délinquant juvénile, chômeur abattu, black ou beur, gaulois ou feuj ne tombera dans le piège : les violences resteront celles des valets de M. Sarkozy.

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