dimanche 18 mars 2007

Sous couvert de l’ONU, le Peuple irakien est opprimé et victime du scandale « Pétrole contre Nourriture »


« Il y avait effectivement un dossier et un système de manipulation financière dont ont profité des princes koweïtiens et d’autres…Par un savant mécanisme de comptes bancaires et de crédits imaginaires, des milliards de dollars ont circulé à la faveur de la juteuse après guerre ».(
Alain Dusart et Frédéric Menu, journalistes à l’Est Républicain – 13 mai 2000)

Dans le cadre de ses investigations notamment avec le fils du Ministre du Pétrole du Koweït de l’époque, Daniel Levavasseur (retrouvé pendu à 15 mètres du sol le 2 février 2003 !) avait retracé la piste de l’argent en démontrant que c’était la BNP Los Angeles (USA) via la BNP Luxembourg, qui a participé en 1991 aux transferts des 23.005.341.300 US$ avant leur éclatement en utilisant de nombreuses sociétés off-shore suivantes :

IBAC SERVICE PTE LTD (Singapour) TEXRICE NV (Curacao) INCOME MANAGEMENT
REALITY INVESTORS GROUP, INCOME PROSPECTIES , CITY INVESTMENT

Mais voilà, certains Princes koweïtiens appartenant à la Royale House of Kuwait, avec la complicité des gouvernements et des propriétaires des banques (et non des directeurs ou Présidents qui ne sont que de simples pions exécutant les ordres) ont utilisé la technique des comptes « Banque écran » pour continuer à maîtriser et gérer ces fonds en US $ en provenance du Koweït pour le compte d’institutions financières OFFSHORE représentées par des titulaires apparents connus pour leur participation active dans les réseaux internationaux de blanchiment, tout en désignant bien les associés de Joseph FERRAYE comme les Ayant Droit Economiques Réels (ADER) c’est-à-dire les clients « effectifs » de ces comptes.

« Banque écran » dans le cadre du fonctionnement des comptes « nostri » : Procédé par lequel, un investisseur, par souci de discrétion, fait réaliser pour son compte, mais par une banque et au nom de celle-ci, une opération financière. Ce système qui suppose un secret bancaire TOTAL…, implique, si l’opération est importante, le risque qu’elle ne soit pas retrouvée dans les bilans de la banque si ceux-ci sont publiés.

Merci CLEARSTREAM...

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